Elle a était condamné pour "abus de confiance" ainsi que "complicité d’abattage hors d’un abattoir dans des conditions illicites" selon un article de France TV daté du dimanche 7 avril 2019.
Elle n'est pas condamné pour avoir abattu le cochon mais pour l'avoir tué dans des conditions non conformes à la réglementation.
Lien vers l'article : https://www.francetvinfo.fr/animaux/vannes-elle-devait-s-occuper-d-un-cochon-sauve-par-une-association-elle-en-fait-du-pate_3269789.html
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je serais de toi moicmoi je ne parlerais pas de l'abattage des moutons car tu vas avoir beaucoup plus de problèmes que pour celui des cochons si tu vois la subtilité!
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Ô putaing !
On va se retrouver avec des centaines , voire des milliers, d’abatteurs, de bouchers, en cabane pour avoir tué et vendu de la viande de porc.
Et bientôt, pourquoi pas , ,la mesure pourrait s’étendre à tous les animaux : boeufs, moutons, poulets, lapins, grenouilles, escargots,….
Et pourquoi pas aussi embastiller ceux qui les cuisinent ?
Tiens . En poussant un peu le bouchon, on pourrait aussi mettre en taule tous ceux qui en mangent.
Ah quelle rigolade : des dizaines de millions de Français en prison pour avoir bouffé de l’animal.
Parce que, c’est bien connu, les animaux sont faits pour décorer les dessus de cheminées, ou les étagères. Mais pas pour être bouffés.
Moi je m’en fout, je ne mange que du pâté, je ne suis donc pas concerné.
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Elle a bien fait la dame, y a avait que ça d'intelligent a faire.
Surtout que le cochon fermier c'est super bon!
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Selon le quotidien breton, Babe avait été sauvé à l'âge de deux mois par la responsable de l’association Le Paradis de la dernière chance, une structure "qui aide les équidés destinés à l’abattoir". Lorsque cette dernière a déménagé, elle a confié "en toute confiance" l'animal à une commerçante ambulante de Saint-Jacut-les-Pins (Morbihan), après avoir scellé un contrat d’adoption, lequel "empêchait toute maltraitance et a fortiori tout abattage", écrit Le Télégramme.
Or, fin décembre 2016, des gendarmes ont découvert "110 kg de viande entassés dans des boîtes trônant sur le buffet de la gardienne", écrit le quotidien régional.
"L’animal était trop grand pour le nourrir, il s’était échappé plusieurs fois de son enclos. Je l’avais confié à mon ex-mari qui a fait appel à un boucher pour le tuer d’un coup de fusil", s'est-elle défendue, selon Le Télégramme. A la barre, l'ex-mari a donné une autre version des faits : "Dès le départ, elle voulait le tuer pour le manger et je n’étais pas au courant du contrat d’adoption."
Sans doute un cochon sacré ! lol de lol!
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