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@sergiobress
Je ne m'explique pas pourquoi des dirigeants d'entreprises n'arrivent pas à se contenter des rémunérations considérables qui leur sont officiellement versées et se sentent obligés de "magouiller" pour accroître encore leurs revenus.
Ceci dit, Monsieur Ghosn a probablement agi avec l'accord tacite, tant de Renault que de Nissan. Et les sommes en cause ne sont que des broutilles face à ce que Monsieur Ghosn a fait pour Nissan, pour Renault et pour l'Alliance, devenue le premier constructeur mondial d'automobiles après l'acquisition de Mitsubishi.
L'inconvénient d'un accord tacite c'est que, par essence, il n'est pas écrit et qu'il peut donc être dénoncé à tout moment, sans préavis et sans justification.
C'est ce qu'ont fait les japonais de Nissan en dénonçant les pratiques de Monsieur Ghosn pour le mettre hors jeu et pour reprendre à terme les rênes de Nissan.
Cordialement
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Avant d'incriminer les japonais, demandez donc à Goshn où il place son argent qu'il gagne en France et puis ensuite on en reparlera ...................👎🏽
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Les japonais s'acharnent ... Normal, ce sont eux qui ont trouvé ce prétexte pour se débarrasser de Renault, pas seulement de Ghosn ...
Les cadres de direction de Renault enfoncent Ghosn, tant qu'à faire ...
L'Etat français/plus gros actionnaire ne fait pas grand chose !
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Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, a appelé samedi le Japon à respecter les droits et la présomption d'innocence de Carlos Ghosn lors d'un entretien avec son homologue nippon.
"J'ai évidemment évoqué le cas de M. Carlos Ghosn avec mon collègue Taro Kono", a déclaré M. Le Drian à l'issue d'une rencontre avec son homologue japonais en marge d'une réunion des ministres des Affaires étrangères des sept pays les plus industrialisés (G7) à Dinard, dans le nord-ouest de la France.
"Je lui ai dit deux choses: d'abord, que la France respectait totalement la souveraineté et l'indépendance de la justice japonaise. Et j'ai rappelé aussi notre attachement au respect de la présomption d'innocence et la pleine application de la protection consulaire", a-t-il ajouté.
Arrêté un mois après sa remise en liberté, Carlos Ghosn, l'ancien PDG de Renault-Nissan, a été une nouvelle fois placé en garde à vue au Japon jusqu'au 14 avril au moins pour répondre à de nouveaux soupçons de malversations financières.
Le tribunal de Tokyo a approuvé vendredi la requête du parquet, qui invoque un "risque d'altération des preuves" pour justifier le maintien en détention de l'ancien patron.
Avant de retourner en prison, M. Ghosn, "combatif", a dénoncé "un acharnement" et fait "appel au gouvernement français", dans une interview aux chaînes françaises TF1/LCI.
© 2019 AFP
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