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Bonjour à tous,
Dematons,
Vous donnez des leçons à tout le monde vous ne connaissez même pas votre histoire...
Je vous vois régulièrement poster des immondices sur ce forum, vous pensez connaître le monde mais tous ce que vous connaissez n'est qu'une vision de l'histoire travestie par des putains de ricains, votre prisme de lecture est totalement biaiser et vous êtes l'archétype du totalitarisme des années 30.
Ouvrez un livre avant d'insulter tout le monde merci !
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Dire que les américains ont sauvé le monde du fascisme et du communisme, ça c'est la légende.
Pour ce qui est de la seconde guerre mondiale : Hitler a été mis au pouvoir par la diligencia américiane, jusine Ford construite en Allemagne, financement des banque américaines au régime, déplacement de Lindberg, héros national américain, au congrès de vienne, soutien de eugénistes américains au idées hitlèrienne. En clair, ils ont aidé Hitler dans le but de dézinguer Staline mais la marionnette leur a échappé...Ca c'est les non dits.
Par ailleurs, un certains nombres de personnalités américaines ont failli avoir des problèmes après la défaite allemande, dont un certain Prescot Bush......
Mais comme la guerre froide commençait, on a oublié tout çà....
Le jour le plus long : débarquement en catastrophe pour arriver à Berlin avant les Russes.... C'est d'ailleurs une hérésie militaire de procéder à un débarquement en plein été où les arrivants offre une cible de choix en pleine lumière....
Les hautes sphères américaines n'ont pas hésité à sacrifier leurs boys, qui eux, sont intervenus dans un élan de générosité dont ne peuvent se prévaloir les dirigeants américains.
Enfin, tout cela n'a pas été "gratuit", l'Amérique s'est enrichie avec le plan Marshall.
L'intervention américaine en France n'était pas dénuée de certaines arrières pensées, notamment d'établir en France un "protectorat", d'ailleurs des timbres ( mariannes non émises ) et de billets de banques spécifiques avaient été imprimés.
De Gaulle en a publiquement interdit la circulation en France...C'est d'ailleurs une des raison pour lesquelles les anglais et les américains ne voulaient pas le reconnaître au début, mais le contetxte politique et les différents rapports de force entre les parties les y ont contraints.
Pour ce qui est du communisme , selon la norme de l'enthropisme, tout système est générateur de sa propre destruction, le communisme était appelé à disparaître.
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"C'est vraiment super triste", se lamente Mario Diaz en voyant s'éloigner l'Empress of the Seas, le dernier paquebot de croisière américain à quitter Cuba après l'annonce de nouvelles sanctions de Washington contre l'industrie touristique de l'île.
A un arrêt de bus du Malecon, la célèbre avenue côtière de La Havane, Mario, DJ de 19 ans, était aux premières loges quand l'imposant paquebot a largué les amarres, mercredi après-midi.
Le président américain Barack "Obama était venu ici à Cuba et c'était historique, en 2016", se souvient le jeune Cubain. "Maintenant, on voit arriver (Donald) Trump, et du jour au lendemain tout repart en arrière", se désole-t-il, regrettant aussi ces touristes américains comme source de revenus "très importante" pour l'île.
L'Empress of the Seas (L'Impératrice des mers), battant pavillon des Bahamas et propriété de la compagnie américaine Royal Caribbean Cruises, avait accosté mardi au port de La Havane, pour une escale de deux jours.
Mais dès l'arrivée, douche froide: les Etats-Unis ont imposé de nouvelles sanctions à Cuba, en représailles de son soutien au Venezuela de Nicolas Maduro, et ont interdit aux Américains de s'y rendre en voyages de groupe, en croisière ou encore en avion privé.
Personne ne s'attendait à l'annonce de telles sanctions, entrées en vigueur mercredi. De nombreux passagers en ont été informés pendant leur visite de la capitale cubaine.
- "Véritable surprise" -
"Est-ce bien ou mal, nous n'en savons rien en tant que citoyens américains. Cela a été une véritable surprise pour nous", confie à l'AFP Linda Mensure, originaire du Texas.
C'est le rapprochement diplomatique entre les deux ex-ennemis de la Guerre froide, initié fin 2014, qui avait permis l'arrivée le 2 mai 2016 d'un navire de croisière américain, le premier depuis 1959.
Le pêcheur Fernando Santana, 50 ans, s'en souvient bien: avec son téléphone, il avait filmé l'événement et les cris de joie des Cubains sur le quai, pendant que le paquebot Adonia Fathom, de l'entreprise Carnival, faisait retentir sa corne de brume.
L'ambiance mercredi était nettement plus morose. Alors que le bateau prenait le large, ses passagers sont sortis sur le pont pour dire au revoir aux quelques habitants présents sur le Malecon, en agitant les bras et de petits drapeaux cubains.
"Obama a fait beaucoup de changements et essayé de rapprocher les deux peuples", mais "après est arrivé un abruti, et ce qu'avait fait son prédécesseur avec sa tête, il a tout cassé avec ses pieds", soupire Fernando.
Ces dernières années, la croisière était devenue le moyen préféré des Américains pour venir à Cuba sans s'attirer d'ennuis pour éventuelle infraction à l'embargo en vigueur depuis 1962: les touristes ne passent généralement qu'une journée à La Havane, puis font escale ailleurs dans l'île... mais sans dormir une seule nuit sur le sol cubain.
En 2018, sur les 877.000 touristes venus en croisière à Cuba, 38,9% étaient américains, selon les chiffres officiels. Ce qui a dopé les arrivées d'Américains en général, qui ont été plus de 250.000 à se rendre sur l'île au cours des quatre premiers mois de 2019, presque le double par rapport à 2017.
- 800.000 voyageurs affectés -
Cette parenthèse enchantée n'aura finalement duré que trois ans.
"Des gens ont programmé leur voyage pour la semaine prochaine et ne peuvent plus venir. C'est triste", déplore Jim Johnson, un touriste venu de Floride, à propos de compatriotes ayant acheté des billets pour des croisières incluant Cuba.
D'autres ont appris la mauvaise nouvelle alors qu'ils étaient déjà en route pour l'île.
"Je suis une parmi des centaines de passagers très en colère, à bord d'un paquebot de croisière au milieu des Caraïbes", a rouspété sur Twitter l'infirmière Cindy Hamilton. "Nous avions tous prévu cette croisière dans la perspective de faire escale à Cuba. Très déçue!"
Après quelques heures de confusion où les questions de clients fusaient sur internet, l'Association internationale des croisiéristes (CLIA) a clarifié les choses: les entreprises de croisière américaines "sont obligées d'éliminer la destination Cuba de tous les itinéraires, avec effet immédiat".
Selon l'association, ces mesures affectent "près de 800.000 voyages de passagers programmés ou déjà en cours".
© 2019 AFP
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