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Départ de la manifestation parisienne contre la réforme des retraites

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Dubaisan Dubaisan
24/01/2020 15:32:47
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Z. PanCrace,

Faisant venir de France ma matière première, j’avais indiqué dans une autre file, être obligé de la faire partir de Rotterdam plutôt que du Havre et le surcoût que cela entraînait.

Totalement d’accord avec vous sur les conséquences incalculables en amont (lignes maritimes) et en aval (entreprises de fret routier), sans compter les retards et surcoûts pour les entreprises françaises.

La France s’enfonce à cause de syndicats fossiles qui ne représentent qu’une toute petite minorité extrémiste dans son égoïsme.



  
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virgules44 virgules44
24/01/2020 14:55:43
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la loi sera votée et appliquée.
  
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ZeuspanCrace13 ZeuspanCrace13
24/01/2020 14:50:35
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Cher Dubaisan,

Je plussoye à votre commentaire, j'ajouterai que le blocage des ports est la question la plus complexe car les armateurs dont les navires ont été ou vont être détournés vers d'autres ports à l'étranger ne reviendront pas de sitôt; pendant un an, peut-être plus, ils ne prendront plus de risque suplémentaire et ils profiteront d'un autre climat social chez nos voisins. Hormis l'afflux de clients sur les ports de Gênes ou Barcelone en Méditerranée, et sur les ports de Rotterdam, Ostende dont l'UE pourra se réjouir, il va se produire une dépression en France dans le transport routier en aval du trafic maritime. Ne pas avoir parlé plus tôt de cette contrainte montre que notre gouvernement n'a aucune culture maritime; malheureusement on ne remet pas en fonction des lignes maritimes de fret comme on redémarre le TGV ou le métro.

Cordialement,

Z. Pancrace

  
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CRI74 CRI74
24/01/2020 14:29:26
0

Merci Mr Macron !

  
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Dubaisan Dubaisan
24/01/2020 14:05:50
0

Pour se faire entendre, il faut crier encore plus fort que les autres.

En attendant défiler derrière des banderoles, faire grève, bloquer des structures économiques, mettre en péril des entreprises non seulement ne résout rien dans l’immédiat , mais détruit l’image du pays, sape la confiance ou plutôt entretient la méfiance des autres pays partenaires et ne fait qu’en reporter une charge encore plus lourde sur les générations futures.

La dite « attractivité » est une expression aussi virtuelle qu’un mirage.

  
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Fibopivots Fibopivots
24/01/2020 13:06:10
1

Pourquoi n'a t on pas en France de syndicats de la métallurgie, des cafetiers restaurateurs, de l'automobile, etc...

Tout irait bien mieux à la place de nos syndicats politisés qui se braquent en quasi permanence avec des gouvernements stupides et inefficaces.

Pourquoi.?

Message complété le 24/01/2020 13:07:02 par son auteur.

Tout le monde perdant perdant en... Notre douce France.

Message complété le 24/01/2020 13:08:24 par son auteur.

Mais quand une des parties exagère bien trop 'lourdement, tout finit par dégénérer...

  
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gtonna gtonna
24/01/2020 12:48:24
0
La démocratie n'est pas dans la rue, monsieur Hommeril. On est en démocratie représentative, il suffira de voter, à la prochaine élection, pour un Parti qui annulera la réforme.

Moi qui suis pour cette réforme qui m'avantage énormément, je fais comment pour me faire entendre ?
  
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gtonna gtonna
24/01/2020 12:48:25
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Manifestation contre la réforme des retraites le 24 janvier 2020 à Paris (AFP/STEPHANE DE SAKUTIN)

Plusieurs milliers de personnes ont commencé à manifester contre la réforme des retraites peu après midi vendredi de la place de la République en direction de celle de la Concorde, à Paris, sous un soleil radieux et un froid piquant, ont constaté des journalistes de l'AFP.

Les manifestants marchaient derrière leur désormais traditionnelle banderole de tête affichant "Retraite à points: tous perdants, retraite à 60 ans: tous gagnants". "Retraités à points, retraités à poil", proclamait une pancarte. Devenue traditionnelle aussi, la chorégraphie de féministes vêtues de bleus de travail sur l'air de la chanson "A cause des garçons", détournée en "à cause de Macron".

"Tout le monde a compris une seule chose: c'est qu'on va travailler plus longtemps. Au moins jusqu'à 64 ans, voire plus", a dénoncé le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez, en pointe de la mobilisation. Interrogé pour savoir s'il s'agissait d'un baroud d'honneur, il a répondu "absolument pas".

"Quand le président dit c'est une réforme faite pour durer, je peux vous dire qu'on va tout faire pour qu'elle ne dure pas et je suis persuadé qu'elle finira par être très largement corrigée", a prédit Yves Veyrier (FO), estimant qu'"on va rentrer dans une phase un peu nouvelle", avec "devant nous des mois et des mois de mobilisation sous des formes qu'on va examiner".

Pour Benoît Teste (FSU), "ce mouvement reste massif, on a des taux de grève importants, il s'inscrit dans la durée et il n'est pas le fait de quelques personnes marginales". Les enseignants étaient notamment en nombre dans le cortège parisien.

Il s'agit de la 7e journée interprofessionnelle de grèves et manifestations depuis le début du conflit le 5 décembre. Elle coïncide avec la présentation en Conseil des ministres des deux projets de loi de réforme des retraites.

L'intersyndicale (CGT, FO, Solidaires, FSU et organisations de jeunesse) à l'origine de la mobilisation en a déjà programmé une huitième, le 29 janvier, à laquelle la CFE-CGC ne s'est pas associée cette fois.

"La démocratie sociale et politique ne s'est pas exercée, espérons que dans les mois qui viennent, à l'occasion du débat parlementaire et des amendements, la démocratie reprenne un peu ses droits", a déclaré avant le départ de la manifestation parisienne le président du syndicat des cadres François Hommeril.

© 2020 AFP

  
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