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Je sais pas vous, mais moi j'ai bien l'impression que nombre d'entre nous mélangent un peu tout dans cette pseudo réforme.
On pourrait d'ailleurs se demander, s'ils n'y ont pas tout fourré dedans en bloc, exprès pour enfumer tout le monde au max. Et en entuber certains ( le privé ), au profit des habituelles pleurnicheuses patentées.
Des responsables responsables et compétents, n'auraient ils pas d'abord mené à bien la réforme des régimes spéciaux ( du moins les moins légitimes ou ceux qui n'ont pas ou plus de raison d'exister ), et ensuite, une fois ceci mis à plat, pourquoi ne pas éventuellement aller voir du coté de l'âge de départ ( quoique à mon avis l'urgence ne soit pas là ) ?
En ayant mis tout en bloc, personne n'y comprend plus rien, fait une fixette sur ce qui le concerne et défend son os contre l'intérêt des autres.
Divisons pour mieux régner qu'il disait l'autre... et ceux là sont spécialistes en la matière
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@CRI74
Pourrais-tu indiquer à tes petits copains qui reçoivent ces fonds d’entraides aux grévistes sur quelle ligne ils doivent indiquer les sommes reçues dans leurs déclarations de revenus.
Ça pourrait leur servir.
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il faut signaler aussi l'inverse, que les cheminots peuvent aussi aller sur le marché du travail privé, étant donné qu'ils ne sont pas contents de leur statu, mais la va falloir bosser pour garder son poste et justifier son salaire, pas de sécurité d'emploi ici
EX: mon gendre qui bosse pour cette boite comme conducteur de train de marchandises prends un convoi le lundi matin à 8H roule jusqu’à Marseille le soir à 19h restauré et hébergé sur place par son employeur reprends un convoi le mardi à 8h du mat arrive à paris à 18h ET IL A FINI SA SEMAINE il bosse environs 24 H pour 2800 € par mois
mais à la sncf les employés sont bien trop intelligents pour bosser dans cette boite, mais bien trop bêtes pour aller ailleurs alors ils restent et font des gréves (attention je dit pas que pour une fois la gréve n'est pas justifié)
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CRI pour avoir connu un club sportif de cheminots, je peux affirmer que ce sont des PRIVILEGIES. Pour les défendre ainsi, il faut, à mon avis, être partie prenante ! Et donc quelque peu hors course en matière d'objectivité.
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Les grosses âneries , ça existe aussi DE DE surtout , lorsqu'on parle de la SNCF sans rien y connaître !
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et vous ?
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Allez CRI74,
Avec tous vos gains en bourse, j'espere que vous contribuez sans faiblesses en especes sonnantes et trebuchantes au soutien de ces "pov malheureux" qui font greve pour le bien du pays ...
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Les places des pseudo privilégiés sont largement vacantes pour info .
Allez vite les prendre , depuis le temps (des années ) qu'on ne trouve pas preneur .
Il doit bien y avoir une raison .
Ce qui prouve aussi que vous racontez des bobards Touvoinou (et d'autres )
Message complété le 09/01/2020 11:06:28 par son auteur.
En complément , avant de dire que cela coûte , commencez déjà par évaluer ce que ça rapporte
Rien de plus simple : 1 mois d'arrêt des services publics (entre autres ) évalué à 8 milliards d'impact direct par les économistes .
C'est aussi les revenus apportés lorsque cela fonctionne , au bas mot car en mesurant l'impact indirect , on arrive bien au delà de ces chiffres .
En fait , vos impôts sont très bien utilisés dans les services publics qui vous sont utiles (sinon personne n'hurlerait pour les grèves ! ), de toutes façons , autrement mieux qu'en gavant les lobbys
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Le n'importe quoi , c'est bien cette réforme .... et sa gestion cataclysmique
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Locales ou nationales, sur internet ou les piquets de grève, les cagnottes pour soutenir financièrement mais aussi moralement les grévistes contre la réforme des retraites se multiplient depuis le début du mouvement, en ciblant parfois une catégorie très précise.
Les donateurs ont par exemple le choix entre des caisses de solidarité pour tous "les salariés en grève" ou seulement pour les "cheminots de l'Ariège", les grévistes de la ligne 11 du métro parisien, ceux de la raffinerie de Grandpuits, de la "collecte des déchets" à Angers ou encore pour les personnels de l'université de Lille.
Un compte Twitter a même été créé le 24 décembre par un informaticien résidant aux Antilles pour recenser ces caisses de grève accessibles en ligne et comptabiliser les sommes ainsi récoltées. Objectif: "faire connaître un maximum de caisses et encourager les gens à participer", a-t-il expliqué à AFP, sous couvert de l'anonymat.
Chaque jour, il publie sur son compte @caissesdegreve une liste actualisée des cagnottes avec les sommes récoltées. "Le montant total progresse de 100.000 à 150.000 euros chaque jour depuis deux semaines", avec une accélération cette semaine, précise-t-il. Bilan "non exhaustif" publié mercredi: 204 cagnottes, 3 millions d'euros donnés par plus de 50.000 participants à ces collectes.
La plus importante dans ce recensement est la caisse interprofessionnelle du syndicat Info'com-CGT. Créée en 2016 lors du conflit contre la loi Travail, cogérée avec d'autres syndicats, elle est destinée "à tous les salariés en grève reconductible". Les dons reçus? 10, 20, 30, 250, 500 euros...
Pour le conflit en cours, sa collecte dépassait jeudi les deux millions d'euros, obtenus depuis le 5 décembre, "y compris les chèques reçus par courrier et les virements bancaires", a indiqué Romain Altmann, responsable d'Info'com-CGT.
- "moral des troupes" -
Ce "succès terrible", selon lui, est dû au fait que cette caisse vise les grévistes "syndiqués ou non syndiqués" et qu'elle est "transparente" sur l'utilisation des fonds, a-t-il revendiqué.
Trente mille euros pour les cheminots de Grenoble, 35.000 euros pour ceux du Puy-de-Dôme ou 250.000 euros pour les agents de la RATP. "On remet en quelques jours des sommes aux grévistes pour les aider à tenir. Notre caisse devient un outil politique au service de la lutte car elle influe rapidement sur le moral des troupes", considère M. Altmann.
Côté syndicats, la CFDT affirme sur son site être le seul à "disposer d'une caisse de grève pour ses adhérents", financée par une partie de leurs cotisations, la Caisse nationale d'action syndicale (Cnas) qui les aide au-delà de sept heures de grève: une indemnité de 7,30 euros par heure pour les salariés à temps plein.
La grève contre la réforme des retraites s'étant installée dans la durée, d'autres organisations nationales ont ouvert ces dernières semaines des cagnottes sur internet. Comme SUD-Rail avant Noël, "compte tenu de la multiplication des dons" pour les cheminots grévistes, a expliqué Fabien Dumas, l'un de ses responsables.
Idem début janvier pour la centrale CGT et sa fédération des cheminots, qui ont chacune ouvert une caisse en ligne. "Nous recevons beaucoup de sollicitations. Cela vient compléter notre dispositif", alors qu'auparavant "nous ne collections qu'en chèque et virement", a indiqué Laurent Brun, secrétaire général de la CGT-Cheminots.
Et pour "de nombreux grévistes" à la SNCF, la "paye de janvier sera à 0 euro", a-t-il souligné.
© 2020 AFP
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