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le salaire NET du président de la cour des comptes est de 14 500€ par moi et n'a qu'une voiture de fonction. Donc, il n'a pas de cuisinier. Vous me direz qu'avec un tel salaire il peut aller au resto tous les jours.
Message complété le 09/10/2019 18:40:32 par son auteur.
J'ai écrit par moi au lieu de mois, car ce sont nos impôts qui paient son super salaire et sa voiture de fonction.
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quand la royauté et sa cour vous expliquent que vous devez vous serrer encore plus la ceinture pour leur plus grand confort...
les siècles passent et la caste dirigeante nantie reste!
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La prise en charge des bilans et autres contrôles médicaux pour vérification des taux de cholestérol et autres maladies cardias-vasculaires, dues aux excès de table, de homards et autres mets fins de nos chers représentants, ne sont bien évidemment qu'une goutte d'eau, vous diront ils
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une honte tout ça,
il est certain qu' ils ont moins besoin de se faire rembourser leurs frais médicaux que le commun des mortels ...
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Le Président de la Cour des Comptes gagne 14 500 euros par mois...
+ chauffeur
+ cuisinier
... explique aux français que l'Hopital coûte cher
Que les services publics coûtent cher
Que la Santé doit être réformée
Que les retraités sont des feignasses puisqu'ils commencent leur vie de retraité à 62 ans en moyenne
Etc...
Avec bien entendu la bénédiction divine des médias qui font tout pour culpabiliser le français honnête
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Message complété le 09/10/2019 10:06:47 par son auteur.
sources bfm buisness février 2016
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Message complété le 08/10/2019 14:33:41 par son auteur.
Ils gagnent combien à la Cour des comptes ?
Ils peuvent peut-être se passer du remboursement de leurs frais de santé, eux ...
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Niches sociales, arrêts maladie et départs en retraite anticipés: la Cour des comptes a présenté mardi ses pistes pour "accélérer le retour à l'équilibre de la sécurité sociale", que le gouvernement avait promis pour 2019 avant de le repousser à 2023.
"Des mesures correctrices sont nécessaires", affirme la Cour dans son rapport annuel sur "la situation et les perspectives" de la Sécu, dont "un retour durable à l'équilibre financier ne peut être assuré par un simple décalage de quelques années".
Au lieu du léger excédent attendu, le déficit doit en effet replonger cette année à 5,4 milliards d'euros en raison du ralentissement de l'économie et du coût des "mesures d'urgence" concédées aux "gilets jaunes".
Les magistrats de la rue Cambon plaident donc pour "des mesures d'économies structurelles" afin de freiner les dépenses sociales et d'éviter de creuser la dette.
Niches sociales
Ils souhaitent en premier lieu "encadrer plus étroitement les +niches sociales+", véritable maquis d'allègements et d'exonérations de cotisations, dont le coût "a beaucoup augmenté ces dernières années".
Le gouvernement le chiffre à 66,4 milliards d'euros, mais la Cour juge ce montant "sous-évalué" et avance une somme de 91,3 milliards "sur un périmètre plus exhaustif, quoiqu'encore incomplet". Elle réclame donc pour commencer un état des lieux "sur le champ le plus large".
Pour celles qui dépassent 100 millions d'euros, une évaluation "robuste" est demandée, en vue de "supprimer les dispositifs inefficaces". En attendant, "un gel de ces avantages" à leur niveau actuel est préconisé.
Retraite anticipée
La Cour conseille de "ne plus assouplir, voire resserrer" les possibilités de départ avant l'âge légal de 62 ans, de plus en plus utilisées: 400.000 personnes en ont bénéficié en 2017, soit près de la moitié des nouveaux retraités, contre seulement un quart en 2011.
Des avantages "qui peinent à être justifiés par des écarts d'espérance de vie" et dont le "poids financier" est estimé à 14 milliards d'euros.
Deux dispositifs sont particulièrement visés: les "catégories actives" de la fonction publique (policiers, pompiers, certains aide-soignants...), et les "carrières longues" pour ceux qui ont commencé à travailler avant 20 ans.
Arrêts maladie
L'institution veut s'attaquer à la "forte dynamique" des dépenses d'indemnités journalières pour maladie, qui augmentent de plus de 4% par an, atteignant 7,4 milliards d'euros en 2017.
Elle propose pour cela d'étendre au secteur privé le "jour de carence d'ordre public, non indemnisé" déjà en vigueur pour les fonctionnaires. Un "signal" destiné à "responsabiliser les salariés", selon la Cour.
Les médecins ne sont pas en reste: pour limiter la durée des arrêts prescrits, elle suggère de réduire leur prime d'objectif (Rosp) en cas de "dépassement sans justification suffisante", voire de les "déconventionner" temporairement pour sanctionner la "répétition d'abus manifestes".
Transports sanitaires
Comme les arrêts maladie, le coût des "transports programmés de malades" progresse de plus de 4% par an et avoisine 5 milliards d'euros.
Considérant qu'elles sont "mieux maîtrisées" quand hôpitaux et cliniques les paient de leur poche, la Cour veut "transférer aux établissements l'ensemble des dépenses qu'ils prescrivent", en commençant par l'activité de dialyse.
Elle veut aussi "augmenter la participation des patients", en leur faisant payer davantage de franchises médicales.
© 2019 AFP
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