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Trump : jexposais cette hypothese il y a plusieurs mois



Luncyan Luncyan
11/05/2019 11:57:05
1

Merci Dubaisan pour cette précision.


J'ai moi même cru que c'était amazon, ah cette entreprise est vraiment une plais

Message complété le 11/05/2019 11:57:21 par son auteur.

plaie*

  
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Dubaisan Dubaisan
11/05/2019 09:46:55
1

Luncyan,

La dette de la Chine comme celle du Japon, est à 95% intérieure. Le risque de défaut est quasiment nul. Par contre la dette américaine qu’elle détient est importante.

Message complété le 11/05/2019 10:01:21 par son auteur.

JD1976,
Dans l’article de Lecaussin, une chose m’a choquée qui discrédite et l’article et son auteur :
Ce n’est pas Amazon qui vient de fixer le smic horaire à 15 USD ! C’est l’état de Californie qui vient récemment de l’augmenter ! La nuance est de taille pour ne pas être relevée.
C’est ce que j’ai appris ce matin en réunion à Los Angeles...
Les mots et les phrases ont un sens. On n’a pas le droit à ce niveau de dire ou d’écrire n’importe quoi.

  
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CRI74 CRI74
10/05/2019 17:57:27
0

Les tenants des solutions de facilité irresponsables seront les premiers à hurler lorsque les réalités économiques deviendront incontournables , notamment face à un niveau d'endettement astronomique intenable , celui qui permet de tirer plus ou moins artificiellement la croissance US .

Et vous voudriez que la France pratique ainsi , déjà bien laxiste en soutenant tout aussi artificiellement les entreprises à coup de subventions sur le dos de la population en général et non en pratiquant bien plus logiquement , à savoir orienter les ressources vers la consommation et l'investissement qui tireront naturellement et sans artifice l'économie

Mais bon , mieux vaut sans doute inspirer des gilets jaunes internationaux et autres démagogies extrémistes ....


  
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JD1976 JD1976
10/05/2019 15:13:36
1

Voici ce qu’en dit Nicolas Lecaussin est Directeur de l’IREF (Institut de Recherches Economiques et Fiscales) et vient de publier Les donneurs de leçons aux Editions du Rocher.


Pourquoi Trump remporte des victoires envers et contre tous

Publié le 07/05/2019 à 19:03

FIGAROVOX/TRIBUNE - La cote de popularité de Trump franchit la barre des 45%. Nicolas Lecaussin rappelle que cette popularité est aussi liée aux succès économiques de Trump, qu’il salue en expliquant que les facteurs à l’origine de la bonne santé américaine devraient inspirer d’autres leaders politiques, en particulier français.

Lorsque le président Donald Trump a été élu, nombreux étaient ceux (y compris des prix Nobel d’économie) qui soutenaient que l’économie américaine allait s’écrouler et les marchés financiers dégringoler. Quand on a vu que la croissance revenait (en fait, il y a eu un ralentissement lors des deux dernières années d’Obama!), les mêmes ont affirmé que ça n’allait pas durer, que la croissance serait éphémère et que la récession ne saurait tarder! Dans son éditorial du 8 avril dernier publié dans le New York Times, le prix Nobel d’économie Paul Krugman s’obstine et écrit que Trump s’en prend à la Fed (la Banque centrale américaine) parce que l’impact des baisses d’impôts et des suppressions des réglementations n’aurait été que de la «poudre aux yeux» et n’aurait servi qu’à retarder la récession. Or on apprenait il y a quelques jours que l’économie affiche un taux de croissance à 3.2 % au premier trimestre 2019, largement au-dessus des prévisions. Malgré le «shutdown» de janvier, la croissance est tirée par les exportations et les investissements privés, très importants depuis 2017, ainsi que par les réformes dues à l’administration Trump.

La croissance économique américaine lors des quatre derniers trimestres a été supérieure à 3 %...

La baisse de la fiscalité des entreprises et des ménages, les réductions et suppressions de normes et de réglementations, en particulier environnementales, ont donné de l’air et plus de libertés aux entrepreneurs qui ont choisi d’investir. D’où les fortes créations d’emplois ainsi que les hausses des salaires sur un marché du travail où la main-d’œuvre se fait rare.

Le premier trimestre a également été marqué par le ralentissement de l’inflation, l’indice des prix des achats intérieurs bruts augmentant de seulement 0,8%. C’est le rythme le plus lent depuis le premier trimestre 2016. Même avec la récente hausse des prix du pétrole, il n’existe aucun risque d’inflation et la Réserve fédérale ne devrait pas relever ses taux d’intérêt.

La croissance économique américaine lors des quatre derniers trimestres a été supérieure à 3 % en taux annuel alors que dans des pays européens comme la France et l’Allemagne, elle a tourné autour de 1.5 %.

Après l’annonce du taux de croissance, les dernières données sur l’emploi (Labor Statistics, 4 mai) sont aussi impressionnantes: l’économie a créé 263 000 emplois supplémentaires en avril, le taux de chômage ayant chuté à 3,6%, le plus bas taux enregistré depuis cinq décennies. Mais la meilleure nouvelle est que les plus gros bénéficiaires de ce marché du travail libéré sont les personnes qui ont connu des difficultés au cours des années de croissance lente d’Obama, c’est-à-dire les personnes peu qualifiées.

Les statistiques montrent que les Américains le moins diplômés bénéficient d’une croissance plus rapide des salaires et de l’emploi. Le secteur de la construction par exemple a créé 33 000 emplois le mois dernier et 256 000 au cours de la dernière année (2018). Le ministère du Travail a indiqué que la productivité des travailleurs avait augmenté de 3,6% au quatrième trimestre et de 2,4% par rapport à l’année dernière à la même époque, soit le taux le plus rapide enregistré depuis 2010. Parallèlement, en avril, la hausse du salaire horaire moyen mensuel des travailleurs non qualifiés était de 0,3%, contre 0,2% pour tous les travailleurs. Le gain salarial sur 12 mois est de 3,4% pour les moins qualifiés, contre 3,2% pour l’ensemble des employés. Même le salaire minimum est en forte hausse et les décisions politiques n’y sont pour rien. Dans 21 états américains, le salaire de base augmente régulièrement grâce au marché. La société Amazon vient même de fixer le salaire minimum à 15 dollars/l’heure et s diverses sociétés ont fait de même.

N’en déplaise aux égalitaristes et autres progressistes, ce sont bien la croissance économique et les créations d’emplois qui font reculer la pauvreté et réduisent les inégalités.

Les facteurs à l’origine de la bonne santé de l’économie américaine devraient inspirer d’autres leaders politiques, en particulier français.

Il y aura toujours des économistes comme Paul Krugman pour critiquer la politique économique du président Trump ou - ils sont plus rares aujourd’hui - pour attribuer les fruits de cette croissance au président Obama). Mais difficile de nier les faits économiques éternellement. Certes, on peut s’inquiéter de certaines positions protectionnistes de M. Trump mais la récente rencontre avec le Premier ministre japonais augure plutôt de belles perspectives de libre-échange entre les deux pays sans forcément passer par les organisations internationales. Pour le moment, les facteurs à l’origine de la bonne santé de l’économie américaine devraient inspirer d’autres leaders politiques, en particulier français.

L’économie mais aussi les conclusions du fameux rapport Mueller sur les prétendues collusions avec les Russes lors des élections de 2016 ont beaucoup renforcé le président américain face à ses détracteurs, et pas seulement.

  
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Alain07 Alain07
10/05/2019 14:54:24
3

D'une part le US sont hyper endettés et d'autres part, si vous regardez où se situe les matériaux de base, très en vogue actuellement comme le lithium, vous verrez que Trump ne peut pas faire ce qu'il veut, sous peine de ruiner son propre pays.

Pour l'instant, il est en période pré électorale, il faut qu'il fasse du bruit, qu'il se montre auprès de son électorat...

Mais ces petites manoeuvres sont bien déstabilisantes pour le monde entier.

C'est dingue qu'une personne puisse détenir autant de pouvoir avec un aussi petit cerveau

(regardez les résultats de ses propres sociétés, elles perdent de l'argent....)

  
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CRI74 CRI74
10/05/2019 14:38:04
1

La Chine ayant également tant d'emprunts d'état US dans ses cartons que .....

  
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Luncyan Luncyan
10/05/2019 14:34:06
0

L’hypothese selon laquelle Trump sait qu’on ne peut pas grimper indefiniment, pas meme les US et que sa technique serait de faire plutot tomber les autres en commençant par tenter d’y crée une crise.

La chine a tellement de dette qu’elle doit absolument rester au dessus des 5% de croissance pour tenir bon et Trump a comprit que pour garder l’egemonie US et du $ il faut tuer toutes les economies unes a unes en commençant par les emergeants.

Pesos, real, livre turc, maintenant il veut tuer le yuan - son pous gros adversaire, il s’attaquera ensuite a decouper l’euro, le rouble encore ?

  
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