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"Gilets jaunes": mobilisation en hausse en France, moins de tensions

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JCROIPLU JCROIPLU
13/01/2019 15:49:06
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Le Grand Débat n'est qu'une simple et classique psychothérapie de groupe. Faire parler les personnes dans uns situation de mal être, d'échec, de sinistrose pourrait effectivement, par l'expression orale de leurs maux, leur faire du bien.

Mais des gens dont le cerveau est strictement rayé par une phraséologie maintes fois rabâchée de gauche, voir communiste, et parfois révolutionnaire, dans laquelle sont mis à l'exergue patrons, chefs d'entreprises,Ministres, Députés, Présidents, réussite, profits, dividendes, ce Grand Débat ne sera pas suffisant.

Quant on voit qu'une simple demi-mesure de transformation de l'ISF en IFI vous étouffe, alors que depuis des années l'ISF a fait perdre à la France 5 milliards par an... comment voulez-vous réformer ce pays alors que des réformes éminemment plus importante sont à effectuer.

La prothèse entière de cerveau n'ayant pas été encore réalisée, le gouvernement ne peut pas vous proposer autre chose que ce Grand Débat.

Mais, pourquoi pas, dans l’hémicycle quelques sièges de députés en moins, remplacés par des civils tirés au sort représentatifs de la France actuelle avec quelques ivrognes, quelques SDF, quelques gitans, quelques sortis de prison, quelques jeunes de banlieue...apporteraient ce que les députés actuels ne savent pas: les Français veulent de l'alcool sans taxe, ne pas payer de taxe d'habitation, transformer les déchets des autres pour arrêter la consommation, voler davantage en confisquant les biens des autres, moins de flics pour vendre plus facilement la drogue...


  
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Ribo Ribo
13/01/2019 15:33:15
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Définitions : négativisme - Dictionnaire de français Larousse
larousse.fr/dictionnaires/francais/négativisme/54064

nom masculin. Attitude de refus systématique, de dénigrement. Ensemble des conduites de refus et d'opposition qui traduisent une rupture du contact avec autrui dans la schizophrénie.

  
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Doremy Doremy
13/01/2019 14:35:19
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Bon ! Comme dirait "l'as de pif" il faut toujours répéter ! Ce gouvernement n'a pas été élu par le peuple mais le peuple a préféré voter la peste plutôt que le choléra, donc la cause est entendu le seul et unique moyen de sortir de ce conflit est la démission du président , IL-Y-EN-A-PAS-D'AUTRES ! Alors ce président est il près à laisser sombré ce pays jusqu'à feu et à sang ??? Telle est la et seule question...

  
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chabl chabl
13/01/2019 11:52:12
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Les Gilets Jaunes considèrent pour ceux qui sont en colère que le grand débat ne leur apportera rien et que ce n'est qu'une manoeuvre de Macron pour les enfumer. Ils ont prévenu que Samedi après Samedi ils continueront leurs manifestations. Et si l'on doit attendre la fin des débats et de leur résultat pour faire un point, on s'achemine vers 9 Samedis supplémentaires jusqu'à l'Acte 18 où les perturbations plus ou moins fortes seront à déplorer.

Mais dans ce cas, je pense que les forces de police, de gendarmerie et les CRS auront sans doute de nouvelles revendications à faire valoir vis à vis d'un gouvernement qui les condamne en quelque sorte à des travaux forcés chaque week-end.

A force de vouloir respecter la liberté de manifester, le pays va s'enfoncer dans le désordre et la division de plus en plus. Chaque catégorie sociale et chaque individu seront sans doute mécontents des résultats obtenus au terme des débats, car ils ne retrouveront que peu de leurs demandes satisfaites.

Par contre l'Etat de la France sera certainement largement affaibli et nos finances seront encore plus mal en point.

La grande utopie de faire payer les riches et de distribuer ce qu'on aura pu leur prendre nous mènera au mieux à une satisfaction passagère car les milliardaires à l'image de Carlos Ghosn ont tous des solutions de fuite à l'étranger et il faudra se rabattre sur les millionnaires qui auront transpiré et économisé toute leur vie. Mais ce ne sera pas alors un bon signal pour faire venir des investisseurs étrangers et la redistribution d'un pactole qui diminuera se tarira. L'appauvrissement global du pays n'arrêtera pas l'afflux d'immigrés si la redistribution reste généreuse et la part de chacun diminuera.

Vous me direz que j'exagère et que c'est un tableau bien trop sombre du futur, mais j'en ai pourtant peur pour nos enfants et nos petits-enfants.


  
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CRI74 CRI74
13/01/2019 09:49:06
0

Il serait bien étonnant que les dictatures telles que celle opérant au Vénézuela ou ailleurs soit un modèle , ni politique , ni social , pour quiconque .

Par contre , l'ultralibéralisme qui fait tant de dégâts sur la planète et génère aujourd'hui les gilets jaunes , recense encore nombre d'adeptes et de modèles politiques destructeurs qu'on ne semble pas mettre au ban plus que cela

Flatter ceux qui se croient plus malins à leurs dépends doit encore avoir de beaux jours ....

Message complété le 13/01/2019 09:49:27 par son auteur.

soient

  
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virgules44 virgules44
13/01/2019 09:37:28
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En octobre dernier, l'Unicef a alloué 32 millions de dollars au Venezuela pour y réduire la mortalité materno-infantile et y protéger l'enfance.

En 2016, la mortalité infantile a augmenté de 30,12%, avec 11.466 décès de bébés de 0 à 1 an, et la mortalité maternelle a bondi de 65%, selon le ministère de la Santé vénézuélien.

Sous le mandat de Nicolas Maduro, l'économie s'est réduite de moitié et le pays devrait encore connaître un repli de 5% en 2019 selon le FMI. Outre les pénuries d'aliments et de médicaments, les Vénézuéliens doivent faire face à une hyperinflation qui, selon le FMI, atteindra 10 millions de % en 2019.
à mediter....un modèle pour la France insoumise et ceetains gilets jaunes
  
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virgules44 virgules44
13/01/2019 09:37:28
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Un "gilet jaune" manifeste, le 12 janvier 2019 à Toulon (AFP/CHRISTOPHE SIMON)

A trois jours du débat national censé apaiser la colère, la mobilisation des "gilets jaunes" a connu un vif rebond: 84.000 personnes ont défilé samedi en France contre la politique sociale et fiscale du gouvernement, mais sans heurts majeurs.

La semaine dernière, le ministère de l'Intérieur avait recensé 50.000 personnes.

Le patron de la Police nationale, Eric Morvan, disait vendredi s'attendre à ce que la mobilisation des "gilets jaunes" retrouve son niveau d'avant-Noël. Elle a même dépassé celui de l'acte 5, le 15 décembre, où 66.000 personnes avaient été décomptées en France.


Manifestation de "gilets jaunes", le 12 janvier 2019 à La Rochelle (AFP/XAVIER LEOTY)

Si plusieurs manifestations ont été émaillées de heurts, notamment à Paris, Bordeaux, Toulouse, Bourges et Caen, les violences ont été globalement moins nombreuses. Au total, 244 personnes ont été interpellées, dont 201 ont été placées en garde à vue, selon le ministère de l'Intérieur.

"Les violences ont pu être contenues grâce à un dispositif important, mobilisant 80.000 membres des forces de sécurité intérieure, axé sur la mobilité, la réactivité et la capacité à interpeller, qui a fait la démonstration de son bien-fondé", s'est félicité le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner.


Des protestataires lors de la mobilisation des "gilets jaunes", le 12 janvier 2019 au Mans (AFP/Jean-François MONIER)

A Paris, où 8.000 personnes ont défilé "dans le calme" et "sans incident grave", "la responsabilité l'a emporté sur la tentation de l'affrontement", a-t-il salué dans une déclaration transmise à l'AFP.

Le ministre a toutefois condamné sur Twitter les agressions dont ont été victimes des journalistes, notamment à Paris, Rouen et Toulon. "Dans notre démocratie, la presse est libre. Dans notre République, la liberté d'informer est inaliénable. Violenter des journalistes, c'est attenter à l'une et à l'autre", a-t-il écrit.

- "Macron nous réunit" -

Dans la capitale, le cortège des "gilets jaunes" -auquel a participé Eric Drouet, un des initiateurs du mouvement- a défilé dans le calme, encadré par un service d'ordre.


Une manifestante des "gilets jaunes" lors d'un rassemblement, le 12 janvier 2019 à Nantes (AFP/LOIC VENANCE)

Les rues ont résonné des habituels "Macron démission", mais aussi des "Libérez Christophe !" en soutien à l'ex-boxeur Christophe Dettinger filmé en train de frapper deux gendarmes lors de la manifestation samedi dernier et écroué depuis dans l'attente de son procès.

"Macron qui dit qu'il faut encore faire des efforts mais non ! Les gens n'en peuvent plus", explique Virginie Pieru, directrice de crèche dans le Val-de-Marne. Pour elle, "Macron aura fait une jolie chose: c'est nous réunir. C'est le seul truc bien qu'il a fait !".

Les forces de l'ordre ont dû faire usage de gaz lacrymogènes et de canons à eau pour repousser des manifestants qui leur lançaient des projectiles dans le secteur des Champs-Elysées et autour de l'Arc de Triomphe, point d'arrivée de la manifestation, ont constaté des journalistes de l'AFP.


Manifestation de "gilets jaunes", le 12 janvier 2019 au Mans (AFP/JEAN-FRANCOIS MONIER )

Un total de 149 personnes ont été interpellées à Paris, notamment pour port d'arme prohibée ou participation à un groupement en vue de commettre des violences, a indiqué la Préfecture de police. Parmi elles, 108 ont été placées en garde à vue, a précisé le parquet de Paris dans un bilan communiqué à 21H00.

A Bourges, autre épicentre de cet acte 9 où se sont rendues deux autres figures du mouvement, Priscillia Ludosky et Maxime Nicolle, plus de 6.000 personnes ont manifesté.

L'ambiance bon enfant du défilé a été perturbée quand 500 personnes ont pénétré dans le centre-ville où tout rassemblement était interdit, causant quelques échauffourées avec les forces de l'ordre. Deux "gilets jaunes" de 17 et 28 ans ont été blessés par des tirs de lanceurs de balle de défense (LBD).


Les "gilets jaunes" (AFP/)

"On veut la dissolution de l'Assemblée. Macron doit arrêter de faire la sourde oreille et s'apercevoir du mal-être", lâche William Lebrethon, 59 ans, artisan dans le bâtiment venu de Vierzon protester contre "les abus de pouvoir".

Dix-neuf personnes ont été interpellées en marge de cette deuxième manifestation nationale, selon la préfecture.

- "Du cash, du concret" -

A Bordeaux, 4.600 personnes ont manifesté selon la préfecture, un peu plus que la semaine passée, derrière une grande banderole proclamant "Unis, le changement est possible". Et 6.000 à Toulouse. Ces deux villes sont en pointe de la mobilisation depuis le début du mouvement.


Manifestation de "gilets jaunes", le 12 janvier 2019 à Bordeaux (AFP/MEHDI FEDOUACH)

Selon les autorités, ils étaient aussi 2.500 à Rouen, 2.500 à Caen, 2.300 à Saint-Brieuc, 1.500 à 2.000 à Perpignan, 1.500 à Strasbourg, 1.200 à Saint-Etienne, 1.800 à Lyon... Environ 200 "gilets jaunes" ont également manifesté, sous haute sécurité, au Touquet, aux abords de la villa d'Emmanuel et Brigitte Macron au Touquet (Pas-de-Calais).

Emmanuel Macron a appelé les Français à se saisir de la "très grande opportunité" que représente le grand débat, qui doit débuter mardi mais qui ne convainc pas les "gilets jaunes".

"C'est pour nous endormir ce truc. Ce qu'il faut, c'est du cash, du concret, le plus tôt possible", estime Jean-Luc Dugast et sa compagne Marie-Thérèse Augusto, originaires de Seine-et-Marne.

"Le débat, c'est dans la rue, pas dans une salle ou sur internet", affirme Jean-Jacques, 59 ans, présent dans la manifestation à Strasbourg: "Je ne pense pas que quelque chose de positif va sortir de ça."

© 2019 AFP

  
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