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@mika57 Je pense au fait que ça fait longtemps que je n'ai pas fait ces tests.
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Sondage BFM : Je suis proche de Hamon
Marshmallow : Mélenchon (30%), Montebourg (30%)
GotoQuiz : Social Democrat
PoliticalCompass : Libertarian, Left
PolitiScales: Ecologie, Egalité, Humanité
Politest :
1. Lutte ouvrière (LO) (hors de question)
2. le Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) (non plus)
3. le Parti Communiste Français (PCF)
4. La France Insoumise (FI)
5. Génération.S
Testpolitique:
Socialisme (-10)
Fédéralisme (-6)
Humanisme (-6)
Libertaire (-4)
Conservatisme (1)
Répression (2)
Écologisme (-6)
Internationalisme (-1)
Démocratie (-6)
==> Poistionnement à Gauche (-584 sur 1200)
Parti principal : EELV (Youpi !)
Ps: Les propositions du sondage Marsmallow sont un peu débiles... Ça fait pas sérieux...
Et trop de fautes d'orthographe
Mais merci Simcour, très bons outils !
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Le test de courrier international a déjà été proposé sur ce site il y a 1 an il me semble
Pour ma part, je suis le plus proche de Pablo Iglesias
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Au lieu de blablater sur la droite et la gauche.
Je vous propose de passer des tests sur vos idéaux politiques.
1.BFM (France) : https://www.bfmtv.com/politique/test-de-quel-candidat-a-la-presidentielle-etes-vous-le-plus-proche-1146129.html
2.Courrier International : https://www.courrierinternational.com/long-format/quiz-quel-point-etes-vous-populiste
3.GotoQuiz (Anglais) : https://www.gotoquiz.com/what_is_your_political_ideology
4.Mashallow (France) : https://fr.mashallow.com/quizzer/61464/quel-homme-politique-es-tu-
5.PoliticalCompass (Anglais) : https://www.politicalcompass.org/test
6.PolitiScales : https://www.politiscales.net/fr_FR/
7.PoliTest : http://www.politest.fr/
8.TestPolitique : https://testpolitique.fr/
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Et non, toujours pas, à partir du moment où pars dans l’idée de definir ce qu’est la gauche et la droite pour moi tu es dans le hors sujet.
Une Idée (avec un I majuscule) qu’on ta mi dans le crâne par ailleurs et que tu repeteras jusqu’à ta mort.
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Vision épurée au maximum:
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Gauche/droite, faut pas voir les choses de maniere manichéennes comme ça.
Il y a soit des gens qui sont totalement hypocrites (je sais où tu voudras les mettre) et des gens qui ont un gros problème d’empathie et de détachement complet des réalités (et je sais aussi où on voudra les mettre) mais c’est ni gauche ni droite.
Faut juste regarder la société actuelle et se dire « Le pouvoir en place, ou l’opposition, ou autre, favorise t’il par ses agissements le travail ou la rente ? Favorise t’il le flux ou le stock ? Le passé ? Ou l’avenir ? » pour moi c’est plus une opposition classique entre classe de possedant et une classe laborieuse dans le sens marxiste du terme. Il n’a jamais ete question de droite ou de gauche. Apres si pour toi c’est clair et que le raisonnement semble tenir je vais pas te contredire mais selon moi ça n’a aucun sens.
Ce serait comme dire que je suis democrate parce que je n’aime pas Trump.
Sauf que j’aime Trump, ok donc ça fait de moi un republicain ?
Message complété le 06/09/2019 15:05:54 par son auteur.
Par ailleurs concernant ce que tu dis sur la relance je suis tout à fait d’accord. L’etat n’a pas à se préoccuper se la ruine de ceux qui pretent à taux negatif. Il doit profiter de la baisse de taux pour allonger la maturité à 15 et même 20 ans (qui etait il y a 2 semaines à 0,05%) et emprunter au maximum le plus important à prendre en compte c’est que l’excedent primaire ne soit pas entierement grevé par les interets donc avec des taux 0 tant que tu es pas en recession tu peux y aller a l’infinie donc go
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Encore un troll anti-gauche qui pense que la gauche, c'est la fin du monde, et la droite est le messie
Aucun argumentaire, rien
C'est vrai que Bruxelles est très conciliante avec la gauche, puisqu'elle est elle-même de gauche !
Juncker, le pro paradis fiscal, est de gauche, c'est bien connu
Moscovici, le donneur de leçons est soit-disant de gauche c'est évident. Lui-même fait un temps partie d'un Gvt de "gauche" qui a favorisé les mesures "de gauche" : Le CICE, la loi El-Khomri, Macron, etc..., que des mesures de gauche
Message complété le 06/09/2019 14:47:41 par son auteur.
Un gouvernement de gauche n'est pas un problème en soi
La droite, c'est l'austérité, les cures d'amaigrissement, moins de services publics, des privatisations, etc...
La gauche, la VRAIE gauche, ce sont les investissements socialement utiles, des services publics performants servant de base à l'économie de tout un pays, etc...
Vu le niveau des BTP italiens à 10 ans, soit 0.936%, c'est la bonne période pour investir
L'Italie emprunte à 3 ans à taux NEGATIFS, ce qui n'est pas arrivé depuis décembre 2017.
Le rendement à 4 ans tend vers 0, ce qui serait une première... et se situe à 0.10%
Et c'est là qu'on se rend compte de l'utilité d'une relance budgétaire par la dette en Italie :
Les taux à échéance inférieures à 4 ans sont inférieurs au taux de croissance annuelle du pays (+0.1%)
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Le nouveau gouvernement italien, qui doit relancer un pays à l'arrêt, espère plus de souplesse de l'Europe sur son déficit public, une nécessité qui pourrait trouver davantage d'écoute que par le passé et sera évoquée au forum économique de Cernobbio.
De premiers contacts devraient avoir lieu dès ce week-end entre des membres de l'exécutif, des représentants de Bruxelles et des ministres étrangers, dont le ministre français de l'Economie Bruno Le Maire, déjà annoncé au forum The European House – Ambrosetti, à Cernobbio, sur les rives du lac de Côme.
Ce forum est un mini-Davos à l'italienne, où se rencontrent chaque année début septembre des dizaines de dirigeants politiques et de grandes entreprises.
S'appuyant sur une coalition entre l'inclassable Mouvement Cinq Etoiles (M5S) et le Parti démocrate (PD, centre-gauche), le nouvel exécutif a prêté serment jeudi, mettant fin à un gouvernement populiste dominé par le souverainiste Matteo Salvini.
Ce gouvernement Conte 2, du nom du Premier ministre reconduit Giuseppe Conte, entend "mener une politique économique expansive", mais "sans mettre en péril l'équilibre des finances publiques".
Il plaide pour une remise en cause des règles budgétaires européennes jugées "excessivement rigides", estimant qu'elles doivent être davantage orientées vers la croissance et "une Europe plus inclusive".
- "Plus de déficit" -
"Sur la base des 26 points, très vagues, du programme de gouvernement, on comprend déjà qu'il y aura plus de dépenses publiques et un peu moins d'impôts, et donc plus de déficit public", analyse pour l'AFP Francesco Daveri, professeur d'économie à l'université Bocconi de Milan.
Le nouvel exécutif a promis d'annuler la hausse automatique de la TVA prévue en 2020, qui devait rapporter 23 milliards d'euros. Très impopulaire, elle risquait de toucher avant tout les familles modestes et de plomber la demande et donc la croissance, qui s'annonce proche de zéro cette année.
Certaines recettes supplémentaires ou dépenses moindres lui permettront en partie de récupérer ce montant: une demande plus faible que prévu pour le revenu de citoyenneté destiné aux plus pauvres; des intérêts moindres à verser en raison de la baisse du coût de la dette italienne (moins de 1% pour le taux à 10 ans) du fait de la confiance retrouvée des investisseurs; et l'impact de la lutte contre l'évasion fiscale, plus efficace grâce à la numérisation des procédures administratives et comptables, note M. Daveri.
Mais ce sera loin d'être suffisant. Nicola Nobile, économiste du cabinet Oxford Economics, estime ainsi que le déficit pourrait atteindre 2,7% du PIB l'an prochain, soit en dessous du seuil maximal de 3% fixé par l'Union européenne (UE), mais en nette hausse par rapport aux 2% attendus cette année et 2,1% prévus pour 2020 par le précédent gouvernement.
- "Approche plus conciliante" -
Mais la différence sera la manière d'aborder cette question avec Bruxelles: le nouvel exécutif est "largement pro-européen" et aura "une approche beaucoup plus conciliante", note M. Nobile.
Réputé pour son calme, le nouveau ministre des Finances, Roberto Gualtieri, qui était président de la commission des Affaires économiques du Parlement européen depuis 2014, sera un atout.
"M. Gualtieri connaît très bien le fonctionnement des institutions européennes, et on peut imaginer que chaque action du gouvernement italien sera préparée et définie (avec Bruxelles). Cela ne passera pas comme avec le précédent gouvernement: une loi de finances défiant l'Europe et les marchés, mal accueillie à Bruxelles et devant être corrigée en quelques jours fin décembre", anticipe M. Daveri.
Cet expert comme M. Nobile estiment que Rome demandera de "la flexibilité" à Bruxelles, en plaidant pour une vraie relance de la troisième puissance de la zone euro.
Quelques décimales de flexibilité ne couvriront pas les 23 milliards nécessaires, mais la future présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, semble prête à étudier une révision des règles européennes pour favoriser les investissements publics. En outre, la future présidente de la Banque centrale européenne (BCE), Christine Lagarde, prône un "instrument" de financement pour la zone euro.
"Alors que l'Italie a besoin d'énormément d'investissements, elle profiterait d'un plan européen de ce type, ce qui représenterait indirectement une aide pour son budget", note M. Daveri.
© 2019 AFP
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