Assurance chômage: le gouvernement peaufine sa réforme

Le chomage n’est pas la condition necessaire pour avoir l’idee qui nous rendrait riche en chine.

Tu dis ça avec une telle facilité sur tes reussites a la neymar combien de footballer s’y sont cassé les dents ?

Message complété le 09/06/2019 09:25:52 par son auteur.

Tout le monde n’est pas entrepreneur,

En tout cas merci pour tes exemples ils motivent :)

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Je ne suis absolument pas une exception. Ici à Shanghai et en Chine, il y a des centaines de français dans mon cas et dont on ne parle jamais:

- un pote qui s'est lancé dans le bio et les salades en sachets prêtes à consommer qui est devenu le fournisseur leader des Mac Do, Kentucky, de restaurants et de chaines entières dans toute la Chine.

-d'autres qui se sont lancés avec succès dans la restauration, l'import et la distribution de vins, de fromages, dans la boulangerie, la pâtisserie, la coiffure, la dentelle, l'horticulture, l'audio-visuel (un proche qui fait des reportages pour toutes les grandes chaines françaises), la publicité, le conseil, le design, l'architecture etc...

Beaucoup ont été au chômage en France ou n'ont pas fait d'études universitaires, tous comme moi ont ramé, connu de grosses galères et difficultés avant d'en récolter les fruits. Ceux qui ont échoues, étaient ceux qui recherchaient le maximum de sécurité.

Un point commun entre tous: la volonté de se battre et de s'en sortir sans l'aide de l'Etat, pas de chiâler sur la perte de nos emplois respectifs (PS: j'ai connu deux fois le chômage en France: la 1ére fois à cause de ma grande gueule, la 2èm encore à cause de ma grande gueule …).

"Le raccourci de quelques uns mériterait que ceux ci s'y retrouvent également.".

La conception de l'Egalité d'Ettircs est la parfaite illustration de la bien-pensance issue du bolchevisme français qui sévit dans ce pays depuis 50 ans: celle ou tout le monde doit être aligné sur les médiocres qui ont raté leur vie.

C'est clair, ce n'est pas la mienne et je rejette et récuse la Fraternité lorsqu'elle est fondée comme cette égalité sur la jalousie et la rancœur.

Il y a ceux qui sont au chômage et ceux qui y restent (ou en font comme les politiques profession) et ce ne sont pas mes frères.

Message complété le 09/06/2019 03:53:54 par son auteur.

….et ceux qui y restent (ou en font comme les politiques profession) et ces derniers ne sont pas mes frères.

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Dubaisan, tu sais comme moi que tu es une exception ! (Ce n’est pas ironique)

Bon courage au jeune qui te remplace (super opportunité pour lui n’empeche !)

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C’est pas parce que 1 bonhomme à theorisé que toute votre generation soient des genies.

Vrai, mais beaucoup d'anonymes ont apporté leur modeste contribution dans beaucoup de domaines.

….Le plus souvent c’est des incapable qui ont juste une grande gueule et une contrat qu’on appelle CDI qui fait que le jeune ne peut pas les bouter dehors :)

Je me sens pas très concerné vois-tu car:

1) Je me suis crée mon boulot sans rien demander à personne et surtout pas à l'Etat. Ce n'est pas un CDI, mes concurrents, mes actionnaires et même Trump avec ses droits de douanes que je subi de plein fouet, peuvent m'occire à tout moment.

2) Grâce à ce boulot, je fais vivre une dizaine de familles (dont 9 ont moins de 40 ans - en supposant que ta frontière avec les vieux commence là!) .

3) Ce sera un jeune qui me remplacera dans quelques mois……

Là-dessus et malgré le plaisir d'échanger avec toi, je vais me coucher, il est fort tard ( pour moi).

Bonne fin de WE.

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Je reponds juste sur ça : Sur 8 pages de redection a l’epreuve de français, j’ai pas du faire plus de 2 fautes. Je verifierai, j’ai les copies à la maison

Message complété le 08/06/2019 18:54:36 par son auteur.

Ah si quand même, tu insinues que je sais pas resoudre les integrales elliptiques à la main ?

C’est pas parce que 1 bonhomme à theorisé que toute votre generation soient des genies. Le plus souvent c’est des incapable qui ont juste une grande gueule et une contrat qu’on appelle CDI qui fait que le jeune ne peut pas les bouter dehors :)

Message complété le 08/06/2019 18:55:03 par son auteur.

Que ça confirme*

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En quoi c'est un contre-exemple? J'ai deux frères aussi médecins, légèrement plus vieux que ta mère.

Concernant les études médicales: autrefois, il fallait passer le concours à la fin de la 1ère année, et les bases du concours très sélectif étaient scientifiques; Les élèves sortant avec un bac éco ou littéraire ou technique ne faisaient pas médecine. Seules les Terminales des séries C et D le pouvaient.

Aujourd'hui au nom de l'Egalité, n'importe qui peut s'inscrire en 1ère année de médecine, mais le concours n'a pas changé lui; il est toujours aussi sélectif => résultat il y a effectivement 10 fois plus d'étudiants qui restent sur le carreau….

Le nivellement par le bas commence là et comme tu le soulignes: pas grand monde (ne) réussi(t) ensuite dans les études supérieures. => et tu aurais pu rajouter: parce qu'ils n'ont pas le niveau; et malheureusement c'est la réalité.

Le numerus clausus, c'est autre chose, mal géré et par la profession et par les pouvoirs publics, qui abouti à la pénurie de médecins que l'on connait actuellement en France.

Message complété le 08/06/2019 18:11:09 par son auteur.

Concernant ton 2èm contre exemple: Tu es un génie méconnu Luncyan !!! Tu oublies seulement que ce que tu as appris a été découvert, théorisé (théorèmes) et mis en applications (informatique - machines à calculer - logiciels: Matlab et cie…) par des plus "vieux" que toi.

Message complété le 08/06/2019 18:15:34 par son auteur.

A mon époque , les intégrales elliptiques se résolvaient à la main, pas avec des programmes itératifs.

Message complété le 08/06/2019 18:30:48 par son auteur.

Le bac à notre époque c'était aussi les langues, l'histoire, la géographie, le français…
A notre époque avec ton français, tu n'aurais jamais eu le bac.

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Deuxieme contre exemple :

La mere de mon meilleur ami a entre 55 et 60 ans. Elle est diplomé de normale sup, une des rares femmes a avoir eu ce diplome a l’epoque.

Un jour je lui pose une feuille sur la table et je lui demande de resoudre une equation simple qu’on apprend aux élèves, je sais plus si c’etait une triple integrale, ou quelquechose de beaucoup plus simple comme un mix de logarithme et d’exponentielles.

Tu sais ce qu’elle m’a dit ? Que ça n’existe pas, et qu’elle a jamais apprit ça dans toute sa scolarité - ben bravo les vieux, on vous le donnait si vous saviez resoudre des additions votre bac ?

Message complété le 08/06/2019 17:45:23 par son auteur.

Perso je me suis fais plusieurs bac de maths de 1960 etquelque quand j’avais 19 ans - je m’etais jamais autant fait chier tellement c’etait un niveau au raz des paqueretes

Stop vous prendre pour des genies, n’importe quel gamin de 15 ans en serie scientifique vous fait passer au tableau et vous fait rasseoir

Message complété le 08/06/2019 17:48:36 par son auteur.

Fermez les yeux c’est plus simple que de me lire

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Ok, contre exemple : ma mere est medecin, elle a 61 ans.

Actuellement, le numerus closus est à 0.5% pres donc EXACTEMENT similaire au numerus closus de la fin des années 70, epoque ou ma mere a eu son concours haut la main.

Je te fais le nombre de candidat pour medecine maintenant par rapport à 1975-79 ?

Multiplication par 4/5.

Donc division du taux de réussite par 4/5.

Message complété le 08/06/2019 17:38:45 par son auteur.

Alors CERTES, tout le monde a le bac (moi j’ai plutot des chiffres de 88% pas 95 mais bon quitte a tricher pourquoi pas dire 99,9% ?) - MAIS, pas grand monde réussi ensuite dans les etudes superieures.

Donc stop te focaliser sur le bac, le monde a changé et la difficulté a été déplacé ailleurs. Peut etre Justement pour faire cracher les vieux nantis sur la nouvelle generation

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Déjà donner le bac à 95% des postulants, c'est la 1ère étape du nivellement par le bas. Pour le rater, il faut quasiment le faire exprès...

Je préfère 1000 fois le type qui ne veut pas faire d'études longues et passe un CAP de jardinier, de maçon, menuisier ou d'électricien et qui a envie de bosser que des crétins à qui on a donné le bac et qui vont chiâler et faire chier les autres toute leur vie.

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Où tu vois un nivellement par le bas ?

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"….on oubliera pas que la France a été bâti sur la liberté l'égalité et la fraternité."

La plus grosse arnaque de tous les temps:

Commençons par la Fraternité: mes frères et mes sœurs, je les choisis; on ne me les impose pas; sans Liberté, la Fraternité n'existe pas.

L'Egalité: ceux qui y croient croient encore au Père Noel. Pour que quelqu'un soit mon égal, encore faut-il que je sois libre de le considérer comme tel. En France, on m'impose l'égalité ce que d'aucuns bien-pensants appellent: nivellement par le bas (ou assimilation aux médiocres).

Quant à la Liberté, cherchez bien autour de vous, si vous en voyez ne serait-ce qu'un atome, appelez le Pape, les miracles, c'est son rayon !!!

Message complété le 08/06/2019 17:10:27 par son auteur.

...ce que d'aucuns bien-pensants comprennent par nivellement par le bas (ou assimilation aux médiocres).

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Tapons sur les chômeurs, évidemment c'est tous des fainéants ou des tricheurs... Le raccourci de quelques uns mériterait que ceux ci s'y retrouvent également. La réalité des uns n'est pas forcément celle des autres, on oubliera pas que la France a été bâti sur la liberté l'égalité et la fraternité, c'est bien un truc de cadre que de se plaindre en crachant la faute sur autrui. Merci dumatons tu es décidément la voie de l'inspiration. La vérité même qui sort de la bouche d'un ignorant en la matière.

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"Les indemnités sont-elles dégressives ?

En France, elles sont fixes toute la durée de l'indemnisation. C'est aussi le cas en Allemagne, au Luxembourg ou en Finlande. Elles sont dégressives en Espagne (70 % puis 50 % à partir du septième mois), en Italie (75 %, puis 3 % de moins par mois à partir du quatrième mois) ou au Portugal (65 % du salaire puis 55 % après 6 mois)." Le Parisien

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Moi je serais pour une indemnisation à 1800€ / mois , mais pendant 3 mois max, puis 3 mois à 900 € et plus rien après.

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"l'indemnisation moyenne à 1020 € par mois n'est pas outrancière" nous dit la cfdt.
Bien sûr.

Ce qui donne une dette de 35 MILLIARDS à rembourser ; par qui ? pas par les chomeurs, mais par les contribuables.
Ce qui donne une prime de 1020 € par mois aux travailleurs au noir qui en plus fraudent la sécu, les caisses de retraite, etc
Ce qui donnent une prime à rester le plus longtemps possible au chomage (jusqu'à 2 ans, voire 3 ans)
Ce qui pénalise les entreprises qui ont des emplois, et qui ne sont donc pas pourvus
Ce qui donne que le chomage ne baisse pratiquement pas en France, deux fois moins vite qu'en Europe
Ce qui donne que la France est le seul pays d'Europe où le chomage baisse moins vite que la moyenne.

Alors, surtout ne touchons à rien ; faisons payer les riches et hurlons contre les méchants Polonais qui viennent prendre nos emplois.

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Le gouvernement peaufine la réforme de l'assurance chômage, sur laquelle il a repris la main après l'échec de la négociation entre partenaires sociaux cet hiver, et dévoilera d'ici deux semaines la formule magique du "bonus malus" et les nouvelles règles d'indemnisation.

Annoncée pour le printemps, la réforme a été retardée pour cause d'élections européennes. Le Premier ministre Edouard Philippe livrera peut-être quelques détails lors de la déclaration de politique générale mercredi.

Mais, d'ici deux semaines, les mesures devraient être annoncées.

Seules certitudes pour l'instant: l'indemnisation chômage des hauts revenus sera revue, comme a déjà prévenu Matignon. Quant au "bonus malus" pour les entreprises qui abusent des contrats courts, la ministre du Travail, Muriel Pénicaud, a réaffirmé encore récemment qu'il existera bel et bien, afin de "responsabiliser les employeurs".

Cette promesse de campagne d'Emmanuel Macron mécontente fortement le patronat et a cristallisé toute la négociation entre syndicats et patronat, qui s'est soldée par un échec fin février.

Les partenaires sociaux avaient d'ailleurs accusé le gouvernement de les avoir enfermés dans une équation impossible. D'entrée, tous avaient contesté la feuille de route du gouvernement leur prescrivant de trouver entre 1 et 1,3 milliard d'euros par an d'économies.

A plusieurs reprises, le numéro un de la CDFT, Laurent Berger, a demandé au gouvernement "de ne pas taper sur les demandeurs d'emploi" dont "l'indemnisation moyenne, à 1.020 euros, n'est pas outrancière".

Depuis début mars, rien de plus n'a filtré.

"Tenir davantage compte des partenaires sociaux, c'est du pipeau!", déplore Jean-François Foucard, négociateur pour la CFE-CGC. Pour son organisation, alors que les cadres seront concernés par la réforme -- à l'exception des seniors a priori -- c'est "silence radio" depuis deux mois. Dégressivité, baisse du plafond pour les cadres, ou les deux, il n'en sait rien.

"Je suis toujours dans l'attente d'une manifestation quelconque du ministère", explique de son côté Eric Courpotin (CFTC). "Je n'ai aucune info précise", lâche aussi un représentant patronal, qui trouve un "peu fort de café" de n'avoir reçu aucune convocation au ministère alors qu'avait été annoncées des consultations.

- "Ballon d'essai" -

La ministre du Travail avait anticipé la tenue d'"une cinquantaine de réunions", au-delà même des partenaires sociaux habituels. "C'est l'esprit +grand débat+ qui continue", avait-t-elle dit. En réalité, seul un premier tour a eu lieu avec les numéros un des organisations.

La réforme est destinée à inciter au retour à l'emploi durable mais aussi à désendetter l'Unédic, le régime d'assurance chômage, selon l'exécutif.

Un certain nombre de pistes sont sur la table.

Sur un éventuel durcissement des conditions d'accès à l'assurance chômage, rien n'est arbitré, a précisé vendredi l'entourage du ministère du Travail.

Si un passage de 4 à 6 mois travaillés était retenu pour pouvoir être indemnisé, comme évoqué dans la presse, ce serait "une mesure purement budgétaire, en contradiction avec le discours du gouvernement soi-disant d'incitation de retour à l'emploi", a averti vendredi Marylise Léon (CFDT) auprès de l'AFP.

"Un ballon d'essai lancé lancé par le gouvernement?", s'interroge de son côté la CGT. "On se doutait qu'il pourrait y avoir des mesures très dures, du fait du report des annonces après les élections européennes", considère Denis Gravouil (CGT).

Quant au "bonus malus", dispositif de "modulation" des cotisations assurance chômage des entreprises en fonction de leur recours aux contrats courts, quel sera son contour ? Tous les secteurs seront-ils concernés ? Quel type de contrat ? Quel taux?

Sont aussi au menu des mesures destinées à réguler la "permittence", qui concerne les allocataires qui travaillent (1,7 million de personnes) ou ceux qui alternent des périodes de travail et d'indemnisation chômage.

Toutes ces mesures, qui formeront une nouvelle convention d'assurance chômage, seront prises par décret, vraisemblablement cet été.

Ils comprendront aussi des précisions sur l'indemnisation de davantage de démissionnaires et d'indépendants, et devraient également inclure des annonces concernant Pôle emploi et ses moyens pour la période 2019/2022.

© 2019 AFP

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