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Réforme des retraites: l'heure du grand débat de l'âge

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gbobola gbobola
19/03/2019 16:48:41
0

mais enfin pourquoi voulez vous faire travailler des chomeurs.....

chomeur = fin de droits RSA +APL plein pot+CMU+resto de coluche+secours catho+CCAS+electricité sociale+téléphone sociale+ bon vacances+ bon culture+transports+ cantine gratuite+ bon de vacances au bled+ aide à la caravane+ prioritaire aux urgences sinon j'hurle au racisme et à la discrimination.... liste non exhaustive...


Il faut donc augmenter les impôts de la classe moyenne et les rentiers

  
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castel82 castel82
19/03/2019 16:14:41
0
bonjour
quand je vois tous les demandeurs d'emplois et qu’on fasse venir des étrangers pour ramasser les fruits ou faire les vendanges il y a un gros problème en France.si tout les demandeurs d'emplois serais utiliser.
on aurais de l'argent pour payer nos retraités.combien de chômeurs ne veule pas prendre les places qu'on leurs donne
on marche sur la tète
  
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Crack_40 Crack_40
19/03/2019 15:49:41
0

Si déjà, nos chers politiques pouvaient arrêter de cumuler les retraites de leur différents mandat (parfois plusieurs années de retraites pour quelques semaines de travail) !!!!

Si déjà, nos chers politiques pouvaient arrêter de percevoir leurs différentes retraites tant qu'ils sont en activités !!!!

Si déjà, nos chers poltiques pouvaient ne toucher leurs différentes retraites qu'à partir de la retraite !!!!!

Si déjà,.....

  
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CRI74 CRI74
19/03/2019 15:34:13
1

Si les entreprises ne participent plus à l'effort social depuis des lustres , plus encore en s'abstenant des lois par leurs échappatoires fiscaux désormais parfaitement connus , c'est bien qu'on leur déroule encore le tapis rouge au plus haut niveau , lois spécifiques à l'appui . On les subventionne abondamment sans le moindre retour , une situation explosive qui ne durera pas éternellement .

Quant à être à la remorque des USA , que chacun cesse déjà de les porter au pinacle en réfléchissant aux conséquences fâcheuses de leur "adoration béate " !

  
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Ver5gétorix Ver5gétorix
19/03/2019 15:19:11
1
Ne pas oublier que sans progrés important au niveau de la remise en ordre de marche de l'UE, nous resterons à la remorque des USA. Nous resterons immatures et incapables de prendre des décisions en toute autonomie. Nous continuerons à payer des pénalités imposées par un PR US seul à quitter certains traités et décidant d'infliger des pénalités à tous les autres. Sans le courage de faire valoir nos champions technologiques à l'intérieur de l'UE, nous ne les rendons pas crédibles pour beaucoup de clients. Nous ne pourons pas mieux exporter nos produits sans reformater d'abord notre complémentarité dans la majorité des domaines et surtout en recherche appliquée, en préservation de nos inventions mieux protégées par plus de brevets, de licences et le développement d'établissements industriels qui les mettent en application. Nous ne serons reconnus par les US que lorsqu'ils pourront acheter des sociétés entières ou un pan les intéressant (histoires biens connues de Péchiney, d'Alcatel, d'Alstom...)Si nous ne nous reveillons pas notre société continuera à suivre la société US avec ses défauts qui sont incompatibles avec nos outils de protection sociale contre la maladie, le chômage ou pour l'amélioration de nos retraites. Rappelons à tous nos syndicats que l'histoire finit mal déjà aux US pour la personne: GM a été la dernière boîte a abandonner la gestion des caisses maladie, chômage, retraite à la fin des grèves de 1998 qui ont duré prés d'un an et demi dans certaines usines. L'exemple des US pour le reste du monde, c'est trés concurrentiel pour les entreprises, c'est: la santé ou la maladie c'est votre pb personnel (vpp), le chômage c'est vpp, la retraite c'est vpp. Donc les entreprises ne participent plus à l'effort social.
  
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CRI74 CRI74
19/03/2019 14:30:09
2

Que les élus fassent leur boulot !

On ne leur demande pas les solutions de facilité pour lesquelles ils sont parfaitement inutiles mais d'élaborer des solutions pour trouver les cotisants qui permettront d'équilibrer les comptes des caisses de retraites , donc d'abaisser le taux de chômage d'une part , de lutter efficacement contre les non déclarés par nombre d'entreprises ayant pignon sur rue d'autre part .

Lorsqu'on voit les difficultés de recrutement de pans entiers de l'économie ,les emplois vacants par dizaines de milliers , il existe à l'évidence d'énormes lacunes dans les lois et incitations aux formations dédiées par exemple , ou à l'obligation d'accepter des emplois au bout d'échéances de chômage

Etc .....

  
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Fibopivots Fibopivots
19/03/2019 14:06:45
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Puisqu'on exige des contribuables qu'ils fassent encore des efforts, que les contribuables exigent aussi de leurs élus qu'ils y participent aussi. Ils le valent bien vu leurs revenus quasi insolents dans un pays en grande crise.
  
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Fibopivots Fibopivots
19/03/2019 14:06:45
1

Agnès Buzyn, ministre de la Santé, le 6 mars 2019 à Paris (AFP/Archives/KENZO TRIBOUILLARD)

Relancé à la surprise générale par le gouvernement en pleine réforme des retraites, le débat sur l'âge de départ, qui contredit la promesse du candidat Macron, hérisse les syndicats, au moment où l'exécutif amorce la délicate sortie du grand débat.

Agnès Buzyn a allumé la mèche dimanche : "Pas hostile" à l'idée de retarder l'âge de départ en retraite, la ministre des Solidarités n'a pas exclu de "proposer un allongement de la durée de travail" dans le cadre des discussions sur le futur régime de retraites "universel" voulu par le chef de l'Etat.

"La durée de vie augmente d'année en année, moins vite ces dernières années mais elle a considérablement augmenté", a-t-elle fait valoir.

Des propos tenus, selon la ministre, "à titre personnel", mais qui ont fait bondir les syndicats.

"Elle est complètement en dehors des réalités du monde du travail, pour pouvoir dire des sottises - et je suis poli - comme ça", a balayé mardi le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez.

Depuis 1995, les réformes "se succèdent les unes après les autres et systématiquement elles conduisent à allonger la durée au travail", a rappelé de son côté son homologue de FO, Yves Veyrier.

A la CFTC non plus, "on ne s'attendait pas à ça", a réagi Pascale Coton, qui participe depuis plus d'un an à la concertation avec le haut commissaire à la réforme des retraites, Jean-Paul Delevoye. Une longue gestation censée aboutir à la présentation d'un projet de loi après les élections européennes du 26 mai.

La sortie de Mme Buzyn est "très malvenue dans le contexte social compliqué en France", a souligné Mme Coton, en référence au mouvement des "gilets jaunes" qui dure depuis quatre mois et s'est accompagné d'une nouvelle flambée de violence samedi.

Embarrassé, M. Delevoye lui-même s'est dit "très surpris", rappelant lundi sur Twitter que le gouvernement s'est engagé "publiquement" à maintenir "l'âge minimum de départ à la retraite" à 62 ans.

Mais mardi, Gérald Darmanin a embrayé sur la proposition d'Agnès Buzyn, la jugeant "courageuse" et digne d'être "étudiée" par l'exécutif.

- Le vent a tourné -

Pour le ministre des Comptes publics, il ne sera pas possible de financer les propositions qui ont émergé du grand débat "sans toucher à ce qui est l'essentiel de notre dépense publique, qui est la dépense sociale, composée en très grande partie des retraites".

Des déclarations qui "contredisent les engagements pris", selon Frédéric Sève, de la CFDT, qui a estimé dans un tweet que "la cacophonie rend impossible la discussion" et réclamé "une clarification" de l'Elysée et de Matignon.

Mais l'exécutif doit aussi résoudre une équation budgétaire. Certes, le candidat Macron affirmait dans son programme que "le problème des retraites n'est plus un problème financier".

Mais le vent a tourné: selon les dernières projections du Conseil d'orientation des retraites (COR), datées de juin 2018, "le solde financier du système s'établirait à -0,2% du PIB en 2022". Soit un trou dans la caisse d'environ 5 milliards d'euros.

Pour le combler, l'exécutif n'a plus beaucoup de cordes à son arc. En théorie, il pourrait s'appuyer sur les trois leviers classiques des réformes précédentes: les cotisations, le niveau des pensions et l'âge de départ.

Mais le premier a déjà servi, avec la hausse générale de la CSG début 2018, sur laquelle le chef de l'Etat a dû faire marche arrière pour une partie des retraités, espérant ainsi calmer la fronde des "gilets jaunes".

Le deuxième levier suit la même voie: après la "désindexation" des pensions de base, qui ont moins augmenté que l'inflation cette année, la majorité envisage une "réindexation" en 2020 pour les retraités modestes.

Reste donc l'option de l'âge de départ, plébiscitée par le patronat. Le Medef ne cache pas qu'il souhaite "inciter les assurés à partir plus tard que l'âge légal", par exemple en s'inspirant du bonus-malus mis en place sur les retraites complémentaires des salariés du privé (Agirc-Arrco).

Une solution qui permettrait à l'exécutif de ne pas trahir l'engagement du président de la République de maintenir l'âge légal à 62 ans.

"Cela reviendrait au même", estime Mme Coton, qui met en garde l'exécutif: "Il faut être honnête avec les Français".

© 2019 AFP

  
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