Renault: l'action Renault en chute au lendemain du retrait de l'offre

"Majoritaire avec 15% !

Bien sûr, et 1+1=3"

Bah si aucun actionnaire ne dépasse les 15,01%, alors oui il est majoritaire, étant celui qui a plus de poids dans l'actionnariat

De plus en plus drôle ces commentaires !

Et oui je suis très content, surtout quand une entreprise comme FCA ne cherche même pas à investir dans l'avenir, préférant récupérer du fric chez Renault qui est très bien portant du point de vue bénéfices

Et en attendant, mais c'est pas la première, ni la dernière fois que je vous le dis, c'est pas parce que l'Etat est présent au capital que l'entreprise est finie

Nombre d'aéroports, entreprises privées, sont détenues majoritairement par des actionnaires publics (en Allemagne, R-U, USA)

Y a cas regarder ce qui s'est passé avec PSA en France: C'est bien l'Etat, de concert avec les chinois, qui ont sauvé l'entreprise

Aux USA, General Motors a été sauvée de la faillite par l'Etat aussi

M'enfin...

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Majoritaire avec 15% !
Bien sûr, et 1+1=3
Quelles connaissances et quelles compétences, confirmé par le commentaire du même tonneau se félicitant de l'échec d'une belle opportunité de se débarrasser de l'état politicien incompétent et démagogique.

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"Elle met aussi en avant le problème que peut poser un actionnaire public minoritaire au sein d'un groupe privé, bridé dans sa stratégie de développement."

Je croyais que l'Etat était majoritaire, avec 15,01% du capital, devant Nissan et ses 15,00% ??
Et tant mieux si cette fusion a capoté. Y a d'autres cibles bien mieux portantes pour Renault.

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L'action du constructeur automobile français est fortement chahutée ce matin à la bourse de Paris, reculant dans les premiers échanges de 6,76 % à 52,40 euros. La valeur signe la plus forte baisse de toutes les valeurs du CAC 40.

La raison de la chute est a rechercher du côté de Fiat Chrysler Automobiles (FCA). Ce dernier vient de décider de retirer sa proposition de fusion adressée à Renault.

En effet, FCA a été lassé des atermoiements du français, le conseil d'administration de ce dernier étant incapable de prendre une décision en raison notamment de l'intervention de l'État et du ministre de l'économie, Bruno Le Maire.

Une occasion qui s'envole donc pour Renault et qui fragilise le tout récent président du groupe, Jean Dominique Sénart. Elle met aussi en avant le problème que peut poser un actionnaire public minoritaire au sein d'un groupe privé, bridé dans sa stratégie de développement.

© www.abcbourse.com

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