Macron dénonce à l'OIT les dérives d'un "capitalisme fou"

Bonsoir moicmoi,

**Mais ce que je trouve réjouissant, c’est qu’il a aussi explosé tous les autres partis**

Quelle plaisanterie moicmoi !

Si sa République en Marche n'avait pas eu le soutien du Modem, du Mouvement Démocrate, d'Agir et du Mouvement Radical, il se serait retrouvé bien esseulé après les européennes. Dis plutôt qu'il a évité l'explosion de son parti, autrement quelle déculottée ………….

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sergiobress

« « Qu'il regarde d'abord chez lui avant de faire la morale aux autres » »

Au risque de me répéter, ses patrons l'autorisent à dire ces choses, mais sans les appliquer. Histoire de réfuter cette étiquette de président des riches.

Ce qui se passe chez lui, il n’en a rien à foutre. Il l‘a prouvé avec l‘épisode « Gilets Jaunes » et son grand débat.

« « regardons ce qu'il a fait depuis 2 ans , son parti pour l'instant est bien mal en point. » »

Mais ce que je trouve réjouissant, c’est qu’il a aussi explosé tous les autres partis. Qu’il nous a démontré, dévoilé, la vraie nature de presque tous nos politicons : leur côté pute sans réelle conviction, sans aucune fierté. Nous a prouvé que seule la gamelle compte pour eux.
Et ce, des ténors - comme Rafarin, Juppé,…. - aux seconds couteaux comme Le Maire, E. Philippe, Darmarin, etc….
Le seul mérite que je lui reconnaisse.

Ses réformes ? Elles sont nécessaires, indispensables.

Mais jamais il n’arrivera (lui ou un autre) à les mettre en œuvre tant qu’il n’aura pas dissout certains syndicats politisés pour cause de non représentativité. (dont les « têtes de gondoles » sont aussi putes, voire plus, que les politi-cons)
Et il (ou d’autres) ne pourra jamais dissoudre car ces syndicats ont pour principale mission (par accord tacite mais non écrit) de canaliser le mécontentement des salariés. Moyennant quelques "petits cadeaux qui entretiennent l'amitié".

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Bonsoir,

Qu'est ce qu'il essaie de prôner à Genève comme idée, enfin ses idées qui n'ont ni queue ni tête vis à vis de ces homologues.

Qu'il regarde d'abord chez lui avant de faire la morale aux autres ; regardons ce qu'il a fait depuis 2 ans , son parti pour l'instant est bien mal en point.

Bonne nuit à tous 😴

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Si on prend le temps d'analyser son discours, on se doit de remarquer qu'il fait de la politique pour ses partisans de la "République en Marche" et cela en prévoyant les futures échéances électorales pour marginaliser ceux qui sont sur sa droite et sur sa gauche. Rien que des paroles ou du blablabla.

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Macron est le fidèle représentant des Français :

- incapacité des gouvernements à réduire le déficit de l'état depuisans

- progression de la dette à hauteur d'une année de création de richesse

-1,5 million de fonctionnaires en sureffectif

- assistanat social généralisé

- chomage de masse qui baisse peu là où les autres baissent vite

- salaire de la main d'oeuvre non qualifiée prise en charge par le contribuable

- retraite à 62ans

- 35 heures

- 47% prélèvements obligatoires (impôts + social)

- caisses de retraite en quasi faillite

- Sécu en quasi faillite

etc, etc

C'est donc le constat que le modèle français sur fonctionnarisé et sursocialisé, et confiscatoire est mauvais.

Mais Macron comme beaucoup de Français veulent encore plus de fonctionnaires et encore plus d'assistanat social.

Et font rigoler le monde entier.

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Quand on sait QUI a financé sa campagne présidentielle, QUI tire les ficelles de la marionnette, QUI donne les ordres, son discours est tout simplement « incrédible ».
Le larbin du patronat et du capitalisme est autorisé à faire ce genre des discours, pour faire joli dans le paysage, pour noyer le poisson, mais pas à appliquer ce qu’il y raconte . VERBOTEN !!! Sinon, c’est la fessée.

« « il est fou ou malhonnête , comment peut on retourner sa veste à ce point !! » »

Les fondements même de la politique : être malhonnête, et avoir une veste réversible tout en veillant à la solidité des coutures. Tous ses ministres et soutiens en ont donné le plus bel exemple.

Dans ce milieu, les 7 péchés capitaux sont des vertus.

En politique , les gens honnêtes ne font pas leur place au soleil, et sont relégués tout au fond de la classe, tout près du radiateur.
Ne lisez surtout pas les bouquins de Philippe PASCOT : Délits d’élus , et sa suite. Vous en saurez trop. Et l’ignorance est le « savoir » du pauvre.

« « Notre Président a l'art d'exceller dans les pirouettes. » »

C’est une chance pour lui. Après politique, il pourra se faire engager dans un cirque, en tant qu’acrobate.

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Macron dit avoir fait une "erreur fondamentale"… sur la méthode.
C’est sûr, qu’en particulier, les petites phrases méprisantes du genre « les ouvrières illettrées de Gad » ou « l’alcoolisme dans le Nord » etc. qui plus est, prononcées le plus souvent à l’étranger ont creusé un fossé définitif entre lui et bon nombre de français.
De toute façon, comme à son habitude, son action contredit son discours.
Il semble dénoncer la mondialisation mais encourage le libre-échange, défendre les humbles mais en favorisant les très riches, comme il s’est fait un temps le chantre de l’écologie mais en soutenant la chasse.

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qui peut le croire ????? c'est l'homme au double langage ,partisan du libéralisme sauvage en France et qui se permet d'aller donner des leçons de social hors de nos frontières...personne ne le croira .....

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pour le moment ce ne sont que des paroles!!!

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il est fou ou malhonnête , comment peut on retourner sa veste à ce point !!
Wait and see.

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Notre Président a l'art d'exceller dans les pirouettes.

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Emmanuel Macron a dénoncé mardi devant l'Organisation internationale du travail à Genève les dérives d'un "capitalisme devenu fou" au sein d'organisations comme le FMI ou l'OMC, qui privilégient les ajustements économiques aux droits sociaux.

En allusion au mouvement des "gilets jaunes" en France, le chef de l'Etat français a par ailleurs reconnu de nouveau avoir fait une "erreur fondamentale" non de fond mais de méthode.

"Nous avons peut-être parfois construit des bonnes réponses trop loin de nos concitoyens en considérant qu'il y avait des sachants et des subissants. C'était une erreur fondamentale", a-t-il admis.

Plus globalement, il a réclamé le retour à une "économie sociale de marché où chacun trouve sa part", au lieu d'une "captation des richesses par quelques-uns". Sinon "on nourrit les extrêmes", a-t-il dit, comme l'an dernier au Forum de Davos.

"Quelque chose ne fonctionne plus dans ce capitalisme qui profite de plus en plus à quelques-uns. Je ne veux plus que nous considérions que le sujet d'ajustement économique et de la dette prévaut sur les droits sociaux", a lancé M. Macron.

"Quand le peuple ne trouve plus sa part de progrès", il peut être "attiré par l'autoritarisme, qui dit: +la démocratie ne vous protège plus contre les inégalités de ce capitalisme devenu fou. Nous allons faire des murs, des frontières, sortir de ce multilatéralisme, il est mou+."

"On ne peut pas défendre ce que je dis à l'OIT et dire ensuite au FMI ou autour de la table du Conseil européen: +vous allez vous ajuster face à la crise financière et réduire vos droits sociaux+. Ca doit être terminé", a-t-il insisté, plaisant la cohérence.

"Ou dire à l'OMC: +c'est formidable le commerce, il faut négocier des accords avec tout le monde, quelle que soit leur sensibilité sociale et environnementale. Et vive le dumping, ça ira mieux, ça enrichit tout le monde+", a-t-il ajouté, se défendant de tenir un discours "crypo-marxiste" à l'OIT et libéral en France.

Le chef de l'Etat a souhaité que le G7 organisé fin août à Biarritz appelle tous les pays à se doter d'ici 2030 d'un système de protection sociale pour tous. Il a aussi appelé à un "ordre public social" incluant un salaire minimum, comme la France le défend au niveau européen, et la création au G7 d'un "fonds à impact social et environnemental".

"La crise que nous vivons peut conduire à la guerre et à la désagrégation des démocraties, a-t-il averti. Tous ceux qui croient, sagement assis, confortablement repus, que ce sont des craintes qu'on agite se trompent, ce sont les mêmes qui se sont réveillés avec des gens qui semblaient inéligibles, ou sortis de l'Europe, alors qu'ils pensaient que ça n'adviendrait jamais."

© 2019 AFP

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