Les sports mécaniques pèsent 2,3 milliards d'euros dans l'économie fra

Tout à fait d'accord avec tes arguments que j'utilise également

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L'excuse des constructeurs ça permet faire avancer la technologie et la sécurité ; sur que pour rouler à 80 avec parfois 6 vitesses ça aide (;o))

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Rebonjour,

" Les sports auto et moto créent des emplois et de la richesse "

Des voitures et des motos qui tournent en rond, polluent, pendant que des personnes suent pour protéger l'environnement et économiser quelques kilos de carbone.

Il y a encore du travail. Poujade premier ministre de l'environnement sous VGE disait que son ministère était le ministère de l'impossible. Çela n'a pas changé.

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la bêtise du prolo de base n'a pas de limite .. il se fait racketter avec sa caisse qui dépasse la limite à laquelle il n'est pas taxé pour le co2 et il banque un billet pour rentrer dans le grand cirque du paradoxe pour y voir évoluer des caisses qui sucent 10 fois plus que la sienne par la même occasion il fera à brève échéance le bonheur de son ORL .. la cerise sur le gâteau pour l’état c'est que le même prolo griser par l'allure des bolides va se goinfrer un radar ou un contrôle routier avec à la clef un retrait de permis pour exes de vitesse;alcool ect!!

je me marre devant autant de bêtise .. bon ce qui me rassure la révolution c'est pas pour demain (;o))

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Les sports mécaniques pèsent 2,3 milliards d'euros dans l'économie française et génèrent 13.500 emplois, majoritairement dans l'industrie, selon une étude rendue publique mardi par le ministère des Sports et les fédérations concernées.

Selon le "baromètre économique des sports mécaniques" réalisé par le cabinet de conseil EY et présenté par la ministre des Sports Roxana Maracineanu, le chiffre d'affaire total de cette filière est de 2,3 milliards d'euros dont 510 millions d'euros de valeur ajoutée.

Cela les place, à titre d'exemple, loin du football (7,5 milliards d'euros) mais devant le golf (1,5 milliard), a souligné lors d'une conférence de presse Marc Lhermitte, associé chez EY.

Au total, les sports mécaniques (auto et moto) recouvrent 47 spécialités réunies au sein de 16 disciplines avec plus de 1.000 lieux de pratique répartis dans l'hexagone. Mme Maracineanu a souligné que ce secteur est en croissance avec une augmentation sur les dix dernières années de 15% de ces lieux de pratique et de 20% du nombre de licenciés.

Contrairement à d'autres secteurs de l'économie du sport, c'est l'industrie qui est le secteur économique pesant le plus lourd (39% du total) devant les circuits et les équipes (28%), les fédérations, ligues et clubs (15%), les grands évènements et le tourisme (13%) et les médias (5%).

Cette situation se reflète également dans le nombre d'emplois (7.200 dans l'industrie, soit plus de la moitié).

"Ce rapport renforce notre légitimité alors que nous sommes beaucoup critiqués", a affirmé le président de la Fédération française de motocyclisme (FFM) Jacques Bolle, "et montre que les sports auto et moto créent de la richesse et des emplois".

Les circuits de Magny-Cours dans la Nièvre et celui du Mans dans la Sarthe comptent chacun dans les dix premières entreprises de leur département respectif et l'ensemble du secteur contribue à hauteur de 233 millions d'euros aux cotisations fiscales et sociales, souligne le rapport.

- Pas assez de sponsors français -

Le Grand Prix de France moto, organisé chaque année sur le circuit Bugatti au Mans, a attiré plus de 200.000 spectateurs sur les trois jours de la manifestation en 2019, a indiqué son organisateur Claude Michy, et a été des épreuves du calendrier MotoGP en 2018 celle qui a rassemblé la forte affluence mondiale.

Dans le cadre du Grand Prix de France de Formule 1 organisé depuis 2018 sur le circuit Paul Ricard au Castellet, il y a eu la première année 78 millions d'euros de retombées économiques et 550 emplois pérennes et 750 intérimaires créés, a précisé Christian Estrosi, président délégué du Conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Cyril Abiteboul, directeur général de Renault Sport Racing, a toutefois rappelé que le groupe automobile français employait les deux tiers de ses 1.400 employés dans le secteur de la F1 en Grande-Bretagne. "Il faut identifier les freins aux investissements en France", a-t-il souligné, ajoutant qu'"il n'y a pas assez de sponsors français".

Des rapports similaires ont déjà été publiés, notamment pour le football, mais il s'agit du premier traitant des sports mécaniques.

© 2019 AFP

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