Brexit: le Parlement britannique suspendu jusqu'au 14 octobre - Page 2

ACCART

"tu ferais mieux de t'occuper de ce qui se passe en France"

LA PURE VERITE !!!

ne t'inquiète pas pour les anglais... ils vont trouver une solution.

on ferait mieux de s'occuper de notre propre pays... en plus, je ne crois pas que les anglais avaient inquiété de la même manière pour la France...

Répondre

jipes

« « Pourquoi te répètes-tu ACCART ? » »

pour mieux enfoncer le clou.
Quoi que, j’ai noté dans sa réponse une petite note de prudence, avec sa phrase

« cela peut avoir deux conséquences, diamétralement opposées. »

PEUT AVOIR ! Aurai t’il des doutes quant à ses affirmations ?….Il serait moins catégorique, maintenant ?

« « tu ferais mieux de t'occuper de ce qui se passe en France. » »

T'occuper .et ...d’essayer d’agir. Bien que l’avis du Peuple, dit souverain, vaut ce qu’il vaut, aux yeux de nos z’élites. C’ est à dire : que d’chique », la plupart du temps.

Répondre

Pourquoi te répètes-tu ACCART ?

Sais-tu seulement qu'au Parlement, Corbin (ne faisant pas preuve d'esprit démocratique) est de ceux qui étaient opposés au Brexit. Tout comme notre CRI du forum, il n'a pas digéré le résultat du référendum.

Alors Johnson a raison, pour mener sa tâche à bien, à savoir de faire respecter le vote de la majorité des Britanniques, de bloquer toute velléité des empêcheurs de tourner en rond.

Et comme l'a si bien dit moicmoi, tu ferais mieux de t'occuper de ce qui se passe en France.

Répondre

ACCART

« « Que vaut l'expression d'une volonté viciée par les mensonges. » »

Je te signale que toutes les élections de niveau national sont fondées sur le mensonge. Y compris , (et surtout ?) chez nous.
Et pour le cas macron, ce fût une magouille, une tromperie, une hypocrisie nommable, un roman noir. Avec destruction systématique , orchestrée, des partis traditionnels, et assassinat politique du candidat le plus dangereux pour la marionnette choisie par la finance et le patronat . Ne laissant en place que le groupe qui ne pouvait pas faire le pendant, histoire de "faire démocratique".

« « Ca équivaut à voter les yeux bandés. » »

C’’est ce qui s’est produit en France, en mai 2017.

« « les britanniques, mieux informés aujourd'hui, ne commettraient pas la même erreur. » »

Ah bon ?… Tu te bases sur quoi pour asséner une telle affirmation ? Simple avis personnel sans fondements, ou étude très fine et détaillée ne pouvant aucunement être remise en cause ? Dis-nous tout. Es-tu dans le secret des dieux ? Es-tu allé mener ton enquête en Angleterre ?

« « la reine n'a pas su les préserver de ces déviances "démocratiques". » »

Si je comprends bien , les pro-brexit feraient dans la déviance démocratique, seraient les vilains petits canards noirs, alors que les « antis » seraient les sages ? Ceux qui détiennent la vérité ?
En vertu de quel principe ? Ta simple conviction ?

Ne croyez-vous pas que le Brexit est le problème de la GB ? Que nous mêmes, avons assez de problèmes internes à régler ? (et ils sont nombreux)
Balayons devant notre porte, faisons le ménage chez nous, et laissons les autres s’occuper de LEURS problèmes. Et les vaches seront bien gardées.
Juste une petite question, en passant : pourquoi ça marchait bien avant l’ E.U., et ça ne pourrait plus marcher après l’ E.U. ?
Pourquoi la Suisse ne s’est-elle pas encore effondrée ? Touchée/coulée ?

Message complété le 28/08/2019 23:02:37 par son auteur.

lire : hypocrisie innommable,

Répondre

jipes

"je suis socialiste" et quelques jours suivants "je ne suis pas socialiste" ?

Voilà, enfin !

C'est ce que je disais toujours

Merci jipes

Message complété le 28/08/2019 21:57:38 par son auteur.

"en manipulant la plupart des esprits de l'électorat."

Exactement !
et eux, ils sont étonnés par les comportements de Trump et/ou de Johnson

Répondre

Et que penses-tu de ce qui s'est passé en France lors de la dernière présidentielle quand Macron dit un jour "je suis socialiste" et quelques jours suivants "je ne suis pas socialiste" ? Il s'est fait élire, je ne dirai pas par le mensonge, mais en manipulant la plupart des esprits de l'électorat.

Répondre

Au lendemain du vote, c'est ce qu'ont voulu faire dire les mécontents du résultat du référendum. Ils se sont ingéniés à semer le trouble dans les esprits. N'est pas démocrate qui veut !

Répondre

@ ACCART

**A n'en pas douter, les britanniques, mieux informés aujourd'hui, ne commettraient pas la même erreur.**

Ce qui voudrait dire, selon toi, que les Britanniques étaient passablement naïfs et pourtant ils ont voté en leur âme et conscience.

Tu ferais mieux de relire MITTE notamment quand il écrit "la volonté du peuple a été clairement exprimée".

Répondre

1 - Il me semble que le peuple britannique a voté POUR le Brexit.

2 - Il ne me semble pas que la question posée portait sur le fait d'avoir un Brexit dur, mou, moyen, mi-mou, mi-dur etc .... la question était de savoir : voulez-vous rester ou quitter l'UE ?

3 - la volonté du peuple a été clairement exprimée,

4 - des trublions essayent par tous les moyens de fomenter une jacquerie sur la base d'arguments douteux tendant à ce que la Parlement de sa majesté devrait absolument se prononcer sur les conditions de sortie de la GB de l'UE, c-a-d considérer que si le Brexit devait se faire sans accord et bien cette décision ne pourrait être prise et serait, peut-être anticonstitutionnelle !

5 - en quoi le référendum de 2016 portait sur ce point ?

6 - la réponse donnée par le peuple était clair : ON SORT !

7 - donc considérer que la réponse était " on sort AVEC un accord ou on ne sort pas " est juste une manière ANTIDÉMOCRATIQUE, de personnes qui se drapent dans de soi-disant principes démocratiques, D' ESSAYER DE REMETTRE EN CAUSE LA VOLONTÉ DU PEUPLE ET DE LA TRAVESTIR

8 - BJ A RAISON : la volonté du peuple doit s'appliquer et elle le sera !

9 - alors le plus drôle c'est que ces trublions disent : ah, ah, ah ils vont se planter en sortant et ils veulent les empêcher de sortir !

Répondre

Alors là, tu es vraiment bien placé pour parler de démocratie.

Répondre

Affligeant et irrespectueux !
Voilà comment on traite la démocratie dans le monde des pseudos populistes et le danger latent de promouvoir de tels irresponsables , arrivés là sur une litanie de mensonges tous plus gros les uns que les autres .
La démocratie , donc la voix du peuple au tapis : CQFD !

La reine , ultime refuge , aura sans doute l'intelligence de sabrer ces manoeuvres iniques

Répondre

Le Parlement britannique sera suspendu la deuxième semaine de septembre et jusqu'au 14 octobre, soit deux semaines seulement avant la date prévue du Brexit, a annoncé mercredi le Premier ministre Boris Johnson, une manoeuvre qualifiée de "scandale constitutionnel" par le président de la Chambre des communes.

La livre sterling a chuté de 0,6% face à l'euro et au dollar à la suite de cette nouvelle, qui rend improbable pour les députés de l'opposition d'empêcher une sortie sans accord de l'Union européenne, scénario qui fait craindre des pénuries et le rétablissement de droits de douane.

C'est un "scandale constitutionnel", a jugé le président de la chambre basse du Parlement, John Bercow, qui s'était notamment fait remarquer lorsqu'il avait bloqué un nouveau vote sur l'accord de Retrait de l'UE conclu par Theresa May quand elle était Première ministre, si son contenu n'était pas modifié, se faisant accuser de vouloir saborder le Brexit.

La rentrée parlementaire, qui s'annonce houleuse, est prévue pour mardi. Le Premier ministre a demandé à la reine Elizabeth II de suspendre le Parlement la semaine suivante, après les débats du 9 septembre, et jusqu'au 14 octobre. La session parlementaire reprendrait alors avec le traditionnel discours de la Reine, dans lequel elle expose le programme de son gouvernement.

"Je pense qu'il est essentiel que le Parlement siège avant le Conseil européen (prévu pour les 17 et 18 octobre prochains, ndlr) et si, comme je l'espère, un accord avec l'UE est imminent, le Parlement aura la possibilité d'adopter la loi sur l'accord de retrait nécessaire à la ratification avant le 31 octobre", a expliqué le chef du gouvernement dans un communiqué.

"Les semaines précédant le Conseil européen sont vitales pour mes négociations avec l'UE", a-t-il souligné, ajoutant : "En montrant unité et détermination, nous avons une chance de décrocher un nouvel accord qui puisse être adopté par le Parlement".

L'accord de sortie de l'UE conclu avec le gouvernement de Theresa May après plus de deux ans de négociations acharnées avait été rejeté à trois reprises par les députés. Ces derniers n'ont pas réussi à se mettre d'accord sur la forme que doit prendre le Brexit, voté en juin 2016 par 52% des Britanniques.

- "Sombre journée" -

Si le Parlement britannique est traditionnellement suspendu plusieurs semaines en septembre en raison des conférences annuelles des partis politiques, l'extension de cette suspension jusqu'au 14 octobre, 12 jours après la fin de la dernière conférence, celle du parti tory, a provoqué des réactions outragées de l'opposition, qui a dénoncé une manoeuvre "antidémocratique".

"C'est un scandale et une menace à notre démocratie", a réagi Jeremy Corbyn, le chef du Labour, le principal parti d'opposition.

"À moins que les députés ne s'unissent pour l'en empêcher la semaine prochaine, aujourd'hui entrera dans l'histoire comme une sombre journée pour la démocratie britannique", a aussi réagi sur Twitter la Première ministre écossaise et cheffe des indépendantistes écossais Nicola Sturgeon.

Cette annonce a été critiquée jusque dans les rangs conservateurs, l'ancien ministre des Finances Philip Hammond, opposé au scénario d'une sortie sans accord de l'UE, dénonçant un "scandale constitutionnel".

Boris Johnson a défendu sa décision, affirmant sur la chaîne de télévision Sky News que le calendrier fixé "laissera amplement le temps aux députés de débattre de l'UE et du Brexit".

Mais pour la cheffe du parti libéral démocrate, Jo Swinson, Boris Johnson a fait preuve de "lâcheté". "Il sait que les gens ne choisiraient pas le +no deal+ et que les représentants élus ne le permettraient pas. Il tente d'étouffer leurs voix", a-t-elle déclaré dans un communiqué.

Mardi, les chefs de file des partis d'opposition s'étaient réunis pour convenir d'une stratégie commune afin d'éviter ce départ de l'Union européenne sans accord en votant une loi dans ce sens.

Londres et l'UE s'opposent en particulier sur le sort de la future frontière irlandaise, qui séparera le Royaume-Uni du marché unique européen, tout en se disant prêts à en discuter.

© 2019 AFP

Répondre