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GB: faillite du sidérurgiste British Steel, des milliers d'emplois men

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era era
24/05/2019 12:23:23
0

le parallèle entre l'affaire Lambert et l'affaire Ascoval est très juste car il montre en deux phrases la même tromperie et la même stupidité de ceux qui en sont responsables.

  
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dematons dematons
22/05/2019 21:37:48
0

Je n'ai pas besoin d'applaudissements ; mais s'il y en a ils ne me froissent pas.

  
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dematons dematons
22/05/2019 21:35:16
1

la mère Lambert, catho hystérisée et radicalisée, s'acharne contre la volonté de son fils et de son épouse, de ne pas laisser mourir celui ci qui est condamné.

le père Lemère, démago hystérisé et radicalisé, s'acharne contre l'élémentaire bon sens économique à ne pas laisser mourir cette entreprise condamnée.


Ce n'est pas une figure de style, c'est la triste réalité.

  
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dematons dematons
22/05/2019 17:38:07
0

Et je rapelle la pertinence de mon propos d'hier, qui se confirme bien dès aujourd'hui :

"Une décision antiéconomique made in France comme les politiciens français en ont le secret.

On dirait la mère Lambert et son malheureux enfant.

1- cette entreprise ne vaut pas tripette et c'est bien pour cela qu'elle est à la ramasse, et qu'il faut la laisser mourir

2- si aucun industriel du secteur s'est précipité, c'est qu'il doit y avoir mille raisons

3- et si aucune banque ne s'est manifestée c'est qu'il doit y avoir mille raisons.

mais les politiciens qui n'y connaissent rien, sauf à jeter l'argent des autres par la fenêtre, eux, pensent que c'est les braillards, les casseurs et autres salariés déqualifiés qui sont des cadors qu'il faut écouter !!!"

  
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Fibopivots Fibopivots
22/05/2019 17:36:13
0
Moins de pollution. Moins d'emplois.
  
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dematons dematons
22/05/2019 17:34:23
0
Ils ont l'air malins les lemaire, bertrand, cgt et autres politiciens : quand une entreprise est daubasse, elle doit disparaitre.
Cest parce que la france refuse les régles économiques qu'il n'y a plus d'industrie forte ici.
Et qu'il y a une dette qui ne diminue pas en engloutissant des milliards oerdus en subventions, donc en impôt, donc charges, donc en chomage.
  
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Obywan Obywan
22/05/2019 17:25:05
1

... bonjour le raccourci !!


ce serait donc le Co2 le responsable !!

  
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floalain floalain
22/05/2019 17:23:02
0
L'Europe une fois de plus tue nos industrie avec la taxation des émissions de CO2. Je serais curieux de savoir si les aciéries des pays asiatiques payent une taxe semblable.
  
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floalain floalain
22/05/2019 17:23:02
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L'usine British Steel de Scunthorpe, dans le nord-est de l'Angleterre, le 22 mai 2019 (AFP/Lindsey Parnaby)

Le sidérurgiste British Steel a fait faillite, ont annoncé mercredi les autorités au Royaume-Uni, plongeant des milliers de salariés dans l'incertitude, à peine une semaine après la reprise par ce groupe de l'aciériste français Ascoval.

"La Haute cour a ordonné la liquidation de British Steel Limited. L'administrateur judiciaire officiel a été nommé comme liquidateur", a annoncé le gouvernement britannique.

Les actifs de British Steel au Royaume-Uni vont être vendus pour payer les salariés et les fournisseurs. Pendant ce temps, l'entreprise devrait encore tourner, "les employés seront payés et toujours sous contrat", a précisé l'administrateur officiel.

British Steel disparaîtra une fois ceci bouclé et les quelque 4.500 employés du groupe au Royaume-Uni pourraient perdre leur emploi si aucun repreneur ne se manifeste, notamment pour le site géant de Scunthorpe dans le nord-est de l'Angleterre.

"C'est une nouvelle terrible pour les milliers de travailleurs" de British Steel au Royaume-Uni, a déploré Tim Roache, secrétaire général du syndicat GMB.

Une vingtaine de milliers de personnes travaillent de surcroît pour les fournisseurs de British Steel et leur sort suscitait aussi l'inquiétude.

En France, la reprise d'Ascoval à Saint-Saulve (Nord) n'est toutefois pas remise en cause, a assuré mercredi le gouvernement français qui a souligné que les financements pour les opérations britanniques et françaises de British Steel étaient distincts. Inquiets, les salariés de British Steel Saint-Saulve, ex-Ascoval, ont toutefois décidé d'"arrêter" le four de l'aciérie.

Le gouvernement britannique avait sorti d'affaire British Steel le mois dernier en lui accordant un prêt de plus d'une centaine de millions de livres, destiné à payer aux autorités européennes une facture liée aux émissions de CO2.

Mais de nouvelles discussions d'urgence se sont tenues ces derniers jours entre le sidérurgiste et le gouvernement, autour d'une nouvelle aide de quelques dizaines de millions de livres pour British Steel, qui se trouvait à cours de liquidités.


Des employés quittent l'usine British Steel de Scunthorpe, dans le nord-est de l'Angleterre, le 22 mai 2019 (AFP/Lindsey Parnaby)

"Le gouvernement a travaillé sans relâche avec l'entreprise, son propriétaire Greybull Capital et ses créanciers pour explorer toutes les options possibles afin de trouver une solution", a assuré la Première ministre conservatrice Theresa May, interpellée à ce sujet à la Chambre des communes par le chef des travaillistes, Jeremy Corbyn.

Mais, a assuré Mme May, "il aurait été illégal d'accorder un prêt ou une garantie dans les termes que demandait l'entreprise" cette fois.

M. Corbyn a fait part de son "indignation", accusant le gouvernement d'avoir "trahi" l'industrie sidérurgique britannique.

- Industrie en difficulté -

Pilier de la révolution industrielle en Angleterre, la sidérurgie conserve une place à part dans l'histoire et les coeurs du pays.

La renaissance de la marque British Steel au Royaume-Uni il y a trois ans avait d'ailleurs constitué l'épilogue provisoire d'un long feuilleton politique, économique et social provoqué par la décision du géant indien Tata Steel, numéro un du secteur au Royaume-Uni, d'y réduire ses activités.

Greybull Capital avait alors repris la division européenne de produits longs de Tata Steel, notamment l'acierie de Scunthorpe, pour un prix symbolique. Ces produits sont demandés dans le secteur ferroviaire et de la construction, la SNCF française et le britannique Network Rail étant des clients importants.

"Après avoir sauvé cette activité de la fermeture il y a trois ans, nous avons travaillé dur pour la remettre sur pied", a expliqué un porte-parole de Greybull Capital, qui a assuré que "les complications liées au Brexit" s'étaient finalement révélées "insurmontables".

Cette faillite intervient au moment où les activités restantes de Tata Steel au Royaume-Uni et en Europe sonts elles aussi plongées dans l'incertitude, après l'échec de leur fusion avec celles l'allemand Thyssenkrupp. L'incertitude est particulièrement forte pour l'usine géante de plus de 4.000 salariés de Tata Steel à Port Talbot au Pays de Galles.

La sidérurgie britannique subit l'afflux d'aciers à prix bas en provenance d'Asie mais ses difficultés sont exacerbées par la faiblesse de la livre sterling et par des prix élevés de l'électricité qui renchérissent les coûts de production.

© 2019 AFP

  
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