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UE: réunion sous pression pour sauver l'économie face au virus

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phill65 phill65
09/04/2020 15:16:33
0

Moi j'affirme rien je constate:

Près de 30% des terres se trouvent sous l’altitude zéro pour les pays bas.

On peut toujours être septique sur l'évolution du climat et cracher sur la solidarité en cas de crise.

Apres c'est quoi le rang mondial des économies des pays respectifs: Pays Bas, France, Italie ?

  
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moicmoi moicmoi
09/04/2020 15:02:00
1

phill65
« « Juste une question qu'adviendra t il des pays bas avec la montée des eaux dans un avenir très proche? J espère juste pour eux que l'Europe si elle existe encore sera solidaire. » »

Juste une ou deux questions :

peux-tu affirmer que la montée des eaux est irréversible ?

Est-ce le fait du pur hasard si une bonne partie du pays-bas est construite malgré le fait qu’elle soit sous le niveau de la mer ?

Es-tu certain que l’on ne risque plus de connaître une période de petite ére glaciaire comme on en a connu à plusieurs reprises ?

Es-tu certain que la France ne perdra pas des surfaces de terre au profit de l’avancée des mers ? (érosion des côtes et remontée des mers)

  
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Luncyan Luncyan
09/04/2020 14:53:28
0

Optimiste moi ? C'est pas mon genre

  
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phill65 phill65
09/04/2020 14:52:06
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Ahahah....bien optimiste, Dépêches toi de compter tes euros

  
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phill65 phill65
09/04/2020 14:51:07
0

Ahahah....bien optimiste, Dépêches toi de compter tes euros

  
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Luncyan Luncyan
09/04/2020 14:49:06
0

D'ici là tu seras mort pour le voir

Message complété le 09/04/2020 14:49:13 par son auteur.

C'est pas demain la veille

  
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phill65 phill65
09/04/2020 14:48:18
0

Juste une question qu'adviendra t il des pays bas avec la montée des eaux dans un avenir très proche? J espère juste pour eux que l'Europe si elle existe encore sera solidaire.

  
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moicmoi moicmoi
09/04/2020 14:25:29
1

C’est bien ce que je prévoyais sur un autre post : une belle foire d’empoigne.

« Nous on a fait ci, nous on a fait ça, ….les autres il n’ont pas fait, et maintenant on nous demande de payer pour leur connerie ? C’est NIET ! »

Et BLM est en droit de se sentir merdeux, vu les retards , mensonges et non-sens de l’état français face au début de la pandémie. (et encore aujourd’hui).

La création d'un "fonds" pour relancer l'économie après l'épidémie ne pourrait se faire qu’en prélevant un impôt supplémentaire. La suppression des dividendes est un premier pas dans cette direction.

Il faut être conscient que , dans certains pays, (dont la France) des erreurs monumentales ont été commises ( suppression du stock stratégique de protections individuelles, , réduction des budgets des services de santé, de sécurité, etc.), et que l’on doit imputer ces manquements aux capitaines, pilotes , 1er de cordée...en exercice à chaque époque.

Donc , comme on le fait pour tout bon artisan et/ou commerçant ou patron de PME, responsables sur leurs biens personnels, (et saisie sur salaire à venir), il convient de faire payer tous ces capitaines, pilotes , 1er de cordée...de les rendre responsables de leurs erreurs de gestion.

  
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j.tavern j.tavern
09/04/2020 14:05:37
0


France, Italie, Espagne, ... Zone Euro Sud (ZES) le FMI est là pour vous prêter via ses DTS universels (équivalent monnaie or métal et pas papier PQ)

  
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BRUNO57 BRUNO57
09/04/2020 12:49:33
3

Il serait impensable de penser que les bons élèves de l'Europe cèdent à tous les caprices de ceux pour qui maîtriser les dépenses et mater le gaspillage sont loin de leur préoccupation ? Commencer par réduire le train de vie de l'état monsieur Le maire, supprimer toutes ses subventions et associations bidons, réduisez le mille feuille administratif région département commune etc etc et après cela peut être l on pourra obtenir des concessions des allemands et hollandais en particulier

  
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deckard6 deckard6
09/04/2020 12:36:34
2

...


  
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As du pif As du pif
09/04/2020 12:31:16
0


Le ministre français de l'Economie Bruno Le Maire s'entretient au téléphone avec Mario Centeno, le président de l'Eurogroupe, le 7 avril 2020 (AFP/Thomas SAMSON)

Après une première nuit de discussions tendues et infructueuses mardi, les ministres européens des Finances tenteront jeudi soir d'éviter un nouveau fiasco en s'entendant enfin sur une réponse économique commune face au coronavirus.

Un nouvel échec menacerait l'unité de la zone euro et renverrait la balle aux chefs d'Etat et de gouvernement, qui n'étaient eux-mêmes pas parvenus à s'entendre lors d'un sommet le 26 mars, mettant en évidence une fracture béante entre les pays du Nord et ceux du Sud.

"Un échec est impensable", a prévenu le Français Bruno Le Maire en amont de la visioconférence, programmée à 17H00 (15H00 GMT) et qui pourrait à nouveau durer une partie de la nuit si les positions des Etats membres, en particulier celle des Pays-Bas, n'évoluent pas.

Mercredi matin, après seize heures de discussions, La Haye avait été unanimement pointée du doigt pour son inflexibilité, entravant toute perspective d'accord.

Ce blocage est "contreproductif, incompréhensible et ne peut pas durer", a même condamné la présidence française.

Les Etats membres reprochent aux Pays-Bas de bloquer l'activation du Mécanisme européen de stabilité (MES), en refusant de céder aux demandes italiennes sur les prêts susceptibles d'être octroyés par ce fonds de secours de la zone euro aux Etats en difficulté.

- Demandes "excessives" -

Les ministres proposent que le MES, créé en 2012 lors de la crise de la dette et financé par les Etats membres, puisse prêter de l'argent aux Etats à concurrence de 2% de leur PIB, soit jusqu'à 240 milliards d'euros pour l'ensemble de la zone euro.

Mais l'Italie, pays européen le plus touché par l'épidémie (17.669 morts), exige que ces prêts soient obtenus sans contrepartie, contrairement à La Haye.

"L'utilisation de ce budget doit être assortie de certaines conditions", surtout "à long terme", a insisté mercredi le ministre néerlandais des Finances, Wopke Hoekstra, soutenu, selon une source européenne, par l'Autriche, la Suède ou le Danemark.

Selon une source proche des discussions, les Néerlandais ont formulé des demandes "excessives" mardi, allant jusqu'à réclamer certaines réformes en échange des prêts.

Face à l'impasse, le ministre italien de l'Economie, Roberto Gualtieri, a appelé à "la solidarité". "C'est le moment (...) des choix courageux et partagés", a-t-il plaidé dans un tweet.

Autre point de discorde entre Etats membres: la création d'un "fonds" pour relancer l'économie après l'épidémie.

Les pays les plus affectés par le virus, en particulier l'Italie, réclament qu'il puisse être financé par de la dette commune, sous la forme d'euro-obligations parfois appelées "coronabonds" ou "eurobonds".

Parmi ces pays figurent aussi l'Espagne et la France, ainsi que la Grèce, Malte, le Luxembourg ou l'Irlande, selon des sources concordantes.

- "Vital" -

Or la mutualisation des dettes constitue une ligne rouge pour Berlin et La Haye, qui refusent de s'inscrire dans une démarche commune avec les Etats très endettés du Sud, jugés laxistes dans leur gestion.

Une relance est possible "avec des instruments très classiques" et déjà existants "comme par exemple le budget de l'Union européenne", a déclaré l'Allemand, Olaf Scholz.

"Nous devons développer des instruments de politique budgétaire et créer la capacité de réagir", a en revanche plaidé le chef du gouvernement italien, Giuseppe Conte, dans un entretien à Bild, assurant que son pays ne demandait "pas à l'Allemagne et aux Pays-Bas de payer" ses dettes.

Les deux autres axes de réponse des Européens face au virus semblent plus consensuels: un fonds de garantie de la Banque européenne d'investissement (BEI) permettant de mobiliser jusqu'à 200 milliards d'euros pour les entreprises et une garantie de 100 milliards d'euros maximum de la Commission européenne pour soutenir les plans nationaux de chômage partiel.

Dans une tribune au Monde, la présidente de la Banque centrale européenne (BCE), Christine Lagarde, a mis la pression sur les Etats membres: "Il est vital que le volet budgétaire en réaction à cette crise soit suffisamment puissant dans l'ensemble de la zone euro."

"Si tous les pays ne se relèvent pas, les autres en pâtiront", a-t-elle insisté.

© 2020 AFP

  
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