et l'onde de choc atteint le japon peu après la nuit...
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25/12/2018 | 09:55
Tokyo (awp/afp) - La nervosité de Wall Street a gagné mardi la Bourse de Tokyo, qui a lâché plus de 5% à la clôture après un week-end prolongé, les investisseurs prenant peur face aux multiples incertitudes politiques et économiques aux Etats-Unis.
L'indice vedette Nikkei a terminé sur un plongeon de 5,01% à 19.155,74 points, au plus bas en 20 mois. Il a perdu plus de 1.000 points, sa pire dégringolade depuis le 6 février 2018, sur fond de net renforcement du yen, valeur refuge, ce qui dessert les groupes exportateurs.
Le Nikkei était pourtant monté à près de 25.000 points début octobre, et a donc perdu plus de 20% depuis cette date. Cette contre-performance fait entrer l'indice dans la catégorie de "marché déprimé" ou "bear market", en référence à l'ours, symbole d'un marché démoralisé, tout comme le Nasdaq vendredi à New York.
"Je ne m'attendais pas à ce que le marché s'effondre autant", a commenté Makoto Sengoku, analyste à l'institut de recherche Tokai Tokyo. "Il n'y a pas d'élément signalant la fin de la débâcle ou de gros acheteurs émergeant", a-t-il dit à l'AFP.
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Le pétrole chute de 6,7% à New York, à 42,53 dollars le baril
24/12/2018 | 19:46
New York (awp/afp) - Les cours du pétrole, qui avaient déjà encaissé des pertes massives la semaine dernière, ont de nouveau chuté lundi, les investisseurs restant sceptiques face aux promesses de l'Opep et s'inquiétant des turbulences économiques.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en février a abandonné 3,06 dollars ou 6,7% pour finir à 42,53 dollars, son plus bas niveau depuis juin 2017.
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Wall Street termine en forte baisse la séance écourtée de Noël
24/12/2018 | 19:52
NEW YORK (Agefi-Dow Jones)--La Bourse de New York a chuté lundi dans le prolongement de sa plus forte baisse hebdomadaire depuis 2008, alors que la paralysie partielle des administrations américaines vient s'ajouter aux motifs de craintes des investisseurs concernant les taux d'intérêt et le ralentissement de la croissance.
Accentuant son repli après une nouvelle salve de critiques de Donald Trump contre la politique de la Réserve fédérale, - l'indice Dow Jones (DJIA) a clôturé cette séance écourtée de veille de Noël en baisse de 2,9%, à 21.792,20 points.
- Le S&P 500 a chuté de 2,7%, à 2.351,10 points,
- et le Nasdaq Composite a cédé 2,2%, à 6.192,92 points.
Les investisseurs se sont montrés préoccupés par l'échec des négociations au Congrès sur le financement de la construction d'un mur à la frontière avec le Mexique, voulue par le président américain. Ce revers risque de contraindre les administrations fédérales à rester fermées pendant une période prolongée et laisse présager un ralentissement de l'économie américaine au cours des prochaines semaines.
Les propos du secrétaire au Trésor - qui se voulaient rassurants sur la santé du secteur bancaire - ont par ailleurs eu un effet contraire en Bourse en rappelant les déclarations politiques tenues lors de la dernière crise financière. Steven Mnuchin a annoncé dimanche avoir discuté avec les patrons de chacune des six principales banques américaines, qui lui ont assuré qu'elles disposaient de liquidités suffisantes pour poursuivre leurs activités si le mouvement de vente se prolongeait sur les marchés d'actions. Goldman Sachs s'est repliée de 2,3% lundi et JPMorgan de 2,2%
Selon Quincy Krosby, stratégiste en chef chez Prudential Financial, il est "absolument normal" que le ministre des Finances soit en contact avec le secteur privé. "Le problème est que l'information ait été rendue publique car cela envoie le signal que le gouvernement est inquiet", ajoute l'intermédiaire.
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