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Diesel, essence ou électrique? L'achat automobile vire au casse-tête

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fipuaa fipuaa
24/10/2023 21:32:34
2

groupe Thatcham Insurance, la première compagnie d'assurance du Royaume uni cesse la couverture des véhicules électriques !!


dangereuses, prenant feu, pouvant exploser, coûteuses à l'achat et à l'entretien ça fait beaucoup non?


Alors? diesel essence ou électrique?

  
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NEO_52 NEO_52
29/10/2019 13:59:13
0
Nombre de parisiens sont propriétaires de voiture ancienne à motorisation diesel , ces voitures stationnent dans des parkings , circulent rarement en ville , sont utilisées précisément pour sortir de Paris(résidence secondaire , campagne , bord de mer). Le nombre de km parcourus chaque année 3000km maximum ; que feront tous les propriétaires de voiture ancienne (pas suffisamment (30 ans ) pour bénéficier d'une carte d'immatriculation portant l'annotation voiture de collection) le jour où nous ne pourrons plus sortir nos voitures des parkings ?
propriétaire d'une XM 2,5 TD exclusive de 1999 comme neuve (130000KM)
  
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Ribo Ribo
29/10/2019 12:25:15
0

Le gros problème pour le diesel et l'essence étant le renforcement drastique des normes anti-pollution avec des seuils tolérés qui baissent chaque année à la sortie des tuyaux d'échappements... Je compte malgré tout conserver mon diesel tout le temps qu'il sera possible de l'utiliser en subissant les restrictions de circuler en ville et toutes les contraintes qui ne cesserons de s'accroître pour nous forcer à acheter du neuf. Le PIB c'est surtout ce qui les intéresse... il faut consommer plus ce qui va à l'encontre d'une visée écologique !

  
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jcleb70 jcleb70
29/10/2019 12:08:25
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L'Hybride nécessite de dupliquer la technologie, et donc les coûts, tout en abaissant le taux de fiabilité.

L'électrique n'est pas "100% propre" car cela n'a de sens que dans les pays qui produisent massivement une électricité décarbonée (comme en france avec 75% de l'énergie nucléaire et 15 % d'énergie renouvelable dont l'Hydraulique". Pour les pays qui produisent essentiellement en Thermique, c'est un "déplacement de pollution". C'est cependant la voie la plus logique, car il est plus aisé de traiter la pollution lorsqu'elle est identifiées en un point.

Personnellement, plutot que l'hybride, je garde mon diesel 5 à 6 ans de plus pour passer directement à l’électrique, le temps que le marché soit mature et l'offre accessible, l'autonomie beaucoup plus élevée qu'actuellement.
  
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jamariuscky jamariuscky
29/10/2019 11:44:09
1
Politique complètement absurde. On a décidé pour donner satisfaction immédiate aux "écolos" de favoriser l'électrique en oubliant que ce type de véhicule n'a guère d'avenir car, d'une part trop cher, d'autre part il exige des installations complexes quasi impossibles pour les habitants d'immeubles, n'ayant pas de garage ou stationnant sur la voie publique....
Le bon sens aurait voulu qu'on "mette le paquet" sur l'hydrogène pour en accélerer l'utilisation tout en développant des véhicules thermiques plus sobres type hybrides.
Là on va investir des sommes colossales pour une technologie déjà obsolète.
  
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jamariuscky jamariuscky
29/10/2019 11:44:09
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Diesel, essence, électrique... : l'achat d'une voiture peut virer au casse-tête (AFP/Archives/MEHDI FEDOUACH)

Le diesel? Décrié pour ses rejets polluants. L'essence? Taxée pour ses émissions de CO2. L'électrique? Trop cher. De nombreux automobilistes ne savent plus quelle voiture acheter, au point de retarder leur décision, voire de renoncer, une tendance qui inquiète la filière.

Dans une concession Hyundai à Chambourcy (Yvelines), un retraité scrute plusieurs modèles, à la recherche d'un remplaçant à son SUV (4x4 de loisir) diesel.

"J'hésite entre des véhicules style électrique ou hybride, ou bien de l'essence. Je cherche ma voie", explique à l'AFP Noël Freal. "J'ai eu beaucoup de diesel dans ma vie, pour moi c'était la motorisation idéale. Mais il faut veiller à protéger notre planète".

Le scandale des moteurs truqués a mis en lumière les rejets polluants, particules fines et oxydes d'azote, et jeté le discrédit sur cette technologie. En Europe de grandes villes, comme Paris, ont annoncé l'interdiction progressive du diesel. Le marché s'est effondré.

"Avant c'était simple, on avait essence ou diesel, maintenant on a aussi de l'hybride (essence-électrique), de l'électrique, de l'hybride rechargeable...", explique Quentin Barbier, chef des ventes dans cette concession Hyundai. "Le client sait ce qu'il veut comme gabarit de voiture, mais il est en difficulté pour choisir la motorisation. Il pose beaucoup plus de questions".

Le gazole ne représente plus qu'une immatriculation sur trois en France, contre les trois quarts à son apogée en 2012. Mais les hybrides essence-électrique (5% du marché) et les voitures électriques (2%), plus chères et pas adaptées à tous les usages, peinent à décoller. Les reports se font donc massivement vers l'essence.

Problème: ces moteurs consomment plus et émettent plus de CO2, l'un des principaux gaz responsables du réchauffement climatique. En France, ils sont aussi plus souvent pénalisés par un "malus", une taxe à l'achat qui sera encore alourdie au 1er janvier afin de favoriser les véhicules électrifiés.

- "Les automobilistes sont perdus" -

"J'ai décidé de passer à l'essence pour des raisons écologiques, mais j'ai été très surpris de me voir infliger un malus écologique de 80 euros sur mon véhicule, alors qu'il n'y en avait pas sur les modèles diesel de même puissance. Je pense qu'il y a plein de gens qui ne peuvent pas comprendre ça", témoigne auprès de l'AFP Alain Codron, un retraité rencontré à Orgeval (Yvelines) dans une concession Aramis Auto, société de vente en ligne d'automobiles neuves ou d'occasion.


Diesel, essence, électrique... : l'achat d'une voiture peut virer au casse-tête (AFP/Archives/ANDY BUCHANAN)

Philippe Geffroy, président de Mazda France, dénonce la complexité et l'incohérence des politiques publiques actuelles. "On tient un discours anti-diesel qui tue le marché et en même temps le diesel est favorisé par le système de bonus/malus. Les gens sont perdus", explique ce responsable qui représente les constructeurs étrangers en France, en tant que président de la branche voitures particulières de la Chambre syndicale internationale de l'automobile et du motocycle (CSIAM).

Réclamant la "neutralité technologique", il s'étonne aussi que les vignettes "Crit'Air", qui classent les véhicules en fonction de leurs émissions polluantes, notent mieux "des véhicules hybrides rechargeables qui font 2 tonnes et consomment énormément" par rapport aux diesel de dernière génération, plus vertueux selon lui.

Complexités technologique et réglementaire se cumulent pour plonger les acheteurs dans le doute. "Il y a un phénomène d'attente. Les gens se disent: +je ne sais pas quoi acheter, donc je ne change pas mon véhicule et j'attends+. C'est probablement l'une des explications aujourd'hui à la baisse du marché européen", constatait cet été Jacques Aschenbroich, patron de l'équipementier Valeo, lors d'un déjeuner avec des journalistes.

A première vue, avec 2,1 millions d'immatriculations prévues cette année, le marché automobile français semble résister. "Mais quand on entre dans le détail des chiffres, on se rend compte que ce sont les ventes aux entreprises qui tirent le marché, alors que les ventes aux particuliers sont en léger recul", souligne Flavien Neuvy, directeur de l'Observatoire Cetelem.

"Les automobilistes sont un peu perdus et préfèrent attendre d'y voir plus clair avant de changer leur voiture", constate aussi cet expert. "Une des conséquences, c'est qu'ils se tournent davantage vers le marché de l'occasion. Du coup, le parc vieillit et ce n'est pas une bonne nouvelle, car les véhicules âgés sont aussi les plus polluants".

© 2019 AFP

  
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