Cours | Graphes | News | Analyses et conseils | Composition CAC 40 | Historiques | Forum |
Au bout d'un mois, la dette a augmenté de 210 Mrds.
Répondre
|
Beaucoup d'indépendants ne reçoivent pas les 1500 promis par ceux d'en haut.
Répondre
|
En Suisse, le sa'laire ( moyen élevé) est le même à peu près.
Idem chez nos cousins des îles en baie de St Malo, Jersey, Guernesey,...
Répondre
|
Par contre le salaire moyen est de 2000..
Chetchez l'erreur.!!
Répondre
|
Chaque actif en France rapporte environ 8000 € mensuels au pays.
Répondre
|
"s’inspirer de la notion de «revenu universel de base» afin de maintenir aussi bas que raisonnablement possible les nombres de personnes qui vivent ou vont vivre (chômage, accident de la vie, …) en dessous d’un seuil de pauvreté à définir avec bienveillance?"
Le revenu universel, je dis oui à une seule condition : qu'il soit financé par le travail des machines (taxées), et non pas par du travail humain.
Parceque si c'est pour que Jean l'infirmier, Paulette la libraire cotisent pour payer le revenu universel de Jacqueline et Mamadou sans revenus ...
Répondre
|
je cite: "Le dispositif du chômage partiel permet au salarié d'être indemnisé à hauteur de 70% du salaire brut et 84% du salaire net". Dont acte.
Pendant combien de mois cette aide de l'Eta en question ci-dessus pour les salariés concernés et pour les autres sans ronds ou indemnités jeunes et/ou ceux à la recherche d'emplois ou ruinés?
Répondre
|
?
Répondre
|
Vers la fin du XIXème siècle le remarquable économiste scientifique Vilfredo Pareto ...
Répondre
|
Vers la fin du XIXème siècle le remarquable économiste scientifique (c.à.d. économiste pas seulement littéraire avec blabla et baratin mais avec des prédictions à vérifier donc probabilisées donc tournées principalement vers le futur) suite à ses travaux statistiques sur la répartition des richesses* a publié implicitement l’idée d’un seuil de pauvreté qui serait à choisir ou à définir.
Ainsi, il posait déjà vers la fin des années 1800 la question ouverte (hélas tjrs jamais refermée complètement en 2020) d’un revenu universel (de base) comme remède à essayer contre la pauvreté qui n’a jamais été une fatalité mais plus une volonté politique même dans les crises éco-monétaires comme celle de 2008 et maintenant éco-sanitaire en vue avec le covid-19.
.
Conclusion. Avec la riche saison annoncée des pluies monétaires qui vont inonder et/ou irriguer le monde en milliers de Mds équivalents USD pourquoi pas dans :
l’UE = ZEN (pays Zone Europe du Nord) + ZES (pays Zone Europe du Sud)
s’inspirer de la notion de «revenu universel de base» afin de maintenir aussi bas que raisonnablement possible les nombres de personnes qui vivent ou vont vivre (chômage, accident de la vie, …) en dessous d’un seuil de pauvreté à définir avec bienveillance?
* la densité de probabilité des revenus (aléatoires) est environ inversement proportionnelle au carré du revenu considéré d’où par exemple la fixation du revenu médian (la moyenne des revenus de 0 à l’infini n’existe pas n’a aucun sens) et à partir des observations numériques un seuil à fixer ou disons le revenu correspondant à la probabilité (intégrale) des revenus supérieurs des 2% de plus riches dans un pays donné.
.
Répondre
|
Le recours au chômage partiel a été demandé par 700.000 entreprises et associations pour 8 millions de salariés, soit 3 millions de plus en une semaine, un nouveau record, a annoncé samedi la ministre du Travail Muriel Pénicaud, sur son compte Twitter.
"À ce jour, 8 millions de salariés et plus de 700.000 entreprises bénéficient du chômage partiel", a-t-elle tweeté.
Ce chiffre représente "plus d'un salarié du secteur privé sur trois", a ajouté la ministre.
En une semaine, trois millions de salariés supplémentaires sont entrés dans ce dispositif mis en place pour aider les entreprises affectées par la crise du coronavirus et le confinement.
Le dispositif du chômage partiel permet au salarié d'être indemnisé à hauteur de 70% du salaire brut et 84% du salaire net.
Son coût, partagé entre l’État et l'Unédic, l'organisme qui gère l'assurance chômage, "sera très important, de plus de 20 milliards d'euros", avait indiqué vendredi sur RMC et BFMTV Mme Pénicaud, estimant que c'était "un investissement qui valait la peine" car il évitait des licenciements massifs.
© 2020 AFP
Répondre
|