Cours | Graphes | News | Analyses et conseils | Composition CAC 40 | Historiques | Forum |
Aujourd'hui commence une compétition Europe vs E.U. épreuve où l'Europe ne sera pas ridicule. Pensez-vous qu'il pourrait y avoir la même épreuve,France, ou n'importe quel autre pays d'Europe, vs E.U. ? Non, on serait ridicules. Idem en économie, que seraient les pays Européens individuellement face à des colosses comme la Chine, la Russie, les E.U. et dans un futur proche, l'Inde ? Rien. BoJo veut un Brexit à tout prix, non pas pour le bien de l'Angleterre, mais pour son futur politique. C'est un fou du pouvoir.
Message complété le 09/09/2019 09:50:57 par son auteur.
La compétition est d'athlétisme.
Répondre
|
Jipes comme d’habitude tu rêves, et tu prends tes désirs pour la réalité
Le Brexit c’est la faute des autres, non c’est bien les Britanniques qui veulent sortir
Qu’ils sortent !!!!
Seulement voilà, ils ont rêvé (comme toi) et maintenant ils sont face à la réalité et c’est un cauchemar
La mondialisation n'est pas à son apogée elle continue de plus en plus
Répondre
|
Pedru,
Tu as faux sur toute la ligne.
Où vois-tu la complexité de rester ou sortir de l'Union Européenne ? On est pour ou on est contre et une décision dans un sens ou dans l'autre est vite prise.
Et de la mondialisation dont tu parles, elle arrive à son apogée. Inéluctablement on fera marche arrière dans l'aventure économico-financière dans laquelle on a voulu nous emprisonner. Plus tard, on recréera une nouvelle forme de partenariat entre les nations forme à laquelle on fera attention de faire participer chaque citoyen (et de prendre en compte leur désir et leur volonté), ce que HELAS on ne retrouve pas dans cette Union Européenne.
Message complété le 07/09/2019 20:39:36 par son auteur.
En ce qui concerne le Brexit, c'est surtout les politiciens de gauche britanniques qui l'ont amené à ce qu'il est aujourd'hui et je ne m'étendrai pas sur les responsables européens (tels Barnier, Juncker, Macron, Merkel).
Répondre
|
Le Brexit est la démonstration incontestable que l’on ne peut pas répondre par OUI ou par NON à une question aussi complexe que rester ou sortir de l’UE
Que cela plaise ou non, la mondialisation est inéluctable, tous les pays du monde sont inter dépendant, aussi aucun pays au monde n’est réellement totalement indépendant
Les Britanniques commencent peut etre à comprendre
Répondre
|
Qu'est-ce que cela changera de retourner devant les électeurs si le Parlement ne parvient pas à mettre en application la décision prise par " le peuple ". Si la volonté parlementaire peut s'opposer à la " vox populi ", à quoi bon ? A quoi sert un référendum si celui-ci peut être détourné de son résultat ?
Le Brexit est l'exemple le plus caricatural qui soit de la faillite des démocraties.
L'exercice démocratique suppose aujourd'hui un niveau de connaissances qu'une foultitude n'a pas. Je ne parle pas de niveau d'intelligence, je parle d'un minimum d'informations et de connaissances préalables à toute prise de décision.
Quand des décisions fortes s'imposent la notion de démocratie n'a plus aucun sens. Allez demander au " peuple " s'il faut entrer en guerre avec un Etat belligérant ....
Anyway, les British en ont marre de cette situation et si nouveau référendum il y a le Brexit passera haut la main. Les interview des britanniques à la télé attestent de la situation suivante : sans être pour le Brexit leurs réponses montrent qu'ils l'estiment inéluctable.
Répondre
|
Retourner aux urnes pourquoi pas !
Mais voter pour qui ? Car le problème est le Brexit et non pas les partis traditionnels, et il y a des pour et des contre dans chaque parti, alors on vote pour qui
Répondre
|
Le Parlement anglais actuel est la source des problèmes du RU. Il y a 3 tendances quasiment égales qui transcendent les tories et le labour sans compter les nuances à l'intérieur de chacune :
Les purs brexiters avec no deal,
les brexiters et certains remainers avec deal.
les remainers
3 tendances qui ne peuvent s'accorder sachant que pour que leur idées passent chaque tendance doit recueillir les 2/3 des votes, ce que les autres tendances ne leur donneront jamais. Donc tout est bloqué, paralysé aussi bien au RU qu'en Europe.
Pour sortir de ce dilemme, il faut retourner devant les électeurs
Je n'apprécie pas BJ qui est un des protagonistes à l'origine du Brexit, mais je lui donne raison quand il veut dissoudre ce Parlement et retourner devant les électeurs.
Répondre
|
Le clown a échoué, le peuple Britannique mérite mieux qu’un clown
Le Peuple c’est trompé, ou plutôt on l’a trompé
Le cauchemar du Brexit continue, et personne ne peut s’en réjouir
Répondre
|
Pour éviter toute ambiguité les Torries sortis du parti n'ont plus qu'à former prestement un nouveau parti explicitement favorable à un Accord, aprés il sera facile de siphonner leur ancien parti. Et à marée basse il restera un caillou blond sur l'estran.
Répondre
|
Oui mais là-bas (même si c'est en haut de la carte pour nous) seule la Reine reste.
Répondre
|
Répondre
|
Le Premier ministre britannique Boris Johnson va devoir faire face mardi à la fronde de députés de son propre parti conservateur hostiles à un Brexit sans accord, en dépit de sa menace de convoquer des élections législatives anticipées à la mi-octobre s'il essuie une défaite au Parlement.
Les députés reprennent mardi le chemin de Westminster, et des élus conservateurs "rebelles" s'apprêtent à soutenir l'opposition pour tenter d'imposer un nouveau report du Brexit et empêcher une sortie brutale de l'Union européenne.
Un premier vote autour du calendrier du Brexit doit avoir lieu mardi soir à la Chambre des communes.
Si son issue est négative pour le gouvernement, Boris Johnson présentera dans la foulée une motion pour organiser des élections législatives le 14 octobre, selon un responsable gouvernemental.
"Le Premier ministre ne veut pas d'une élection mais cela dépendra du choix des députés lors du vote demain", a mis en garde ce responsable sous couvert d'anonymat.
Cette motion sera soumise au vote des députés mercredi et adoptée si elle recueille deux tiers des voix. La date du 14 octobre "permettra à un nouveau Premier ministre d'être en poste avant le sommet européen" des 17 et 18 octobre à Bruxelles, a précisé la même source.
- Aucun report -
Lors d'une déclaration officielle, Boris Johnson a pourtant affirmé lundi qu'il ne "voulait pas d'une élection" -- mais il a aussi rappelé qu'il ne demanderait un report du Brexit à Bruxelles "sous aucune circonstance".
Le chef du gouvernement envisage plutôt une sortie de l'UE sans accord s'il ne parvient pas à trouver un compromis avec Bruxelles d'ici le 31 octobre, date prévue du divorce.
Durcissant le ton avant cette rentrée parlementaire qui s'annonce agitée, le Premier ministre a menacé lundi d'exclusion du parti les Tories "rebelles" qui voudraient voter avec l'opposition, alors qu'il ne dispose que d'une voix de majorité absolue à la Chambre basse du Parlement.
Et la semaine dernière, il avait décidé de suspendre pendant cinq semaines le Parlement, jusqu'au 14 octobre, déclenchant la fureur de nombreux députés y voyant une manoeuvre pour les "bâillonner".
"Le Premier ministre semble faire tout ce qui est en son pouvoir pour mener à une élection, tout en affirmant que c'est la dernière chose qu'il souhaite", critique une source proche du groupe de conservateurs "rebelles".
Boris Johnson assure de son côté qu'il souhaite simplement montrer un front "uni" à Bruxelles pour ne pas affaiblir Londres dans sa tentative de renégocier l'accord conclu entre l'ex-cheffe du gouvernement Theresa May et Bruxelles. Les "chances" d'un accord avec l'UE "ont augmenté" ces dernières semaines, a-t-il estimé.
Le chef du gouvernement s'adressera à la Chambre dans l'après-midi, avant de laisser la place à Michael Gove, son bras droit chargé des préparatifs en vue d'un Brexit sans accord.
- Bataille législative... -
D'après la BBC, les députés anti "no deal" voudraient repousser le divorce avec l'UE au 31 janvier. Pour ce faire, ils doivent d'abord récupérer la main sur l'agenda parlementaire, contrôlé par le gouvernement.
Grâce à une règle intitulée "Standing Order 24" (So24), ils pourraient demander un débat parlementaire d'urgence. Le président de la Chambre des communes, John Bercow, qui voit dans la suspension du Parlement un "scandale constitutionnel", devrait y être favorable.
Dans cette bataille tactique législative, Jeremy Corbyn, chef du Labour, la principale formation d'opposition, garde toutes les options ouvertes, y compris une motion de censure contre le gouvernement.
Il soutient l'organisation d'élections législatives "pour que les gens décident de leur avenir". Les travaillistes feraient alors campagne pour un nouveau référendum sur l'appartenance à l'UE.
Des manifestations en faveur d'élections anticipées sont aussi prévues mardi devant le Parlement.
- ... et juridique -
La bataille se poursuit également devant les tribunaux, où le gouvernement de Boris Johnson doit répondre à plusieurs initiatives visant à empêcher la suspension du Parlement.
Mardi, la plus haute instance civile d'Ecosse doit examiner sur le fond une demande de contrer la suspension du Parlement, formulée par près de 75 parlementaires pro-européens. Ces derniers avaient déjà tenté la semaine dernière de contrer la suspension, mais leur recours en urgence avait été rejeté.
La Haute Cour d'Irlande du Nord examinera de son côté un autre recours, introduit en urgence au nom d'un militant des droits de l'Homme nord-irlandais, Raymond McCord.
Et jeudi, une audience à Londres portera sur une action intentée par la femme d'affaires et militante anti-Brexit Gina Miller et soutenue par l'ancien Premier ministre conservateur John Major.
Gina Miller avait déjà gagné en 2017 une bataille judiciaire pour forcer le gouvernement, alors dirigé par Theresa May, à consulter le Parlement sur le processus de retrait.
© 2019 AFP
Répondre
|