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"Apple,Amazon, Microsoft, Google, etc ont créé des millions d'emplois, enrichi les entreprises, les particuliers, les actionnaires, fait faire un bond fabuleux dans tous les domaines (économie, recherche, médical, spatial, militaire, communication, etc.
Chaque jour des milliards d'utilisateurs se réjouissent des possibilités et des avantages de leur ordinateur, de l'accès à des millions de sources d'information, de réservation, de gestion, etc"
Pouvez vous répondre à une question ?
==> Vous qui êtes contre les politiques fiscales soit-disant dissuasives, qu'en est-il de Starbucks ?
Bonne société ou non ?
Pour rappel, Starbucks c'est :
130 000 euros d’impôts payés par an
Des produits dégueulasses vendus à prix exorbitants
Des salariés sous pression qui subissent la volonté de résultats de l'entreprise
Alors, toujours pour ?
Amazon :
Des entrepôts gigantesques
Des salariés avec des bracelets comme en taule pour te surveiller
Des impôts dérisoires voir minables (aux Etats-Unis, en 2017, Amazon a même eu un taux d’impôts NÉGATIF ! Merci Donald !)
Apple
Des produits qui, avant, coûtaient une main, et maintenant les deux reins (un iphone coûte moins de 200 euros à fabriquer)
Des conditions de fabrications dignes du pire (Foxconn a dans ses usines des grilles anti-suicide pour éviter aux salariés de se jeter par la fenêtre)
Des impots dérisoires
Microsoft
Des scandales de sécurité pratiquement tout le temps (failles, correctifs des mois plus tard (on attend toujours le comblement des failles Spectre par son pote INTEL)
Peu d'impots
Le fin du fin !
Scandales à répétition (failles, ventes de données personnelles, ...) = La dernière en date : 540 millions de comptes dont les données sont sur les serveurs cloud d'amazon
Impôts ridicules
Sécurité RI-DI-CULE : Ce *** de terroriste australien a eu une VITRINE pour s'exposer, lui et ses idées (on se demande d'ailleurs ce que pensent les aborigènes)
Un patron qui fait ouin ouin devant le Sénat et le Congrès en disant qu'il est pas au courant
Planque 24 milliards par an dans les paradis fiscaux (dematons préfère taper le GJ, puisque Google a un oeil sur lui)
Passe des contrats avec l'armée américaine
Scandales à répétition (failles de sécurité, données publiques, etc)
Alors dematons, bonnes sociétés hein ?
Au fait, c'est ou c'était quoi votre métier
Moi je suis étudiant en fac à Metz, et vous ? (je vous relance, puisque je n'ai pas eu de réponse pour ma précédente sollicitation)
Message complété le 08/04/2019 13:06:08 par son auteur.
J'oubliais :
"enrichi (...) les particuliers..."
Pour Apple et Starbucks, en ce qui concerne l'enrichissement des particuliers, on repassera
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Wow tu mets Lenine et Staline dans le même bateau
Message complété le 07/04/2019 00:11:58 par son auteur.
C’est comme mettre charles de gaule et hollande au meme niveau
Message complété le 07/04/2019 00:12:21 par son auteur.
De Gaulle*
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dematons
« « Lemaire, fonctionnaire politicien, n'a jamais rien créé de sa vie, » »
Grôsssse erreur ! Il a créé des taxes.
Ceci dit, à part raconter des conneries, à part enfoncer des portes ouvertes, il n’est pas bon à grand choses. Mais on le paye quand même.
Un point en sa faveur, : on nous dit qu’il a démissionné de la fonction publique.
Pas d'accord avec ton bout de phrase "Gilet Jaune".
les Gilets Jaunes se battent POUR le Peuple, mais lemaire se bat CONTRE le Peuple,
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La décision française d'imposer une taxe sur le chiffre d'affaires aux géants du numérique a ravivé les tensions entre Paris et Washington, avec des échanges musclés, qui rappellent, dans une certaine mesure, la crise de la Guerre en Irak en 2003.
"Ce n'est pas tout à fait comparable à la guerre en Irak, car nous sommes aujourd'hui sur des tensions qui portent beaucoup plus sur des dossiers économiques", a expliqué à l'AFP Sylvie Matelly, économiste et directrice adjointe de l'Institut de relations internationales et stratégiques (Iris).
"Mais il est vrai que les Etats-Unis se trouvent dans une logique d'extra-territorialité et se permettent, sans aucun état d'âme, des atteintes à la souveraineté d'autres pays quand leurs intérêts sont en jeu", a-t-elle constaté.
Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo ne s'en est d'ailleurs pas privé jeudi après une réunion avec son homologue français Jean-Yves Le Drian à Washington, appelant sans détour la France à renoncer à sa taxe sur les géants d'internet, approuvée la veille en commission à l'Assemblée nationale.
De Bucarest, où il participe à une réunion des ministres des Finances européens, Bruno Le Maire a immédiatement répliqué, rappelant que chaque pays peut choisir librement sa politique fiscale.
"Nous sommes décidés à mettre en œuvre une taxe sur les plus grandes entreprises du numérique pour apporter plus de justice et plus d'efficacité au système fiscal international", a-t-il répondu à un moment où d'autres pays comme l'Autriche ou l'Espagne s'apprêtent à prendre de mêmes initiatives.
Paris a d'abord cherché un accord européen, mais elle s'est heurtée à l'opposition de l'Irlande, de la Suède, du Danemark et de la Finlande, avant de lancer seule son projet de taxe de 3% sur le chiffre d'affaires.
- Le retour du "faucon" -
M. Le Maire était conseiller du ministre des Affaires étrangères, Dominique de Villepin, lorsque la France s'était opposée à la guerre en Irak face à l'administration de George W. Bush, dont certains membres font aujourd'hui partie de la garde rapprochée de Donald Trump.
Dans son livre "Le nouvel empire", aux éditions Gallimard, il raconte comment il a retrouvé à la Maison Blanche l'an dernier John Bolton, "l'un des plus farouches avocats de la guerre" en Irak, aux côtés de M. Trump lors de la visite d'Emmanuel Macron à Washington il y a un an.
"Sa nomination comme conseiller à la sécurité nationale ne présageait rien de bon", écrit-il. "Je compris immédiatement que le faucon ne s'était pas transformé en colombe", a ajouté le ministre.
M. Pompeo, M. Bolton et le ministre du Commerce Wilbur Ross "incarnent effectivement la ligne dure au sein de l'administration américaine" sur la taxation des géants du numérique, a expliqué à l'AFP un spécialiste des questions fiscales, qui s'est exprimé sous anonymat.
"Le secrétaire au Trésor Steven Mnuchin a une position plus constructive et il recherche une position à long terme pour le numérique", a ajouté la source, convaincue qu'un compromis au sein de l'Organisation de coopération et développement économiques (OCDE) est possible d'ici la fin de l'année.
A Bucarest, le ministre a rejeté toute comparaison avec la guerre en Irak. "D'abord parce que les tensions ne sont pas aussi vives et surtout parce que nous partageons avec nos amis américains, le même objectif": "une fiscalité juste et efficace sur le numérique", a-t-il affirmé.
Paradoxalement, l'échec européen sur la taxe a remis dans la course l'OCDE, où les discussions sur un accord mondial étaient bloquées depuis plusieurs années par Washington.
"Je souhaite que les efforts de la France permettent, avec la contribution des États-Unis, d'accélérer les négociations engagées en vue de l'adoption d'une taxation internationale sur le numérique à l'OCDE, qui se substituera aux taxes nationales", a écrit M. Le Maire sur Twitter.
Pour Mme Matelly, la France aurait toutefois pu éviter de viser initialement les Gafa, l'acronyme pour Google, Amazon, Facebook et Apple, des groupes uniquement américains, même si elle a ensuite parlé de taxe sur les géants du numérique.
"En ne visant que des entreprises américaines, dans le contexte actuel de guerre commerciale, vous fâchez forcément l'équipe autour de Donald Trump", a-t-elle affirmé. "Ce n'est pas très adroit et cela peut être contreproductif", a-t-elle prévenu.
© 2019 AFP
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