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Je note "On ne doit pas assimiler un décès à une courbe mathématique. Les décès survenus auraient pu être nettement diminués si le Président et son Premier Ministre avaient écouté la mise en garde de Madame Buzin au mois de janvier.."
Et si on avait été correctement le professeur Raoult et administré de Chloriquine : y'en aurait combien en moins?
Perso, entre crever et risquer de survivre, je choisis la seconde option...
Message complété le 19/03/2020 15:24:13 par son auteur.
CORRECTION : lire Et si on avait ECOUTE correctement le professeur Raoult et administré de Chloriquine : y'en aurait combien en moins?
C'est un peu comme pour un cas d'oedeme de Quincke sévère, vous pouvez sauver la vie de quelqu'un avec un tube vide de stylo à bille qui, enfoncé au bon endroit lui redonnera suffisamment d'air pour attendre les secours... Et pourtant, c'est pas validé les hopitaux...
L'allergie à pénicilline donne de l'oedeme de Quincke, les allergies aux piqures de guêpes et de frelon peuvent produire ce même type de symptôme...
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""""""""""""""""""Rétablissons ce qui est juste, le Président n'a pas osé parler de confinement et ce n'est seulement que mardi que cela a été décrété. """""""""""""""
lâcheté saluée d'ailleurs par beaucoup de médias et de professionnels de santé
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On ne doit pas assimiler un décès à une courbe mathématique. Les décès survenus auraient pu être nettement diminués si le Président et son Premier Ministre avaient écouté la mise en garde de Madame Buzin au mois de janvier. Cette dernière aurait dû démissionner de sa fonction devant le refus qu'on lui a fait. Cette démission aurait peut-être fait prendre certaines décisions beaucoup plus vite. Mais en haut lieu, on s'est soucié comme de l'an 40 de ce qui se passait.
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@ j.tavern,
Ce matin on laissait entendre que le confinement ne durerait pas quinze jours mais un minimum de quarante-cinq jours.
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Face à la crise du coronavirus, le conflit s'aggrave depuis plusieurs jours entre le secteur du bâtiment et le gouvernement: les professionnels veulent arrêter leurs chantiers, mais les autorités insistent pour maintenir une activité économique jugée essentielle.
"Quand un syndicat patronal dit aux entreprises: +Arrêtez d'aller bosser, arrêtez de faire vos chantiers+, ça c'est du défaitisme", a martelé jeudi, sur la chaîne LCI, la ministre du Travail Muriel Pénicaud. "On a besoin de tout le monde sur le pont".
La ministre accuse la Capeb, l'organisation qui domine l'artisanat du bâtiment, d'avoir enjoint à ses membres d'arrêter tous leurs chantiers. Elle s'en dit "scandalisée".
Ces propos attisent un conflit de plus en plus ouvert entre le secteur et le gouvernement, depuis que l'Etat a décrété lundi soir un confinement radical des Français chez eux pour lutter contre la propagation du coronavirus.
"C'est là que la confusion a commencé entre le gouvernement et la profession", raconte une source du bâtiment au fait des discussions avec l'Etat.
Du côté du bâtiment, on juge la situation intenable face aux doutes sur l'approvisionnement en matériaux, la volonté de salariés de rester chez eux pour se protéger, ainsi que les ordres contradictoires donnés par les clients des entreprises quant à un maintien ou non.
Les principales fédérations - la Capeb, la puissante FFB et la FNTP, centrée sur les travaux publics - comptaient bien sur une réunion mardi avec les principaux ministres concernés pour trouver un accord sur ce principe.
Mais "la réunion ne s'est pas super bien passée", admet la source au sein du bâtiment "Un des ministres a dit: +vous les patrons de bâtiment, vous voulez mettre tout le monde à l'arrêt pour profiter du chômage partiel+".
L'Etat a en effet décidé de prendre à sa charge l'indemnisation des employés contraints au chômage partiel par l'arrêt de leur activité dans les multiples secteurs frappés par le confinement.
- Courrier de Castaner -
Mais le gouvernement n'y inclut pas le bâtiment avec lequel la différence d'approche est pour l'heure irréconciliable. L'exécutif considère que les chantiers font partie des activités économiques qui peuvent se poursuivre, puisqu'elles ont lieu à l'extérieur et non dans un espace confiné.
"Il est bien évidemment admis que les personnes qui exercent une activité qui les oblige à (...) travailler en extérieur - chantiers de bâtiments et travaux public notamment - doivent la poursuivre", insistait le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, dans un courrier adressé mercredi aux préfets et que l'AFP a consulté.
"Je rappelle qu'en Italie, les mesures de restrictions similaires qui démontrent leur efficacité sur l'endiguement de la pandémie ont néanmoins permis à l'économie de fonctionner presque à la hauteur de ses capacités habituelles", insistait-il.
Ce courrier, puis l'intervention de Mme Pénicaud, n'ont rien fait pour calmer les esprits des fédérations qui haussaient le ton jeudi pour réclamer l'arrêt des chantiers.
"Nous ne comprenons pas les propos tenus par le ministre de l'Intérieur concernant la poursuite du travail des compagnons sur tous les chantiers, même ceux qui ne sont pas vitaux", regrettait dans un communiqué Patrick Liébus, président de la Capeb.
"Ces directives vont en effet à l'encontre de l'avis de tous les organismes professionnels du secteur qui ont, ensemble, pointé du doigt l'impossibilité, sauf exception, pour les entreprises du bâtiment de poursuivre leur activité tout en assurant strictement la sécurité des travailleurs", concluait-il.
© 2020 AFP
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