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Bébés sans bras en France
En Argentine / Amérique du Sud, malformations + handicaps mentaux des enfants
Le degré de dangerosité des pesticides n'est plus à démontrer, et il y a très longtemps qu'ils auraient dû être interdits aux abords des villes et villages
Le maire de ce village a tout à fait raison d'interdire ces produits
Parce qu'il faut quand même le rappeler : Un maire, c'est le premier interlocuteur de l'Etat auprès des citoyens, et le garant de leur sécurité.
Que la ministre dise que ça n'est pas au maire de prendre ce type de décision n'est pas étonnant.
Après les Transports et la continuité de la soumission à Eiffage et Vinci, nous avons l'Environnement avec la soumission à Bayer et autres
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Dans les communes des bébés sans bras, ils ont découvert que les pesticides étaient à l'origine des malformations.
Différentes parcelles ont été testés aux abords des habitations.
Ces tests ont été réaliser pour différentes sociétés agrochimiques sans que les testeurs puissent avoir d'informations sur les produits qu'ils déversaient dans leurs terres.
On ne connaît pas encore à ce jour quels sont les produits et leurs effets sur les nappes phréatiques, l'air et bien entendu les êtres vivants.
Même si l'on peut juger que ce sont bien ces produits qui ont causés des malformations, on ne sait pas quels produits il est question, car couvert par le droit aux secrets !
Ça fait froid dans le dos !
Faites vos propres recherches sur internet, Lucet est sur le coup à ce jour après 4 mois d'enquête !
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""il faut mieux protéger les habitants quand on a des épandages de pesticides" mais "chacun ne peut pas définir ses règles comme ça, dans son coin", a commenté Elisabeth Borne."""
Mais les règles devraient déjà être en oeuvre depuis des dizaines d'années , c'est cela qui est anormal !
Ce n'est pas le maire qu'il faut condamner mais les ministres successifs , particulièrement ceux de l'agriculture dévolus aux lobbys agrochimiques de tous temps .
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Le gouvernement fera "très prochainement" des propositions pour "mieux protéger" les habitants des épandages de pesticides, a déclaré mercredi la ministre de l'Ecologie Elisabeth Borne, alors qu'un arrêté sur le sujet d'un maire d'Ille-et-Vilaine sera examiné jeudi par la justice administrative.
"On a un travail qui est en cours, et qui fera l'objet d'une concertation très prochainement, sur la façon dont on protège mieux les riverains sur les épandages de pesticides", a déclaré la ministre sur RTL.
Le maire de Langouët (Ille-et-Vilaine), commune de 602 habitants, comparaît jeudi devant le tribunal administratif de Rennes pour avoir pris en mai un arrêté interdisant l'usage de pesticides près des habitations afin de "protéger la santé" de ses administrés.
Attaqué par la préfecture, l'arrêté du 18 mai interdit l'utilisation de produits phytopharmaceutiques "à une distance inférieure à 150 mètres de toute parcelle cadastrale comprenant un bâtiment à usage d'habitation ou professionnel".
"Le maire a raison sur un point: il faut mieux protéger les habitants quand on a des épandages de pesticides" mais "chacun ne peut pas définir ses règles comme ça, dans son coin", a commenté Elisabeth Borne.
© 2019 AFP
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