La salle des marchés du NYSE pourrait fermer bientôt...

si les cafés s,ecroulent, faut acheter chargeurs et ses masques...

"On commence à s"organiser en laissant à penser que cette situation de confident pourrait durer jusqu'en ... Aout prochain selon Trump : ça promet des crise de nerfs en perspectives et des pétages de plombs en perspective..."

ça pourrai être pire..

imaginez un peu que les américains détiennent des armes à feu chez eux pour se protéger..

comme où déjà ? o_O

ah bein aux Etats-Unis ! mdr

Signalons encore pour compléter le post précédent concernant Luskin Coffee, le concurrent chinois de Starbuck Coffee qui s'effondré hier de -75.57% !

On cotait 50 $ en janvier 2020 et on trouve parmi les heureux élus de la perte en capital :

• Lone Pine Capital LLC 10 345 069 titres, soit 10,7%

• Capital Research & Management Co. (Global Investors) 8 940 370 titres, soit 9,23%

• Capital Research & Management Co. (World Investors) 5 080 724 titres, soit 5,24%

• Winslow Capital Management LLC 3 839 300 titres, soit 3,96%

• Melvin Capital Management LP 3 800 000 titres, soit 3,92%

• BofA Securities, Inc. 3 502 378 titres, soit 3,61%

• Alkeon Capital Management LLC 3 121 159 titres, soit 3,22%

• UBS Securities LLC 2 820 779 titres, soit 2,91%

• Darsana Capital Partners LP 2 500 000 titres, soit 2,58%

• Credit Suisse Securities (USA) LLC (Broker) 2 190 510 titres, soit 2,26%

NASDAQ : Sur Fond de grosse magouille dans les comptes de Luskin Coffee, le concurrent chinois de Starbuck Coffee s'effondre hier de -75.57% !

Le marché de Luckin Coffee s'effondre après que l'audit des comptes découvre que les ventes ont été fabriquées par son directeur des opérations du groupe.

Et on retrouve Muddy WATERS en amont du dossier qui avait dénoncé des comptes frauduleux et qui bien sûr à chargé le titre à la baisse.

Vertigineux...

Info de Bloomberg

https://news-24.fr/le-stock-de-luckin-coffee-seffondre-apres-que-la-sonde-decouvre-que-les-ventes-fabriquees-par-le-coo/

Notons que :

Reinout Schakel, directeur financier de Luckin Coffee Inc., prend la parole lors d'une interview télévisée avant le premier appel public à l'épargne (IPO) de la société au Nasdaq MarketSite à New York, le vendredi 17 mai 2019."

Luckin Coffee a révélé jeudi qu'une enquête interne avait révélé que son directeur des opérations avait fabriqué des ventes pour 2019 d'environ 2,2 milliards de yuans (310 millions de dollars).

Les actions ont généré plus de 80% de transactions avant commercialisation après la publication du dossier réglementaire. Récemment, les actions ont baissé de près de 72%, anéantissant près de 5 milliards de dollars de sa valeur marchande.

L'enquête a révélé que Jian Liu, le chef de l'exploitation de Luckin, et plusieurs employés qui relevaient de lui, s'étaient rendus coupables d'inconduite, notamment de fabrication de ventes. Liu et les employés impliqués dans l'inconduite ont été suspendus et Luckin a déclaré qu'il intenterait une action en justice contre les responsables.

Jian n'a pas pu être localisé pour un commentaire.

La société âgée de 2 ans et demi, qui avait espéré dépasser Starbucks en tant que première chaîne de café en Chine, a déclaré que les investisseurs ne devraient pas se fier à ses états financiers et à ses communiqués de résultats antérieurs pour les neuf mois terminés le 30 septembre. les neuf premiers mois de 2019 étaient de 2,9 milliards de yuans (413 millions de dollars).

Luckin a déclaré que l'enquête interne est à un stade préliminaire et son estimation des ventes fabriquées n'a pas été vérifiée par son auditeur indépendant. Le comité spécial de la société a retenu Kirkland & Ellis en tant que conseil externe indépendant et FTI Consulting en tant qu'expert en juricomptabilité indépendant.

Muddy Waters Research a déclaré en janvier qu'elle avait parié contre le titre à la lumière de ce qu'elle a qualifié de fraude et d'une "entreprise fondamentalement cassée".

Luckin a répondu en qualifiant le rapport du vendeur à découvert de "trompeur" et de "faux".

"Luckin montre exactement pourquoi nous avons besoin de vendeurs à découvert sur le marché. Nous pensions que ce rapport était crédible lorsque nous l'avons lu, et c'est pourquoi nous avons pris position", a déclaré le fondateur de Muddy Waters, Carson Block, dans un communiqué à CNBC. "Il s'agit à nouveau d'un signal d'alarme pour les décideurs, les régulateurs et les investisseurs américains concernant le risque de fraude extrême que les entreprises chinoises posent pour nos marchés."

La société chinoise a levé 561 millions de dollars dans son premier appel public à l'épargne après avoir évalué les actions à 17 dollars. Le titre a commencé à se négocier publiquement sur le Nasdaq en mai, en bondissant de 18% à ses débuts. Les actions ont culminé en janvier à 51,38 $, mais ont chuté alors que l'épidémie de coronavirus se répandait en Chine. Le titre a atteint un creux historique de 4,90 $ par action jeudi matin. Hors plongeon de jeudi, le titre a progressé de 54% depuis son introduction en bourse.

Luckin a essayé de créer une base de clients avec des emplacements plus petits formatés pour plus de commodité et offrant des rabais importants. En janvier, la société a déclaré avoir plus de 4 500 emplacements en Chine, plusieurs centaines de plus que Starbucks. Starbucks a répondu à la menace concurrentielle en ouvrant des cafés en Chine conçus pour un ramassage et une livraison plus rapides et moins de places assises.

Le graphe : on cote 5.77 et -9.84% et rien qu'hier 264 323 498 titres sont partis à la casse...

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Aux USA, ça devient comme chez nous : certains rayons rappellent le temps joyeux des reportages en URSS au début des années 80 sous Brejnev au moment où l'on commençait à lancer par la publicité l'hypoconsommation et les début de l'obsolescence programmée...

On commence à s"organiser en laissant à penser que cette situation de confident pourrait durer jusqu'en ... Aout prochain selon Trump : ça promet des crise de nerfs en perspectives et des pétages de plombs en perspective...

Pourquoi il y aura bientôt des tonnes de papier toilette, et quelle nourriture pourrait être rare, selon les experts de la chaîne d'approvisionnement

TRADUIT AVEC DEEPL \• Published Wed, Mar 18 20203:04 PM EDTUpdated Wed, Mar 18 20204:05 PM ED@JADESCIPIONI

https://www.cnbc.com/2020/03/18/supply-chain-experts-foods-that-could-be-less-available-in-pandemic.html

Une allée de papier toilette est presque vide dans une épicerie Kroger. Les clients paniquent en achetant du papier toilette, du désinfectant pour les mains, des serviettes en papier, des médicaments contre le rhume et la grippe et d'autres articles sur les craintes d'une épidémie de coronavirus. Jeremy Hogan | SOPA Images | Getty Images

Vous avez dû rationner le papier toilette parce que vous n'avez pas fait de stock pendant la panique des coronavirus ces derniers jours ? Ne vous inquiétez pas, selon les experts de la chaîne d'approvisionnement.

"Toutes les épiceries vont avoir des palettes de papier toilette dans les allées, et personne ne va en acheter, car qui a besoin d'acheter du papier toilette alors que vous avez un an de stock dans votre garage ? Daniel Stanton, expert de la chaîne d'approvisionnement et auteur de "Supply Chain Management for Dummies", raconte à CNBC Make It.

Mais qu'en est-il de la nourriture ?

Même si la pandémie COVID-19 s'étend sur plusieurs mois (le président Donald Trump a déclaré qu'elle pourrait durer jusqu'en août), il n'y aura pas de grandes pénuries de nourriture, en particulier pour les denrées de base comme le lait, les œufs, le fromage, le pain et la viande, selon trois experts de la chaîne d'approvisionnement qui se sont entretenus avec Make It.

Mais votre marque préférée ou le type exact de fruit que vous souhaitez pourrait se faire rare.

"La marque que vous voulez normalement n'est peut-être pas disponible. Mais il y a d'autres sortes de pâtes. Ou au lieu de riz, nous allons avoir des pommes de terre pour le dîner", dit Stanton.

"Les États-Unis produisent une énorme quantité de nourriture. Nous sommes également exportateurs de nourriture, donc tout ira bien", ajoute-t-il.

Selon les experts, de nombreux fabricants de produits alimentaires ont adapté leurs lignes de production à la distance sociale et ont augmenté le nettoyage pour assurer la sécurité des travailleurs au cours des dernières semaines.

Dans cette optique, voici les quelques types de produits qui pourraient en fait être plus difficiles à trouver.

Articles spécialisés

Les produits spécialisés comme les pâtes et les vins importés d'Italie, les fromages de France ou d'autres produits alimentaires de niche provenant de pays étrangers ou de petites entreprises peuvent être touchés, explique Anantha Iyer, doyenne associée principale en gestion de la chaîne d'approvisionnement et des opérations à la Krannert School of Management de l'université Purdue.

Ce type d'articles ne sera peut-être pas épuisé de façon permanente, mais cela pourrait "devenir un peu délicat", dit Anantha Iyer à Make It.

"Certains ingrédients pour les produits de spécialité du littoral pourraient se retrouver bloqués parce qu'ils ne peuvent pas passer la frontière", explique Stanton.

Brandon Hernandez, expert en chaîne d'approvisionnement et partenaire de Whole Brain Consulting, qui travaille avec des marques spécialisées aux États-Unis, est d'accord.

"Je pense que les principaux sujets de préoccupation sont davantage liés aux matières premières ou aux emballages en provenance de Chine qui soutiennent la chaîne alimentaire au sens large", explique M. Hernandez à Make It, en précisant que la Chine est un important exportateur vers les États-Unis et fournit des produits comme le quinoa et les épices.

Comme la pandémie pourrait encourager un examen plus minutieux des exportations, cela "pourrait potentiellement ralentir la chaîne d'approvisionnement", dit-il.

En ce qui concerne les produits spécialisés américains, M. Hernandez ne prévoit pas "l'effondrement complet de produits comme les barres [protéinées] ou toutes les puces [spécialisées] qui vont disparaître", mais ces produits pourraient ne pas se réapprovisionner aussi rapidement.

Certains fruits et légumes

Selon M. Iyer, les Américains devront peut-être se montrer "un peu plus souples" sur certains types de fruits et légumes qu'ils souhaitent acheter dans les mois à venir.

"Si vous ne voyez pas un type de fruit, vous devrez peut-être en acheter un autre", dit-il.

En effet, certains types de produits sont importés d'autres pays, ce qui peut entraîner des retards dans le transport maritime si les ports commencent à fermer.

M. Hernandez admet qu'il est possible que les Américains constatent des lacunes dans la disponibilité des fruits.

"Je ne dis pas qu'il est impossible que vous ne voyiez pas les bananes devenir rares ou les fraises au cours du dernier semestre, parce qu'elles passent de la production californienne à la production mexicaine".

"C'est peut-être possible, mais cela dépend vraiment de ce qu'ils décident d'imposer aux frontières du point de vue de la [Food and Drug Administration] et du [Département américain de l'agriculture]", explique M. Hernandez.

Dans l'ensemble, cependant, M. Stanton pense que de nombreux agriculteurs et éleveurs nationaux, qui ont connu des difficultés ces dernières années, pourraient en fait bénéficier d'un coup de pouce dans le contexte de la pandémie, car les États-Unis pourraient se tourner vers des fournisseurs locaux plutôt que vers des fournisseurs internationaux.

A priori, c'est une question d'heure, il y aurait un cas !

Le NYSE, symbole de l'Amérique, se bat pour garder sa salle des marchés ouverte en pleine pandémie de coronavirus

Traduit ave DEEPL /// Published: March 18, 2020 at 1:05 p.m. ET /// By Mark DeCambre

https://www.marketwatch.com/story/the-nyse-a-symbol-of-america-is-fighting-to-keeping-its-trading-floor-open-amid-coronavirus-pandemic-2020-03-17?mod=article_inline

Ils doivent trouver un équilibre entre la santé et la sécurité non seulement des personnes qui y travaillent, mais aussi la responsabilité sociale au sens large".

Joe Gawronski a déclaré que les inquiétudes concernant l'épidémie de coronavirus ont vraiment frappé le 13 mars.

"Notre attitude a nettement changé depuis vendredi", a-t-il déclaré à propos de la réaction de sa famille à l'épidémie virale de COVID-19.

Le président de la société de courtage new-yorkaise Rosenblatt Securities vit à Summit, N.J., une banlieue située à un peu plus de 20 miles à l'ouest de la Bourse de New York à Manhattan, et le district scolaire de ses enfants a annoncé le 12 mars qu'il fermerait ses portes au moins jusqu'au 6 avril, car plus de deux douzaines de cas confirmés de la pandémie virale sont apparus dans le Garden State.

M. Gawronski a déclaré que les choses n'avaient pas beaucoup changé immédiatement après la fermeture de l'école ; il a même autorisé un de ses enfants à passer la nuit chez lui vendredi, mais ces derniers jours, les choses ont changé du tout au tout.

"Il n'y avait pas de dates pour jouer, pas de parcs... hier, mes enfants ne sortaient pas tous", a-t-il dit.

C'est peut-être pour cette raison que Gawronski, l'un des principaux dirigeants du plus grand courtier en bourse de New York, nourrit une certaine ambivalence quant au maintien de la bourse ouverte pendant la pandémie qui s'est rapidement propagée dans le monde entier, ce qui a amené la ville de New York à envisager des mesures drastiques pour contenir l'agent pathogène mortel.

"C'est une décision difficile à prendre", a déclaré M. Gawronski en parlant du maintien de la bourse avec des dizaines de négociants pendant l'épidémie. Il a ajouté "mais je pense que la bourse a trouvé le bon équilibre en restant ouverte, en particulier avec le lundi", soulignant que les mesures prises par le NYSE l'ont assuré.

Les responsables de la Bourse de New York ont été catégoriques sur la nécessité de maintenir la bourse ouverte et de garder un personnel de négociants en chair et en os sur le parquet, alors même que le maire de la ville de New York, Bill de Blasio, a laissé entendre mardi qu'il était possible de renforcer les restrictions sur la circulation des résidents de la ville pour atténuer la contagion, qui a infecté environ 200 000 personnes dans le monde et fait près de 8 000 victimes, selon les données compilées par l'Université Johns Hopkins.

La propagation de la maladie est à son paroxysme aux États-Unis et à New York, où 13 personnes sont mortes, et des mesures sont prises pour éviter que les établissements de santé publique ne soient envahis par ceux qui ont été malades.

Le gouvernement de New York, Andrew Cuomo, a averti mardi que l'épidémie pourrait atteindre son apogée dans les 45 prochains jours et que les quelque 53 000 lits d'hôpitaux de l'État de New York ne suffiront pas pour les dizaines de milliers de personnes qui tomberont probablement malades et mourront peut-être.

Un certain nombre d'autres bourses ont fermé indéfiniment leurs salles de marché et sont revenues aux transactions électroniques par mesure de précaution dans le contexte de l'épidémie, notamment le CME Group Inc. CME, -13,88%, propriétaire du Chicago Mercantile Exchange et du Chicago Board of Trade. Cboe Global Markets CBOE, -14,33%, a également fermé temporairement sa salle des marchés, tout comme le London Metal Exchange, selon Financial News.

En outre, un certain nombre de grands rivaux ont demandé au NYSE de maintenir sa salle des marchés ouverte, selon le Wall Street Journal. "Je trouve assez étonnant que la salle des marchés du NYSE soit encore ouverte", a déclaré à la publication Terrence Duffy, directeur général du géant des marchés à terme de Chicago, le CME. "Je pensais que nous n'étions pas censés avoir 50 personnes ou plus dans un seul endroit."

La plupart des transactions dans ces entreprises se font par voie électronique, de sorte que la présence de négociateurs n'est pas essentielle à leurs opérations.

Stacey Cunningham, présidente du groupe NYSE, semble être engagée dans une bataille sur deux fronts, certains préconisant la fermeture des salles de marché, tandis que d'autres ont lancé l'idée d'une fermeture du marché dans son ensemble, ce à quoi elle s'est fermement opposée. Le Journal a rapporté que plusieurs dirigeants ont évoqué la possibilité d'une fermeture pour les marchés financiers lors d'une conférence téléphonique avec le gouverneur de la Banque d'Angleterre, Andrew Bailey. Cependant, ils ont conclu qu'une telle fermeture ne serait pas utile, a rapporté le journal.

"Il y a une très grande différence entre fermer le plancher et fermer les marchés en général", a déclaré M. Cunningham lors d'une interview accordée lundi à CNBC après que le Dow Jones Industrial Average DJIA, -6,30% et l'indice S&P 500 SPX, -5,18% aient enregistré leurs pires baisses quotidiennes depuis le crash de 1987.

"Nous pourrions fermer le plancher et continuer avec le marché ouvert et continuer les échanges", a déclaré M. Cunningham.

Elle a cependant ajouté que les traders physiques ont un rôle vital à jouer pour lisser la volatilité qui s'est accrue à Wall Street.

"Notre modèle permet de négocier avec moins de volatilité", a déclaré Mme Cunningham au réseau d'entreprises. "Les personnes présentes sur le marché sont donc fières d'offrir ce service de réduction de la volatilité.

La Bourse de New York a pris un certain nombre de mesures visant à prévenir la propagation du virus, notamment des restrictions sur les visiteurs extérieurs, des contrôles de température des personnes qui viennent sur le sol et des tests COVID-19 sur place pour le personnel, si le dépistage le nécessite.

Il n'est pas certain que ces mesures soient suffisantes pour contribuer à limiter la propagation de la maladie.

"Il est peut-être temps que la Bourse de New York revienne sur sa décision", a déclaré James Angel, professeur à l'université de Georgetown et expert en structure de marché, lors d'une interview accordée à MarketWatch dimanche dernier.

"Je ne suis pas un expert en santé publique, je suis un expert en structure de marché. Mais peut-être que nous avons besoin de voir la bourse prendre cette maladie plus au sérieux parce que le NYSE a la capacité de fonctionner sans le parquet", a-t-il déclaré.

M. Cunningham a refusé d'être interviewé pour cet article, mais par l'intermédiaire d'une porte-parole, il a déclaré que "les membres de la communauté du parquet du NYSE choisissent de venir à la bourse parce qu'ils croient en notre mission de servir les émetteurs et les investisseurs dans toutes les conditions de marché".

"Pour que le marché reste ouvert et sûr, la NYSE a travaillé en étroite collaboration avec les autorités locales, étatiques et fédérales pour développer et mettre en œuvre un ensemble extraordinaire de protocoles, qui comprennent l'éloignement social, le nettoyage en profondeur, le contrôle des voyages, la vérification obligatoire de la température et l'analyse des symptômes, pour toute personne entrant dans notre bâtiment".

Jonathan Corpina, associé directeur général de Meridian Equity Partners et d'une société membre de la Bourse de New York, s'est dit satisfait des mesures prises par la Bourse pour protéger les traders, notamment un nettoyage en profondeur des salles de marché et des zones de travail, qui a eu lieu ce week-end.

"Les mesures et les précautions prises sont les bonnes", a-t-il déclaré. "Si je ne me sentais pas à l'aise avec cela, je ne serais pas là", a déclaré Corpina, qui se rend au travail depuis Armonk, N.Y., à environ 40 miles au nord-est du NYSE.

Gawronski a déclaré qu'il ne travaille plus directement au sol. Cependant, il fait toujours la navette quotidiennement entre Summit et le 11 Wall St., le siège de la Bourse de New York. Il a déclaré que les floor traders sont une bande de patriotes, qui se sentent obligés de rester en première ligne lorsque les marchés sont en baisse.

L'héritage d'endurance et de patriotisme pour les traders remonte à 1792, lorsque ce qui allait devenir la NYSE a été fondé, et à 1817, lorsque le New York Stock Exchange Board a été formé.

En 1918, l'Amérique et le monde étaient assiégés par une autre pandémie, la grippe espagnole, qui a infecté environ un tiers de la population mondiale, tuant 50 à 100 millions de personnes, selon les rapports.

Gawronski souligne que le NYSE n'a pas fermé il y a 100 ans au milieu de la pire épidémie de l'ère moderne.

"Ils doivent trouver un équilibre entre la santé et la sécurité non seulement des personnes qui y travaillent, mais aussi la responsabilité sociale plus large", dit-il à propos du NYSE maintenant.

M. Gawronski a toutefois déclaré que la composante humaine des opérateurs en bourse est très importante. C'est particulièrement le cas à l'approche de la clôture des opérations sur le marché. Seuls les opérateurs du NYSE peuvent utiliser les ordres D, ou D-qotes, qui peuvent aider à résoudre les déséquilibres pendant les dernières minutes de la journée de négociation.

En période d'extrême volatilité, "la qualité du marché bénéficie des courtiers... mais je ne suis ni médecin ni scientifique, ce qui ne veut pas dire que j'ai raison de maintenir la bourse ouverte", a-t-il déclaré.

Une récente note de recherche de J.P. Morgan & Chase Co. publiée le 16 mars, fait valoir que le retour au commerce entièrement électronique par le CBO a nui à son volume de négociation d'options dans le S&P 500 et à ceux de la jauge de volatilité connue sous le nom de VIX VIX, +0,71% à court terme. Toutefois, les chercheurs, dont Kenneth Worthington, Jenny Ni et William Cuddy, prévoient que des avantages seront obtenus à plus long terme.

"Malgré les défis à court terme et des volumes plus tièdes par rapport aux dernières semaines, nous considérons que la migration à plus long terme vers le commerce électronique de SPX et VIX est positive pour le commerce Cboe et la croissance des bénéfices", ont écrit les analystes.

Pour sa part, la Bourse de New York teste depuis des semaines son plan d'urgence entièrement électronique, selon le Wall Street Journal. La dernière fois que les floor brokers n'ont pas été présents à la bourse, c'était pendant la tempête Sandy en 2012, lorsque des inondations ont mis toute la bourse hors ligne pendant un certain temps.

Gawronski spécule qu'il est possible que le moment arrive plus tôt, car les événements évoluent si rapidement.

"Je ne serais pas surpris de voir le parquet de la bourse fermé à un moment donné", dit-il, faisant référence à des ordres gouvernementaux qui pourraient potentiellement être invoqués, mais il espère que le NYSE "se battra pour garder la bourse ouverte".

"C'est un équilibre et il change constamment."

Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)