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BIC est à suivre ce vendredi à la bourse de Paris.
Le fabricant de stylos, de briquets et de rasoirs jetables a annoncé jeudi la suppression d'environ 450 postes, dont une centaine à son siège de Clichy dans les Hauts-de-Seine.
REUTERS/Benoit Tessier
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Attention l'usine ne ferme pas elle a été vendue 9 m € . Les machines qui fabrique les fameux 4 couleurs partent pour partie en Tunisie ( baisse de coût de production ) et l'autre partie à marne la vallée (savoir faire et qualité même si le coût de production est plus eleve) quant aux rasoirs n'en déplaise, fabrique à l'usine de verberie dans l'Oise c'est bien lui qui tire la croissance du groupe dans la catégorie papeterie. C'est le briquet qui plombe le groupe ( merci aux chinois avec leurs contrefaçons et leurs briquets sans sécurité enfants bon marchés ). D'autre part je pense aussi que vendre des collants bic ( en Grèce notamment) s'avère être un mauvais choix industriel.
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