Le fait que la hausse des revenus perçus , lorsqu'elle intervient ! , ne soit pas intégralement dépensée dans la consommation mais aussi épargnée ne veut pas dire absence de retour vers l'économie : certains produits d'épargne sont en prise directe avec les entreprises , la soutiennent donc .
Dans les comptes sécurisés , le LDD par ex , dans d'autres produits comme le crowdfunding aussi , sur les unités de compte dans une moindre mesure (finance plutôt qu'éco directe) , indirectement encore dans le remboursement d'emprunt qui redonnent ensuite d'autres capacités à consommer .
Ceci dit , la désindustrialisation accélérée demeure un handicap certain quant à la tenue du rang de la France dans le concert international bien qu'elle ait un impact lors des retours de cycles eco (est -ce un bien ?) alors que le secteur des services , bien trop privilégié voilà quelques années , n'apporte pas tout le soutien escompté .
On notera toutefois un certain élan lié aux pépinières de start up parmi les plus actives au monde qui devrait donner quelque impulsion y compris en cycle plutôt mitigé .
Aurait -on pensé bien plus tôt à soutenir la recherche , toujours motrice et novatrice dans les fondements économiques d'un pays ?
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Forcément quand on part d'un mauvais score on risque moins de s'enfoncer encore plus, sur les 10 dernières années on s'est pris une raclée économique comparé à l'allemagne.
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On peut retrouver le scénario du pouvoir exécutif dans le projet de loi de finance qui détaille les bases financières retenues
Cela concerne vos impôts notamment ...
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La France serait plus résistante que ses partenaires européens face au ralentissement économique et aux incertitudes mondiales.
La croissance s'établirait à 1,4% en 2019 et 1,3% en 2020 , des rythmes corrects bien qu'inférieurs au 1,7% atteint en 2018. Les récents gains de pouvoir d'achat seront progressivement consommés et la consommation des ménages serait le principal moteur de la croissance.
L'investissement des entreprises resterait également dynamique.
Les gains de pouvoir d'achat resteront dynamiques en 2019 et 2020, soutenus par une faible inflation
Après avoir progressé de 1,3% en 2018, le revenu disponible brut réel des ménages augmenterait de 2,4% cette année et de 1,3% l'an prochain.
Ces gains sont en grande partie dus aux mesures prises à la suite du mouvement des Gilets jaunes en décembre dernier et aux annonces ayant suivi le Grand Débat national en avril.
La consommation des ménages devrait donc accélérer au second semestre et en 2020.
Les gains de pouvoir d'achat de 2019 seront d'ailleurs partiellement consommés en 2020, la croissance de la consommation des ménages serait alors de 1,4%, un chiffre légèrement supérieur aux gains de pouvoir d'achat. Les ménages maintiendraient toutefois un taux d'épargne très élevé qui dépasserait 15% fin 2019 et s'établirait autour de 14,8% en 2020
Source : département économie d'une grande banque
Lorsqu'on raconte que la solution pour le pays passe par une politique de la demande(la consommation) et non de l'offre (via le financement des entreprises ) , on s'aperçoit immédiatement que nous pouvons affronter les nations équivalentes sans problème .
Agir dans le bon sens plutôt que se lamenter dans un conservatisme destructeur procure de bien meilleurs résultats
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