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Les banques américaines veulent gâter leurs actionnaires malgré les pr

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michel1993 michel1993
07/04/2020 11:37:57
0

Je suis pour une refonte de certains mécanismes "toxiques" du système boursier


Mais le système en soi est cohérent, acheter une action et toucher des dividendes reviens peu ou prou à acheter de l'immobilier et toucher des loyers.


Et dans le cas où le business bats de l'aile, l'actionnaire ou le propriétaire boit le bouillon et son dividende/loyer, il l'a dans le derche.


Déjà qu'on a une société qui favorise trop les parasites...

Message complété le 07/04/2020 11:39:27 par son auteur.

Par mécanismes toxiques j'entends :

VAD, cotation a la seconde, système de Taxation inepte ( double précompte etc) que j'avais déjà évoqué

  
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ettircs ettircs
07/04/2020 11:24:07
0

L'actionnaire prend des risques lors de l'introduction en bourse (il finance un projet) par la suite j'appelle ça de la spéculation plus que de l'investissement, la bourse n a en fait malheureusement pas changé depuis ses débuts 🙄, la méthode est juste différente. Mais ce qui est normal c'est de reverser une partie aux actionnaires lorsque c'est possible et qu'elle ne mette pas en danger la bonne continuité des opérations...

  
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RaZ... RaZ...
07/04/2020 10:56:38
0

ben moi je pourrai pas vivre !

  
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Luncyan Luncyan
07/04/2020 10:46:49
0

C'est ce que je fais depuis 3 ans

  
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RaZ... RaZ...
07/04/2020 09:45:51
1

une entreprise c 'est

des salariés

des actionnaires

des salariés qui vont travailler et qui méritent leur salaire

des actionnaires qui prennent des risques avec leur argent et qui méritent d' en être récompensés

Iriez-vous travailler sans être rémunérés ???

  
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ettircs ettircs
06/04/2020 23:37:06
3

lucyan, en regardant le passé on s’aperçoit qu'il n'y pas grand changement, je t'invite à tout lire c'est d'actualité


https://www.lemonde.fr/economie/article/2012/08/15/la-dette-publique-une-vieille-histoire-les-montagnes-de-dettes-des-cites-italiennes_1745958_3234.html

  
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Luncyan Luncyan
06/04/2020 22:58:21
2

Je commence à me poser une question que j'osais même pas imaginer poser : les institutions vont elles tenir cette fois ?

  
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ettircs ettircs
06/04/2020 22:53:13
2

à voir si des titres ne sont pas adossés à leur cours de bourse? ça me parait étrange que les banques américaines ne se méfient pas plus... défaut de paiement sur prêt (entreprise ou privé avec 3 millions de personnes qui vont pointer au chômage), cela risque de se produire et un bon chef doit prendre en compte l'environnement dans lequel il évolue.

Je pense personnellement que ces banques comptent avant tout sur le plan de relance de 2000 milliards de dollars qui leur permettrait de se voir "récompenser" sans effort.

quitte ou double, l'amérique montre trop souvent son indifférence à l'égard du pauvre mais leur système est basé sur ces "pauvres" qui consomment, et s'ils ne peuvent plus? payer des dettes de santés? immo? consommation? le pays de la dette risque son défaut... à suivre

  
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Luncyan Luncyan
06/04/2020 21:41:53
3

Elles sont surtout super riche de nous avoir tous ruiné en 2008 :)

  
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michel1993 michel1993
06/04/2020 19:28:29
3

Hé bien J'investirai dans des banques US, vu que le communisme là bas ne frappe pas.




  
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sergiobress sergiobress
06/04/2020 19:14:32
3

C'est un joli pied de nez pour Macron ……………………..

  
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j.tavern j.tavern
06/04/2020 18:55:43
2


Maintien des dividendes banques USA ici: c'est honnête et loyal = confiance des actionnaires y compris institutionnels (Assurances, fonds, ...). Great!

  
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j.tavern j.tavern
06/04/2020 18:55:43
0


NEW YORK, NY - OCTOBER 02: JPMorgan Chase ne suspendrait son dividende qu'en cas de récession sévère de l'économie américaine selon son PDG Spencer Platt/Getty Images/AFP (GETTY IMAGES NORTH AMERICA/AFP/SPENCER PLATT)

En 2008, les grandes banques américaines avaient été sauvées de la faillite avec l'argent du contribuable d'une crise causée par leurs errements. Douze ans plus tard, requinquées, elles ne veulent pas rogner sur leurs dividendes en pleine pandémie malgré les pressions politiques.

Les établissements bancaires américains ont jusqu'à ce lundi pour indiquer à la Banque centrale américaine, la Fed, la façon dont elles entendent allouer leurs liquidités (CCAR).

Ils devraient annoncer, selon des sources bancaires, qu'ils envisagent de verser les dividendes, gage de bonne santé financière et moyen de séduction des investisseurs.

A Wall Street lundi, les cours boursiers des banques bondissaient pour cette raison: JPMorgan Chase de plus de 5%, Goldman Sachs de 6%, et Morgan Stanley de près de 8%.

"Notre dividende est logique", a déclaré mercredi sur la chaîne CNBC Michael Corbat, le directeur général de Citigroup, la quatrième banque américaine en terme d'actifs. "Nous allons continuer à le verser", avait-il ajouté, résumant un sentiment largement répandu au sein des banquiers de Wall Street, qui redoutent qu'une suspension des dividendes ne déprime davantage leurs actions déjà en forte baisse.

Cette position est impopulaire, notamment chez des élus démocrates, qui appellent les banques à aider les entreprises, en manque de trésorerie, à survivre à la pandémie de coronavirus.

D'autant que le tableau économique est désastreux: près de 10 millions d'Américains se sont inscrits au chômage lors des deux dernières semaines de mars, des milliers de restaurants, de commerces de proximité et des chaînes de magasins ont fermé, affectés par les mesures prises pour endiguer la propagation du Covid-19, maladie causée par le nouveau coronavirus.

En Europe, la banque centrale européenne (BCE), a incité les firmes de la zone euro à ne pas rémunérer leurs actionnaires pour les années 2019 et 2020.

La ligne de défense des banques américaines est que leur situation financière est beaucoup plus solide que celle de leurs rivales européennes et qu'elles ont des bilans assainis pour à la fois financer l'économie et continuer à choyer leurs actionnaires.

"Les banques américaines ont déprécié leurs actifs (toxiques) et en ont essuyé les pertes entre 2008 et 2012. Elles ont depuis reconstruit leurs capitaux et liquidités", estime Marty Mosby, analyste chez Vining Sparks.

Ce n'est pas le cas, selon lui, sur l'autre rive de l'Atlantique où les banques européennes "ont étalé leurs pertes dans le temps".

- Rachats d'actions suspendus -

Gregori Volokhine chez Meeschaert fait remarquer que le retour sur fonds propres (ROE) montre que pour chaque dollar dépensé par une firme européenne, elle n'a gagné que 0,50 dollar, contre un gain de 1,50 dollar pour un établissement américain.

Les banques américaines ont en plus accumulé de gros profits ces dernières années. En 2019, JPMorgan Chase, la première banque américaine en termes d'actifs, a réalisé à elle seule un bénéfice net de 36,4 milliards de dollars.

"Elles ont les moyens de payer les dividendes", avance Gregori Volokhine. "Ce n'est pas aux banques de renflouer les entreprises qui vont faire faillite. Si elles le faisaient, ce ne serait pas rendre service au système", prévient-il.

Dans sa lettre annuelle, publiée lundi, Jamie Dimon, le PDG de JPMorgan Chase, indique que l'établissement ne suspendrait son dividende qu'en cas de récession sévère, marquée par un bond du chômage à 14% en fin d'année.

A défaut de suspendre les dividendes, Richard Bove, expert chez Odeon Capital, estime qu'il est plus que probable que les grandes banques américaines les réduisent.

"Une hausse importante des pertes liées aux crédits va soulever des interrogations sur le niveau de leurs capitaux et les forcer à diminuer leurs dividendes", argumente M. Bove, qui fait valoir que le second semestre va être marqué par des défaillances de nombreux consommateurs sur leurs hypothèques, leurs crédits à la consommation et crédits auto entre autres.

Les banques ont néanmoins consenti à ne pas racheter, jusqu'en juin, leurs propres actions, l'autre moyen de rémunérer les actionnaires.

Les programmes de rachats d'actions ont représenté par le passé environ deux-tiers de l'argent reversé à leurs actionnaires.

L'an dernier, JPMorgan Chase, Bank of America Merrill Lynch, Wells Fargo, Citigroup, Goldman Sachs et Morgan Stanley, les six fleurons de Wall Street, avaient reçu le feu vert de la Fed pour verser des dividendes cumulés d'environ 35 milliards de dollars et racheter pour 110 milliards de leurs propres actions entre juillet 2019 et juillet 2020.

© 2020 AFP

  
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