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Donc tout est pour le mieux pour les Britanniques (d’après jipes)
Alors pourquoi ils hésitent ?????????????
Je fais remarquer que c’est eux qui ont voté pour sortir de l’UE
Ce n’est pas Bruxelles qui les a virés
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@ Pedru,
Tes amis de l'Union Européenne font tout pour que le Brexit devienne tellement ardu dans sa conclusion afin que les autres Etats membres n'aient pas à leur tour des envies de sortie.
Et grâce à Barnier, Juncker et Tusk (sans oublier Macron et Merkel), ont va tout droit vers un divorce perdant/perdant.
Cependant, rassure-toi, les Britanniques seront les premiers à s'en remettre.
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Jipes
Perdu moi ? J’ai plutôt l’impression que c’est toi qui est qui ne sait plus quoi dire
Explique-nous pourquoi les Britanniques hésitent à quitter l’UE ?
Qui les empêche de quitter l’UE le 26 Mars ? C’est eux qui décident, ils hésitent…
Explique nous pourquoi ?
Message complété le 26/02/2019 11:50:19 par son auteur.
On parle même maintenant d’un autre referendum
Explique nous pourquoi
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@ Pedru
Toujours "perdu" dans tes élucubrations !
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Ce n’est pas l’UE qui empêche les Britanniques de sortir de l’UE, c’est les Britanniques qui ne sont pas réellement d’accord pour sortir de l’UE
Nous sortons le 26 Mars de l’UE ! PARFAIT
Nous sortons peut-être le 26 Mars de l’UE ! A BON
Nous voulons peut être un autre délai de réflexion ! Vous vous décidez OUI ou NON ?????????
Il est grand temps que cette comédie s’arrête
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Salut jipes
« « Cela va donner des cauchemars à certains bruxellois. » »
Tu veux dire : les bruxellocrates ? Parce que les bruxellois ne sont pas forcément bruxellocrates (qui sont une caste à part.).
Et, à quelques mois des élections européennes, les juncker, mosco, dragui, et compagnie doivent sur-consommer les aspirines. Ils ont peur de devoir aller pointer bientôt à pau-paul emploi.
Et ce sera pire quand la GB, libérée du carcan E.U., pourra se permettre d’offrir une imposition défiant toute concurrence pour attirer les multinationales, l’immobilier de bureau à Londres pourrait bien exploser.
Ce qui sera bon pour l’immobilier de bureau GB et l’industrie pharma.
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Bonsoir moicmoi,
"ils font tout pour que le brexit ne puisse pas avoir lieu". C'est de la routine pour eux, ils se sont super-entraînés avec les Irlandais, les Néerlandais, et même avec les Grecs.
Par contre de leur côté, les Britanniques ne s'endorment pas. La Suisse bien qu'elle soit un petit pays vient de signer un accord avec eux.
https://www.24heures.ch/suisse/libre-circulation-accord-berne-londres/story/21678830
Cela va donner des cauchemars à certains bruxellois.
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A la vitesse où les grandes entreprises déménagent du Royaume Uni , faits confirmés chaque jour ou presque ,le moins qu'on puisse dire est que certains assènent à rythme identique leurs âneries habituelles
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fredeau
« « ils font tout pour que le brexit ne puisse pas avoir lieu. » »
Ben…faut les comprendre, les biquets, hein….les bruxellocrates savent que les anglais sont capables de s’en sortir en quittant l’E.U.
Et par les temps d’épidémie anti-système qui courent , ils redoutent comme la peste qu’une réussite fasse boule de neige, emporte la décision des eurosceptiques. Ce qui sonnerait le glas de leurs salaires et avantages royaux, et de leur politique totalitaire et maffieuse.
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Que de xenophobie
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Précisez , les anglais !
Parce que sinon , cela n'a pas de sens concernant les européens , pas fâchés de voir partir le boulet GB
Mais vu le bazar chez eux , il semble évident qu'on n'ait tout de même pas tant intérêt à les voir exploser en vol
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L'Union européenne a ouvert la porte lundi à un délai supplémentaire pour le Brexit, au-delà de la date limite du 29 mars, estimant qu'il s'agirait d'une solution "rationnelle" face à la crise politique en Grande-Bretagne sur les modalités de ce divorce.
Le président du conseil européen Donald Tusk a précisé lundi qu'il avait discuté avec Mme May du "contexte juridique et procédural d'une possible extension" du délai, lors d'une rencontre avec la Première ministre en marge du sommet UE-Ligue arabe à Charm el-Cheikh (est de l'Egypte).
"Je pense que, compte tenu de la situation dans laquelle nous nous trouvons, un délai supplémentaire serait une solution rationnelle", a-t-il dit lors d'une conférence de presse à l'issue de deux jours de sommet.
L'UE et ses 27 autres membres ont jusqu'à présent douché les efforts de Mme May visant à ouvrir de nouveau les négociations sur le Brexit conclues en novembre dernier avec le gouvernement britannique.
Dimanche, lors de la conférence de presse, M. Tusk a affirmé avoir dit à Mme May que "quel que soit le scénario, les 27 montreront un maximum de compréhension et de bonne volonté".
Mais la Première ministre britannique estime pouvoir éviter le scénario d'un délai supplémentaire, a-t-elle indiqué lors d'une conférence de presse à Charm el-Cheikh.
"J'ai un vrai sentiment, sur la base des réunions que j'ai eues ici et des conversations que j'ai eues ces derniers jours que nous pouvons parvenir à cet accord", a-t-elle déclaré à la presse.
Provoquant une levée de boucliers au Royaume-Uni, Mme May a différé dimanche "d'ici au 12 mars" un vote des députés britanniques sur l'accord de Brexit. Elle affirme vouloir se donner plus de temps pour tenter de renégocier le texte avec Bruxelles avant la date-butoir actuelle du 29 mars.
Outre l'opposition et les députés europhiles, Mme May s'est aussi attiré les critiques des milieux économiques britanniques. "Chaque jour sans accord signifie moins d'investissements et moins d'emplois créés", a déploré Josh Hardien, directeur général adjoint du CBI, principale organisation patronale britannique.
-"Bons progrès"-
Elle avait précédemment indiqué se laisser jusqu'à ce mardi pour trouver une issue sur le Brexit.
Mme May, qui a participé au sommet de Charm el-Cheikh, a eu plusieurs échanges sur la question avec ses partenaires européens dimanche et lundi, dont la chancelière allemande Angela Merkel.
Outre M. Tusk, elle a également rencontré Jean-Claude Juncker, le président de la commission européenne, une institution en charge des négociations avec le Royaume-Uni.
Au cours de la conférence de presse lundi, ce dernier a simplement assuré: "nous faisons de bons progrès".
Depuis le rejet massif de l'accord de divorce par les députés britanniques en janvier, Theresa May tente de renégocier avec Bruxelles une nouvelle version du texte susceptible de rallier une majorité parlementaire. Sans succès jusqu'à présent.
Elle souhaite obtenir des "changements contraignants" au "filet de sécurité" (ou "backstop" en anglais), une disposition décriée au Royaume-Uni censée garder ouverte la frontière en Irlande après le Brexit.
Londres veut que le "backstop" soit limité dans le temps, ou bien veut être autorisé à y mettre fin de façon unilatérale.
Après deux ans de négociations difficiles, le gouvernement britannique reste plus divisé que jamais divisé sur le Brexit.
Mme May espère que si le texte est modifié dans ce sens, les parlementaires britanniques réticents vont soutenir le nouveau texte.
Lundi, M. Tusk a estimé que le choix relatif au Brexit se situait actuellement entre "un Brexit chaotique ou une prolongation (du délai)". Selon lui, il est "absolument clair" qu'il n'y a aucune majorité au Parlement britannique pour l'accord de Mme May.
Selon la dirigeante britannique, son équipe sera de retour à Bruxelles mardi pour la suite des négociations.
© 2019 AFP
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