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ca fait peur.....d'être malade.



fipuaa fipuaa
26/07/2019 20:14:42
2

suite à une opération j'ai eu une infection locale importante et je m'en suis tiré sans problème : quand j'ai revu mon médecin, un type que j'adorais (il est en retraite), il m'a dit en rigolant "faut être en bonne santé pour se faire opérer"

  
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DonQuich DonQuich
26/07/2019 18:11:39
0

"Tant que ce sont les groupes pharmaceutiques français, hyper puissants, qui mèneront la danse en sous-marin, et qui pousseront les médecins, l'Etat, etc. à une surconsommation de médocs, notre médecine aura ce travers.

Ce travers n'existe pas dans les pays qui n'ont pas de labos pharmaceutiques puissants comme nous."


piste intéressante à surveiller,

mais que font donc les politiques... ???

Message complété le 26/07/2019 18:13:37 par son auteur.

Et pendant ce temps on fait la chasse à tout ce qui est médecine naturelle

  
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JCROIPLU JCROIPLU
26/07/2019 14:39:08
0
Pense à l'iceberg, le visible est la partie la plus petite.
  
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Luncyan Luncyan
26/07/2019 10:13:32
1

Pour rester en bonne santé, mieu vaut ne pas tomber malade :)

  
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JCROIPLU JCROIPLU
26/07/2019 10:07:24
0

La Médecine est un domaine immense, avec seulement 7 années d'études.

En comparaison pour être prêtre c'est 5 années...

Donc ne vous étonnez pas des erreurs elles sont et seront de plus en plus nombreuses au fur et à mesure que les domaines scientifiques progressent dans les domaines de l'imagerie et des médicaments.

Donc finit cette "confiance" entre patient et thérapeute et bienvenu dans le monde des procès à l'américaine.

La mise en place des formations continues ne permets même pas de combler la rapidité des évolutions médicales.

Pour éviter les procès, les médecins n'avaient pas hésiter à prescrire des examens complémentaires nombreux et consultations de spécialistes pour, en fait, "se couvrir". Cela a été très onéreux mais avait permis de maintenir artificiellement cette confiance.



  
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Alain07 Alain07
26/07/2019 09:54:08
2

En effet, j'ai lu attentivement cette étude et ça fait froid dans le dos.

Mais, parce qu'il y a un MAIS énorme.

70% de ce qui est classé en "erreur médicale", est dû à des patients qui vont voir plusieurs médecins et qui mélangent les prescriptions.

Ce qui aboutit implacablement à soit une overdose, soit une intoxication, soit une incompatibilité sévère entre médocs....

et<on retrouve cela en particulier chez les personnes agées.

Les médecins ne sont pas parfaits et comment pourrait on leur imposer cela?

Mais les patients en sont bien loin.

Tant que ce sont les groupes pharmaceutiques français, hyper puissants, qui mèneront la danse en sous-marin, et qui pousseront les médecins, l'Etat, etc. à une surconsommation de médocs, notre médecine aura ce travers.

Ce travers n'existe pas dans les pays qui n'ont pas de labos pharmaceutiques puissants comme nous.

Aux jeus olympiques de la consommation de médocs, la France est médaille de Platine, l'or n'était pas assez beau.

  
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doudouneuf doudouneuf
26/07/2019 09:22:12
0

Une étude sur la prévalence des préjudices que subissent les patients dans les établissements de soins vient de partager ses résultats alarmants. Un patient sur 20 serait victime d’erreurs médicales. Ces dernières ne s’avèrent pas toujours sans gravité.

Une analyse menée sur plus de 330 000 patients vient de démontrer que les erreurs médicales sont particulièrement nombreuses. En effet, un patient sur 20 en serait victime. Et 12 % de ces erreurs auraient conduit à un état grave ou au décès du patient. Selon les chercheurs, la moitié de ses erreurs pourraient être évitées. Un phénomène qui n’est pas sans gravité.

En effet, l’étude précise que 49 % des dommages rapportés étaient considérés comme légers, 36 % comme modérés et 12 % comme graves (souffrance, handicap, mort). Des incidents préjudiciables pour les patients, mais qui représentent aussi un fardeau financier majeur pour les systèmes de santé du monde entier. "On estime que 10 à 15 % des dépenses de santé sont consommées par les séquelles directes des dommages causés aux patients par les soins de santé", estiment les auteurs de l’étude.

Les erreurs, le plus souvent liées au choix des traitements

Les erreurs les plus fréquentes seraient liées au choix des traitements, semble-t-il. "Les incidents liés aux médicaments (49 %) représentent la plus grande proportion des préjudices évitables subis par les patients", révèle l’étude. Et contre toute attente, ce sont dans les soins intensifs ou services de chirurgie que surviennent le plus souvent les incidents.

Si en principe, l’objectif idéal serait zéro dommage, il n’est pas réalisable. "Certains dommages ne peuvent être évités en pratique clinique, détaillent les experts. Par exemple certaines réactions indésirables aux médicaments se produisent en l’absence d’erreur dans le processus de prescription. Ces dernières années, la reconnaissance du fait qu’il est impossible d’éviter une partie des dommages causés aux patients a attiré l’attention sur la notion de préjudice évitable".

Ainsi, les préjudices dits "évitables" résultent d’une cause identifiable et modifiable lorsqu’il aurait été possible d’éviter qu’ils surviennent. Les préjudices sont donc considérés comme évitables s’ils sont dus aux actions des professionnels de la santé, des défaillances du système de santé ou à une combinaison de plusieurs erreurs commises par des individus et des défaillances du système.

Je suis victime d’une erreur médicale : quelle démarche ?

Toute personne victime d'une erreur médicale peut tenter d'obtenir réparation. Si vous avez la sensation d'avoir été mal soigné et que vous en souffrez aujourd'hui, le premier réflexe est de retourner voir le médecin que vous tenez pour responsable et de lui fait part de vos griefs. Vous pouvez également contacter le médiateur de l'établissement de santé où vous avez été soigné.

Si le médecin reconnaît avoir commis une erreur, il pourra avoir recours à son assurance-responsabilité professionnelle et y remplir sa déclaration. Après examen du rapport, un médecin-expert, pourra juger de la faute et de l’importance du préjudice. L’assureur vous proposera ou non, une conciliation et une indemnisation.

Mais dans le cas, où votre médecin n’admet pas avoir fait une erreur, vous pouvez réclamer une copie de votre dossier médical. Celui-ci vous servira en cas d’action en justice. Si vous optez pour cette option, vous devrez être représenté par un avocat est alors obligatoire.

  
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