Coronavirus: "Il faut impérativement continuer à produire" dit le Mede

Au Japon par exemple pas de confinement (les hôpitaux peuvent assurer) et taux de chômage de 2,4%.

La France de Mr Macron continue son monotone déclin (s'attendre à payer impôts, hausses assurances, ....)

Il faudra après le covid-19 soigner également la France économique et sociale au bord de l'asphyxie et déjà placée sous perfusion de la BCE. Ce aux frais de tous et bcp de sacrifices.

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Perso j'ai entendu dire mardi dernier que le pic était prévu dans 50 jours, soit aux alentours du 7 mai. On verra bien.

Quand à l'appel à continuer à produire, c'est un non sens total si cet épisode est aussi grave qu'on nous le dit.

Continuer à faire se côtoyer des gens et risquer de leur faire ramener le virus chez eux est complètement débile.

Au plus tôt on fige l'ensemble, au plus tôt on redémarre, comme on Chine, et moins on perd et plus c'est facile à rattraper.

Si on se fracture un os et qu'on ne s"arrête pas pour ne pas perdre de temps dans sa tâche. On sera mal consolidé, voire pas du tout, ou de travers. Au final arrêt obligatoire 2 x plus long et probablement des arrêts futurs réguliers induits par les séquelles.

Le calcul est vite fait. On perd 2 x plus de temps. Et probablement 2 x plus d'argent.

Soit ces gens sont des quiches, soit le danger n'est pas si grand sur le plan sanitaire, et le confinement partiel n'a d'autre but que d'éviter un engorgement trop visible des hôpitaux qui mettrait l'accent sur la casse indécente qu'a subi l'hôpital depuis des années.

Si c'est grave on fige l'ensemble sans atermoiements !

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Le site: worldometers.info/coronavirus/country donne entre autre par jour le nombre de décès (fréquence/jour ) dû au coronavirus et la fameuse courbe du nombre total de décès.
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Conclusion: pour la France le « pic » serait atteint avant le 28 Mars 2020, d’où peut-être grandement assouplir le confinement surtout pour tous ceux qui ont travail ou qui en cherche?
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Le monde économique constitue "les forces arrières" dans le combat contre l'épidémie liée au coronavirus et les entreprises doivent "impérativement continuer à produire" quand c'est possible, selon un appel lancé vendredi par le Medef "à tous les chefs d'entreprises de France".

"Dans la guerre contre cette épidémie, le monde économique représente les +forces arrières+, celles qui doivent fournir aux soignants les moyens de mener le combat et à tous nos concitoyens les moyens de vivre", selon une lettre ouverte reçue par l'AFP.

Pour la première organisation patronale française, la crise "d'une ampleur inédite" représente "un défi pour notre génération, peut-être aussi grand que le furent la grippe espagnole ou la crise de 1929".

"Nous devons assurer la continuité de l'activité dans les domaines vitaux bien sûr, mais aussi dans tous les domaines connexes, puisque notre économie est intégrée et les secteurs interdépendants les uns des autres", souligne le Medef alors que certaines entreprises qui ne font pas l'objet d'une interdiction ont décidé d'interrompre leur activité pour protéger la santé de leurs salariés.

La lettre signée par le président du Medef Geoffroy Roux de Bézieux et le vice-président de l'organisation Patrick Martin explique que cette continuité est nécessaire pour des raisons économiques et financières, mais "surtout pour ne pas ajouter à la crise sanitaire une crise de carence dans l'approvisionnement de nos concitoyens".

Elle demande "dans toutes les entreprises où c'est possible, d'examiner sans délai les aménagements nécessaires aux postes de travail pour permettre la sécurité sanitaire des salariés et la poursuite de l'activité, en toute sécurité et dans le respect des gestes barrières et de règles de distanciation".

Le Medef précise que "ces aménagements doivent être faits en étroite concertation avec les instances représentatives du personnel (IRP)".

Il appelle enfin les entrepreneurs à adopter entre eux une "ligne de conduite solidaire, notamment dans la gestion de vos relations contractuelles entre clients et fournisseurs", "afin que ceux qui sont en manque de trésorerie puissent bénéficier du soutien de ceux qui en ont".

Dans ce contexte d'appel à la solidarité de la part des patrons des patrons, le médiateur des entreprises, Pierre Pelouzet, s'est inquiété pour sa part d'une montée des retards de paiement de la part des grands groupes envers les PME, dans une interview au journal La Croix.

"Des entreprises payent leurs factures et essaient de se montrer conciliantes tandis que d'autres sont en train de bloquer tous leurs paiements. Ce n'est pas possible, alors que l'État fait tout ce qu'il peut, en décalant les cotisations sociales, fiscales et en garantissant les crédits", a estimé M. Pelouzet, lançant "un cri d'alarme".

"Il ne faudrait pas que l'on arrive à une situation ou les TPE et les PME sont obligées d'aller demander un prêt parce que leurs clients ne les paient pas. Ce serait le monde à l'envers", a-t-il ajouté.

© 2020 AFP

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