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DSK pas maître de son kiki ?
qu’est-ce qui vous fait dire ça ?
D’autant plus qu’il doit savoir que les histoires de kikis qui tournent mal, ça peut ruiner une carrière.
Sûr qu’il ne ferait pas ça, notre DD est-ce KK
Hélas pour lui, un sale jour, le zizi à pris le pas sur le cerveau. Ça lui a coûté un max.
Des fois, des histoires de cul,.... ça pue.
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Même avis sur DSK une cerveau et un zizi, un cerveau au moins
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Bien d'accord avec vous ! 👍
Message complété le 12/04/2019 10:50:11 par son auteur.
... concerne metoo 😉
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Bonjour à tous,
la vie privée(sexuelle) de DSK ne m'intéresse pas. Pareillement, la mienne n'a à intéresser PERSONNE !!
PAR CONTRE, ses MEGA compétences ont été perdues. Quel dommage !!!
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il a raison. Les Anglais ont été manipulés par les pro Brexit, qui ont pour la plupart démissionné dès que le brexit a été voté, comme pour s'en laver les mains et aujourd'hui, ceux qui restent, sont contre tout.
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C’est du bon sens
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Bonjour à toutes et à tous,
Cela a été ma réaction également.
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Dominique Strauss-Kahn, ancien directeur général du Fonds monétaire international (FMI), plaide pour un Brexit rapide si les Britanniques devaient refuser de voter l'accord sur la table, alertant sur "le coût des tergiversations".
"Que le peuple britannique ait choisi de tracer sa route seul, c'est de mon point de vue une erreur, mais c'est sa liberté", écrit-il dans une tribune mise en ligne jeudi sur le site des Echos, en critiquant "l'irresponsabilité" et les "mensonges" des promoteurs du Brexit, mais aussi l'action des Britanniques au sein de l'Union européenne en fonction de leur seul intérêt.
"Dès lors, devant l'impasse, s'il devait s'avérer que le Parlement britannique refuse de voter l'accord qui est sur la table et si un second référendum n'est pas envisageable, alors il faut se séparer et il faut se séparer vite", conseille-t-il au lendemain d'un nouveau report du Brexit, au 31 octobre, décidé par les 27 membres de l'UE pour éviter un divorce sans accord.
"Bien sûr, le +hard Brexit+ sera coûteux pour l'Union, et il le sera beaucoup plus encore pour les Britanniques. Mais ce coût n'est rien comparé à celui des tergiversations que nous voyons se dessiner", prévient-il: "les attitudes tièdes et hésitantes, comme les reports successifs, mettent en péril ce que nous avons bâti".
Il fustige aussi les promoteurs les plus virulents du Brexit, "plus europhobes que Brexiters", qui "cherchent à nuire à l'Union plus qu'à servir leur pays", y voyant un "danger mortel" pour l'UE.
Plus généralement, il juge que "sans (les Britanniques), l'Union serait aujourd'hui beaucoup plus loin, beaucoup plus forte, beaucoup plus unie", car ces "héritiers d'un immense empire et vainqueurs incontestés de deux guerres mondiales (...), n'ont jamais dépassé leur nationalisme et la géopolitique qui en découle", et leur action n'a souvent "visé qu'au ralentissement de la construction européenne, conformément à ce qu'ils jugeaient être leur intérêt".
Au final, "s'ils votent le projet de traité, ils sortiront de façon ordonnée car le travail de la Commission a été exemplaire; s'ils revotent et ne veulent plus partir, ils resteront avec nous; mais si aucune de ces deux possibilités ne se réalise, alors je suis un Brexiter attristé: il faut que le Brexit ait lieu vite quel qu'en soit le coût et que l'Union poursuive son chemin".
© 2019 AFP
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