"Regarde bien petit", oui, je me rappelle; il en avait fait une video. Je l'avais oublié. Brel, l'inégalable. C'était très fort. Merci de me l'avoir remis en mémoire.
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La poésie contemporaine ne chante plus. Elle rampe. Elle a cependant le privilège de la distinction, elle ne fréquente pas les mots mal famés, elle les ignore. Cela arrange bien des esthètes que François Villon ait été un voyou. On ne prend les mots qu'avec des gants: à "menstruel" on préfère "périodique", et l'on va répétant qu'il est des termes médicaux qui ne doivent pas sortir des laboratoires ou du codex. Le snobisme scolaire qui consiste à n'employer en poésie que certains mots déterminés, à la priver de certains autres, qu'ils soient techniques, médicaux, populaires ou argotiques, me fait penser au prestige du rince-doigts et du baise-main. Ce n'est pas le rince-doigts qui fait les mains propres ni le baise-main qui fait la tendresse. Ce n'est pas le mot qui fait la poésie, c'est la poésie qui illustre le mot.
https://www.youtube.com/watch?v=pN6EX_sGeDk
Good trades guys
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Giono : " Colline " peut être ? toute la beauté et la rudesse de la haute Provence ; " le Grand Troupeau " la 1ere guerre mondiale dans toute sa noirceur .En ce moment a Marseille , au Mucem , expo du cinquantième anniversaire de la mort de Giono
L’Étranger : pourquoi ne pas reprendre la lecture sous forme B D ( Ferrandez ) . Correspondance avec Casarès .... du miel
Léo : vu sur scène , il y a des lustres dans une autre vie
Message complété le 06/12/2019 08:07:43 par son auteur.
Camus : j'oubliais "les carnets" où il raconte Son Algérie
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merci....
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Bonjour à toutes et à tous,
´´ Regarde bien petit ´´ peu connu, joli texte, parce que j'ai été pendant 2 mois et demi cet homme qui venais et qu'on ne connaissait pas
Regarde bien petit regarde bien
Sur la plaine là-bas à hauteur de roseaux
Y a un homme qui vient que je ne connais pas
Est-ce un lointain voisin, un voyageur perdu,
Un montreur de dentelles......
Message complété le 06/12/2019 07:23:01 par son auteur.
Qui venait
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Brel m'a envouté dans ma jeunesse. "Le plat pays" est un sommet éblouissant, entre autres...J'ai eu l'immense chance de le voir à l'Olympia où j'ai découvert ses plus belles chansons que je ne connaissais pas comme "ne me quitte pas", car depuis "sur la place où tout est tranquille" et "ça va le diable" je l'avais perdu de vue. Je suis moins exclusif maintenant: il y a LEO...
J'ai lu "La peste" de Camus; bien aimé. Moins L'ETRANGER. A relire, sans doute. Le salopard, il a eu Maria Casarès: une fée.
Giono, j'ai pas lu. Un tort, sans doute.
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Au rang des grands oubliés...
Les vendanges tardives d Alsace
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j'ai l'impression qu'on oublie vite le vin jaune et le vin de paille ici!!
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tout est dit .
"au suivant " !
dans mon panthéon : Brel , Camus , Giono
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"Dans ma pipe je brulerai
mes souvenirs d'enfance
mes rêves inachevés,
mes restes d'espérance...
Et je ne garderai
pour habiller mon âme
que l'idée d'un rosier
ou qu'un prénom de femme..."
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En ce moment "grand Jacques " et " j'arrive"
Un point de désaccord avec Brel : le vin d'Arbois , je lui préfère un Chablis ou un Jurançon ( selon le moment du repas )
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Et y en a plein d'autres.
"Jojo" est terriblement belle.
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Salut toi.
Effectivement, tout est dit dans cette prose.
A part toutes les ripailles dont le grand Jacques parle... moi je veux encore pouvoir insulter encore une fois tous ces bourgeois et ces autres culs parvenus qui n'ont de cesse que de voir leurs cous gonfler à s'en faire péter les artères.
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et pour finir ..... par " un dernier repas "
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Avec beaucoup d'humour... et de dérision
Voilà comment nous pouvons aussi voir la retraite qui est déjà là ou qui arrive à grands pas.
Une perle de Brel : La, la, la
A vous mettre dans les oreilles et à visualiser. Virtuelle ou réelle, la vérité, c'est selon.
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