Wall Street dopée par les propos de Jerome Powell

Mon pauvre , qui croyez vous qui vous bassine avec graphes à coucher dehors et autres plaisanteries de bas étage .

On ne refait jamais l'histoire , vous pouvez vérifier par vous même graphes à l'appui si cela vous chante

Par contre , le Panurgisme psychologique , lui , fait effectivement de gros dégâts alors qu'un peu d'éléments d'analyse objective porterait un peu de sérieux dans les argumentaires .

Que les USA ne se maintiennent pas à 4% de croissance , un gamin de primaire le comprendrait mais visiblement pas les financiers .

Bref , nous sommes dans une véritable fumisterie intellectuelle actuellement que peu de choses factuelles viennent corroborer .

Un bel exemple avec Apple alors qu'on voudrait faire croire qu'elle mette en danger l'ensemble des technologiques ?

Juste un transfert de concurrence pour les chinois et coréens attendu que l'américain pensait se sentir encore incontournable avec des prix démentiels . Les équipementiers ne changent guère , par contre , ou de manière assez marginale

Qu'on se rassure , chacun achètera encore longtemps des smartphones surtout avec l'avènement prochain de la 5G qui va multiplier innovations et commandes liées sans compter le reste IOT, IA , etc ...

Bref , la récession s'avère très lointaine même si la croissance n'est évidemment pas linéaire ce que devraient vous démontrer vos "saints"graphes , s'ils peuvent servir à quelque chose étant uniquement bâtis sur le passé

Un peu plus d'analyse factuelle ferait le plus grand bien à beaucoup de monde chez les investisseurs , trop souvent à la rue en France notamment , sûrement du fait de l'AT en bourse d'ailleurs

Répondre

Certains indicateurs économiques américains valent ce qu' ils valent mais il en est un qu' il va falloir surveiller à la lettre :

l' indice de confiance du consommateur université du Michigan .

Cet indicateur est directeur en matière de récession , je vous donne ses derniers chiffres :

Pour le mois d' aout 2018 : 96.2

Pour le mois de septembre 2018 , chiffre publié le 28 septembre : 100.1

Pour le mois d' octobre alors que WS établissait son record absolu à 26952 points : l' indice était à 98.6 divergence baissière avec WS

Pour le mois de novembre 2018 : 97.5

Pour le mois de décembre 2018 : 98.3

On commence à percevoir l' inflexion baissière de cet indice qui finira par baisser , s' éloignant de ses plus hauts.

Un récession , on ne la voit jamais venir , que faites vous des cycles économiques , des phases de Weinstein , vous savez bien que la bourse est le royaume des anticipations , alors pourquoi la baisse des marchés depuis octobre pour les USA et bien avant pour les autres .

Parce que WS est le maitre du monde , quand la conjoncture se dégrade partout , il est normal que WS suive .

@cri , venez donc vous frottez dans l' autre file où le graphique longuement argumenté vous indispose , mais donnez donc vos arguments , encore faut il que vous en ayez .

Je ne suis pas là pour batailler avec vous , ayez au moins le courage de vous expliquez .

Je ne veux pas tomber dans le piège que nous tendent les marchés via les Zinzins en nous faisant miroiter que tout va bien alors que les bourses sont en baisse .

Comme on dit , les petits ruisseaux font les grandes rivières .

Je vous laisse ce petit graphique qui devrait vous ouvrir les yeux à moins que vous ne soyez aveugle pour le comprendre concernant les taux d' intérêt.

Répondre

Les analyses qui flanchent pour d'autres , bien épris de catastrophisme .(c'est bien français )

Les taux grimpent à la fois pour contrer les excès de croissance qui entraîneraient l'inflation ce qui pendait au nez des USA

La croissance ralentissant un peu (on ne parle nullement de récession !!!) avec une moindre contrainte tant sur les prix que les salaires , les hausses de taux se justifient beaucoup moins , élément qui se traduit directement dans le discours de Powell plus enclin à en limiter le nombre et le timing , ce que vient de saluer le marché .

Que la FED ait récupéré des armes pour contrer une crise éventuelle devrait d'ailleurs s' interpréter de manière positive et non l'inverse

Répondre

Mémoire qui flanche pour certains : le 28 novembre 2018 un certain JP nous avait déjà fait le coup pour nous rassurer . Il remet çà en Janvier sauf que le cours du DJ était ce 29 novembre à 25366 points.

Répondre

La Bourse de New York a amplifié ses gains mercredi après un discours du président de la Banque centrale américaine (Fed), Jerome Powell, qui a estimé que les taux d'intérêt étaient proches d'un niveau neutre pour l'économie.

Après avoir franchi la barre des 2% vers 18H30 GMT, son indice vedette, le Dow Jones Industrial Average, continuait de grimper: il s'appréciait de 2,18%, à 25.288,82 points, vers 18H45 GMT.

L'indice élargi S&P 500 montait de 1,87% et l'indice Nasdaq, à forte coloration technologique, s'appréciait de 2,40%.

Devant le Club économique de New York, le patron de la Fed "a dit les mots magiques" que le marché attendait, a commenté Gregori Volokhine, de Meeschaert Financial Services.

"Si on est presque à un niveau neutre, cela veut peut-être dire qu'on y sera après la hausse (des taux) de décembre et qu'ensuite la Fed peut y rester un certain temps", a-t-il avancé.

De quoi rasséréner les investisseurs de Wall Street, qui ont beaucoup bénéficié ces dernières années de la politique accommodante de la Banque centrale. Ils redoutent depuis plusieurs mois une remontée trop rapide des taux d'intérêt qui pourrait, à leurs yeux, ralentir la croissance en rendant notamment plus chers les emprunts pour les particuliers et les entreprises.

- "Pas de dérives dangereuses" -

Les acteurs du marché avaient été troublés quand M. Powell avait estimé début octobre que la Fed était "encore très loin" du taux "neutre" auquel elle aspire, celui qui favorise la croissance sans nourrir de hausse des prix. Ces propos avaient largement participé à déclencher une période de fortes turbulences à Wall Street.

Les observateurs du marché scrutent depuis toute référence des responsables de l'institution à ce taux neutre, tentant d'y déceler le nombre de hausses de taux d'intérêt à venir.

Le vice-président de l'institution, Richard Clarida, avait déjà estimé mardi que les taux d'intérêt étaient "plus près" du taux neutre. "Près jusqu'à quel point est une question de jugement, et il y a une variété de points de vue au sein du FOMC", le Comité monétaire de la Banque centrale, avait-il toutefois ajouté.

Les commentaires de M. Powell mercredi ne sont toutefois "pas aussi prudents que ce que le marché pense", a estimé Ian Shepherdson, chef économiste chez Pantheon Macroeconomics.

Le patron de la Fed a en fait estimé que les taux étaient juste en-dessous "de la fourchette d'estimations" du niveau auquel ils peuvent être considérés comme neutres, a-t-il souligné.

Si on considère que cette fourchette est actuellement comprise entre 2,5% et 3,5%, "il reste encore trois hausses avant de parvenir au milieu", a-t-il avancé. Et cette fourchette en elle-même pourrait être amenée à augmenter au cours des prochaines mois si la productivité continue à augmenter, a-t-il ajouté.

Le dollar, qui devient plus rémunérateur quand les taux d'intérêt montent, a, à l'inverse, nettement reculé, notamment face à l'euro: la monnaie unique valait 1,1381 dollar vers 18H45 GMT, contre 1,1286 dollar juste avant la diffusion du discours.

Sur le marché obligataire, le taux de la dette à 10 ans des États-Unis est descendu à 3,045%, contre 3,068% juste avant l'intervention de M. Powell.

Il a par ailleurs assuré qu'il ne voyait pas de "dérives dangereuses" dans les valorisations à la Bourse.

"Aujourd'hui, les prix des marchés des actions correspondent globalement aux références historiques" comme le ratio entre le prix d'une action et les bénéfices futurs de l'entreprise qui l'a émise, a souligné M. Powell. "Du point de vue de la stabilité financière, nous ne voyons pas aujourd'hui de dérives dangereuses sur le marché des actions", a-t-il souligné.

1. https://www.nasdaq.com/markets/indices/major-indices" ignorabletext="true">Nasdaq

© 2018 AFP

Répondre