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IRRATIONNEL ?
mais y en a qui ont encore rien compris
totalement bouchés ?
car plus on attend plus il y aura de risque d'être contaminé
mais çà y en a effectivement qui sont encore croyant ... dans leur bonne étoile.
lls doivent se croire invincible ?
mais comment se fait-il qu'il n'avaient rein compris
ils doivent croire qu'il suffit de marquer "halte là" à la frontière
et petit corona doit s'arrêter là ?
ben non !!!
pfff
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Ils sont encore très croyants....
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Sur Arras, paraît que c'est l'panique.!!
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Je reviens de mon supermarché proche de chez moi.
Il me fallait un produit de première nécessité : dans deux jours je risquais de manquer de Chardonnay !
Ouf, il en restait !
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Ah bon et quel secours au 11 ème jour?
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L'Allemagne avait anticipé les problèmes d'approvisionnement dès 2016 en prévision d'une offensive russe...
"La population allemande doit pouvoir être autonome pendant une durée de dix jours en nourriture, batterie et argent liquide, à raison de deux litres d'eau par personne et par jour pendant cinq jours avant l'arrivée de secours, précise le document.
Le texte rappelle également la nécessité pour l'Etat d'augmenter les réserves - d'essence, de vaccins, d'antibiotiques, de tablettes d'iodure de potassium en cas d'attaque radioactive - mais aussi de renforcer la sécurité des bâtiments ou encore d'installer des zones de décontamination devant les hôpitaux."
http://www.rfi.fr/fr/europe/20160821-allemagne-mesures-protection-civile-attaque-terrorisme
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Macron n'avait qu'à dire que les pâtes, le riz, le papier Q ... seraient pris en charge par la sécu s'ils venaient à manquer dans les étals et livrés gratuitement à domicile par l'armée.
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Alerte embouteillage au rayon des pâtes, parce qu'"on ne sait pas trop où l'on va"... Plusieurs grandes surfaces, qui appellent à la raison, connaissaient une fréquentation inhabituelle vendredi au lendemain des annonces d'Emmanuel Macron pour tenter d'endiguer l'épidémie de coronavirus.
Au Carrefour de Montesson, dans les Yvelines, une source au sein de la direction du magasin n'a que le temps d'observer que "depuis hier (jeudi) soir, on a une grosse affluence, les gens se précipitent sur les produits de première nécessité". Elle doit ensuite couper court: "on doit aller aider pour les passages en caisse, dans les rayons, partout"!
Jeudi soir, M. Macron a notamment annoncé la fermeture des établissements scolaires dans l'ensemble du pays, au moins jusqu'à fin mars, pour tenter de limiter la propagation de l'épidémie de coronavirus.
Ce discours, suivi par près de 25 millions de téléspectateurs jeudi soir, "ça lance un signal que les choses empirent", observe Amel, 18 ans, venue faire le plein de conserves au Leclerc de Bobigny (Seine-Saint-Denis) avec sa maman Fatima.
"Je n'étais déjà pas rassurée, mais là, avec les déclarations de Macron hier, je fais les courses et je ne sors plus de chez moi jusqu'à ce que le virus passe", abonde Stéphanie, une Lilloise de 38 ans qui est venue au centre commercial Euralille pour faire des provisions de "15 jours au moins".
"Il faut bien s'organiser", abonde Alain, 51 ans, croisé par l'AFP au rayon lait d'une moyenne surface du 8e arrondissement de Lyon, trois packs de six litres dans les mains. D'habitude, il "prend moins". "Mais là, je ne sais pas, il vaut mieux être prudent, on ne sait pas trop où l'on va. Et quand on voit les rayons qui se vident déjà, ça incite".
- Appel au civisme et au respect -
A Marseille, Ajaccio, les rayons des pâtes sont les premiers ciblés. A Bobigny, "il ne reste que des pâtes aux œufs, mais c'est plus cher", grommelle une dame d'une soixantaine d'années. A Montesson, Michel Samine a fait une infidélité à son magasin habituel, situé dans la ville voisine de Sartrouville, où "il y a pénuries depuis une semaine" pour les pâtes et le riz.
Autres produits très convoités: les produits ménagers. "J'ai vu des gens acheter du liquide vaisselle ou des paquets d'essuie-tout trois par trois", témoigne une jeune vendeuse lyonnaise. "Ce matin, les gants sont partis très vite", observe Thomas, un vendeur à Bobigny.
Elizabeth Icher, professeure de français dans un collège toulousain, fait partie de ceux qui se sont équipés en gants: "dans ce genre de cas, l'enfer c'est les autres, beaucoup de gens ont encore des comportements à risque", estime-t-elle.
Porte-parole de Système U, Thierry Desouches met en garde contre les comportements "irraisonnables". "Emmanuel Macron a parlé hier de la solidarité, de la responsabilité, nous avons des stocks pour supporter un afflux de consommation mais si les chiffres sont multipliés par des centaines de pourcent...", avertit-il auprès de l'AFP.
"La semaine prochaine je serai bloquée à la maison avec les enfants, donc sans céder à la panique, j'anticipe un peu", répond en écho Karima à Euralille.
Si les clients portant des masques étaient rares, certains tentaient de se prémunir contre la contamination.
Ainsi de cette jeune femme à Anglet, au Pays basque, qui "avait pris un bout de tissu pour ne pas toucher les bornes de commande avec (ses) mains" au "drive" du magasin.
"J'ai essayé de communiquer le moins possible avec les gens sur place, en restant dans ma voiture et en fermant les vitres", ajoute celle à qui le médecin a conseillé de rester chez elle, bien qu'elle n'ait pas été testée positive.
"Nous appelons à votre civisme, votre respect envers les hôtesses de caisse, le personnel, les autres clients", a réclamé sur Facebook le magasin E.Leclerc de Wattrelos, dans le Nord.
S'il "est approvisionné en marchandise de façon normale", il a demandé à ses clients de penser "à l'entraide des personnes les plus fragiles, âgées, qui ont besoin également de produits de première nécessité". Et de conclure: "soyez raisonnable dans vos achats".
cal-ppy-tll-zl-burs/cda/tq/map
© 2020 AFP
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