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Le coronavirus va plonger la France dans la récession, des nationalisa

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Luncyan Luncyan
18/03/2020 11:23:03
1

Une nationalisation c'est d'abord TOUJOURS une mise en faillite préalable. On parle pas d'une OPA là :)

  
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Webmaster ABC Webmaster ABC
18/03/2020 11:21:00
1

si nationalisation, il faut pas rêver, l'Etat ne sera pas généreux. Il intervient en sauveur de la boite, pas de l'actionnaire. Il ne faut donc pas attendre de prime spéculative comme lors d'une OPA.

Non, je pense que c'est même plutôt le mauvais plan pour un actionnaire de se faire sortir à n'importe quel prix, sans pouvoir s'y opposer. Le doute c'est surtout sur AF aujourd'hui, méfiance.

  
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Fibopivots Fibopivots
18/03/2020 11:05:07
0

Le Maire va finir par devenir un bon Trader... Rno vers 12, pas cher.

  
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mika57 mika57
18/03/2020 10:30:55
0

Oui en effet, mais le cours est quand même tombé sous 9 euros avant de se redresser.


  
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michel1993 michel1993
18/03/2020 10:29:47
0

Je repose la question : que se passe t'il en cas de nationalisation ?


On rachète nos actions au cours actuel et on nos envoie promener ?

  
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Webmaster ABC Webmaster ABC
18/03/2020 10:19:42
1

Orange est pas vraiment en déroute boursière (si financière dans cette crise, vu son secteur)

  
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mika57 mika57
18/03/2020 10:16:01
0
Ce n'est pas forcement une mauvaise idée: L'Etat Français a tout intérêt à se renforcer massivement au capital d'entreprises en déroute boursière, à l'image de Safran, Peugeot, Engie, Air France, Orange ou Airbus, pour ensuite revendre une partie de ces participations à des cours bien plus élevés, dans les mois et les années qui viennent.
Rien que pour avoir les cartouches financières nécessaires pour affronter la crise économique qui arrive.
  
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michel1993 michel1993
17/03/2020 15:12:35
0

Que deviennent nos actions en cas de nationalisation ?

  
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zekat55 zekat55
17/03/2020 13:14:14
0
rien a dire.affaire a suivre
  
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zekat55 zekat55
17/03/2020 13:14:15
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Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire, le 9 mars 2020 à Paris (AFP/Archives/ERIC PIERMONT)

Le gouvernement déclare "la guerre économique" au coronavirus et n'exclut pas de nationaliser certaines grandes entreprises en danger dans une économie française à l'arrêt avec des Français confinés et des entreprises au bord de la faillite.

"Il y a aussi une guerre économique et financière. (...) Elle sera durable, elle sera violente, elle doit mobiliser toutes nos forces", a martelé mardi matin le ministre de l'Economie Bruno Le Maire sur RTL, au lendemain de la déclaration de "guerre" d'Emmanuel Macron contre le Covid-19.

Le président de la République a instauré des restrictions strictes de déplacement pour la population, qui vont encore augmenter l'impact de l'épidémie sur l'économie, alors que de nombreuses entreprises sont déjà au bord de l'asphyxie.

"La guerre sanitaire, j'espère que c'est une affaire de semaines. La guerre économique et financière, c'est une affaire de mois. Il faudra donc du temps pour faire redémarrer l'économie, pour lui redonner toute sa puissance", a encore insisté Bruno Le Maire.

En attendant, la France va plonger dans la récession cette année, a prévenu le ministre. Le PIB devrait reculer de 1% en 2020, loin de la croissance de 1,3% prévue par le gouvernement avant l'apparition du virus.

Mais il a insisté sur le fait que cette prévision était "provisoire", en fonction "de l'évolution de l'épidémie dans les semaines à venir et de notre capacité à surmonter cette crise".

- "nationalisation si nécessaire" -

Pour limiter les dégâts, notamment des faillites en cascade d'entreprises, trop fragiles pour encaisser un arrêt total de leur activité pendant des semaines, le gouvernement va dégainer un arsenal immédiat de 45 milliards d'euros.

L'essentiel - 32 milliards d'euros - passera en report ou annulation de charges sociales et fiscales, déjà en place depuis plusieurs jours.

Les dispositions de chômage partiel pour les salariés contraints de cesser de travailler coûteront 8,5 milliards d'euros sur 2 mois, a précisé Bruno Le Maire lors d'une conférence téléphonique avec la presse.

"Si nous mettons autant d'argent maintenant sur la table, c'est pour aider (l'économie) à redémarrer rapidement", une fois que l'épidémie sera vaincue, a justifié M. Le Maire.

"Tous les moyens" à disposition seront utilisés "pour protéger les grandes entreprises françaises, a insisté le ministre, y compris des opérations de prise de participations et même de "nationalisation si nécessaire", a-t-il ajouté.

Certains groupes, à l'image d'Air France-KLM, vivent un supplice en Bourse et ont vu leur capitalisation fondre en quelques jours.

Alors que l'Autorité des marchés financiers (AMF) a interdit pour 24 heures les ventes à découvert sur une centaine de titres, le gouvernement est prêt "à aller plus loin (...) jusqu'à l'interdiction d'un mois", a dit M. Le Maire.

La désorganisation des chaînes de production du fait des mesures de confinement conduit de plus en plus d'entreprises à réduire ou même à suspendre complètement leur production pour abaisser leurs coûts.

Renault, PSA, Michelin, ont ainsi annoncé la fermeture de leurs usines en France, et Airbus a suspendu sa production dans le pays et en Espagne pendant quatre jours.

La secrétaire d'Etat Agnès Pannier-Runacher recevra chacune des grandes filières industrielles pour faire le point sur leur situation.

Bruno Le Maire s'est toutefois voulu rassurant sur la santé des grandes banques françaises. Elles "sont attaquées sur les marchés, mais elles sont très solides", a assuré Bruno Le Maire.

- "solidarité" -

Lundi soir, Emmanuel Macron avait déjà annoncé que l'Etat allait garantir à hauteur de 300 milliards d'euros les prêts bancaires contractés par les entreprises auprès des banques.

"Aucune entreprise ne sera livrée au risque de faillite", a-t-il promis, en insistant notamment sur le soutien de l'Etat aux petites entreprises.

Pour celles-ci, et également pour les microentrepreneurs et les travailleurs indépendants, Bruno Le Maire a détaillé l'action du "fonds de solidarité", annoncé la semaine dernière et censé leur apporter "un filet de sécurité".

Doté de 2 milliards d'euros par mois, il soutiendra ceux qui "ont perdu, entre mars 2019 et mars 2020, 70% de leur chiffre d'affaires". "On va faire simple. On va faire massif et on va faire solidaire", a insisté le ministre de l'Economie.

Conséquence logique de cette mobilisation massive: la dette publique dépassera la barre des 100% du PIB cette année a prévenu Bruno Le Maire.

© 2020 AFP

  
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