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CAC40: franchit 4550 grâce à W-Street qui croit à la reprise

Cours temps réel: 8 016,65  -0,93%



mika57 mika57
14/04/2020 18:16:50
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Message complété le 14/04/2020 18:19:18 par son auteur.

Ah oui j'avais oublié cette nouvelle norme ...
Article sur Investing.com de Béchade, sur la hausse et l'espoir de Wall Street actuellement


"Too big to fail : Wall Street veut croire au rebond rapide de l’économie US.
Comment justifier de payer ce portefeuille au même prix que début juin 2019 (2 790 pour le “S&P”, 24 000 pour le Dow Jones, 8 200 pour le Nasdaq), lorsque nous étions à 4% de croissance mondiale (la moitié en 2020, dans le meilleur des cas, et sans aucune visibilité sur les profits) ?"

Bonne question...

  
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Luncyan Luncyan
14/04/2020 17:43:42
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Les banquENT ? c'est un verbe ? :D

  
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TITI1958 TITI1958
14/04/2020 17:41:37
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Est-ce que ce sera la... chute finale?😇

  
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bourbern bourbern
14/04/2020 17:17:43
1

Attention aux pièges des financiers!
C'est évident qu'il y aura un lourd retour de bâton!
Comme pendant la crise de 2007/2008, les cours ne seraient-ils pas soutenus par des injections de liquidités, voire manipulés pour que les banquent aient le temps de se décharger de leurs titres sur les particuliers? D'ailleurs la presse spécialisée a confirmé l'ouverture de nombreux comptes-titres soi disant pour profiter des cours actuels prétendument avantageux.
On voit mal comment les résultats d'entreprises pourraient être, ne serait-ce que corrects, au premier trimestre 2020.

  
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Luncyan Luncyan
14/04/2020 17:00:18
0

Bien parlé Gabriel

  
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ange1610 ange1610
14/04/2020 16:55:22
0

Tout ce petit monde monte dans le vide la chute n'en sera que plus lourde.

  
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ange1610 ange1610
14/04/2020 16:55:22
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bourse Cac 40

(CercleFinance.com) - Quelle accélération ! Le Nasdaq s'envole de +3%, vers 8.445, effaçant la résistances des 8.340 du 26 juillet 2019 (dernière étape avant les plus hauts absolus de fin février vers 9.835).

Le S&P500 avec plus de 2,6% de hausse efface également plus de 50% de sa correction de février/mars... et cette bouffée d'euphorie proviendrait de la volonté exprimé par Trump en début d'après-midi de remettre en marche l'économie américaine dès à présent, en contradiction avec les recommandations de l'OMS et de ses conseillers sur les questions de santé public.
Abreuvé de liquidités par la FED, un Président qui remet l'Amérique au travail, Wall Street parie déjà que la récession est terminée, un avis largement diffusé par les stratèges de Goldman Sachs ou de JP-Morgan, bien plus prudents une semaine auparavant.
On renoue avec la spirale 'hausse des cours/optimisme/accélération de la hausse/encore plus d'optimisme/etc.'.

La Bourse de Paris avait bien entamé cette seconde semaine raccourcie (par le pont pascal), par un gain initial de +1% (vers 4.550) rapidement ramené à zéro en fin de matinée... mais la perspective d'un prochain 'déconfinement' en Europe du nord, Allemagne et Scandinavie en tête, et l'Espagne qui redémarre également incitent les opérateurs -encore dubitatifs ce matin- à suivre aveuglément la tendance impulsée par Wall Street.
Le CAC40 qui gagne 1,5% vers 4.575 (au plus haut depuis début mars) démontrer que les opérateurs font l'impasse sur le déconfinement bien plus tardif de la France): cela porte à +10% la hausse du CAC en 5 séance, après un gain hebdomadaire de 8,5% en 4 séances.

'A court terme, les résistances majeures à 4.520 et 4.550 points apparaissent comme une première zone butoir. Seul un mouvement supplémentaire de forte conviction permettra à l'indice CAC 40 de poursuivre son mouvement haussier', commentent les équipes de Kiplink ce matin.

La semaine s'annonce chargée en indicateurs économiques américains et ce mardi est aussi et surtout marqué par le coup d'envoi de la saison des trimestriels vient d'être donné ce midi par le laboratoire Johnson & Jonhson (+3,5%) qui bénéficie des effets (dévastateurs pour tant d'autres) de l'épidémie de Covid-19 sur son activité, avec une hausse du chiffre d'affaire et un bénéfice en hausse de 54%, soit 2,3$ de profit par titre contre 2,00$ anticipé. Johnson & Johnson annonce dans la foulée un relèvement de 6,3% de son dividende trimestriel, fixé ainsi à 1,01$ contre 0,95.

JPMorgan Chase (+2%) publie en revanche un bénéfice net en chute de 69% à 2,86Mds$ au titre des trois premiers mois de 2020, soit 78 cents par action, là où le consensus de marché anticipait un BPA trois fois plus important (environ 2,3$).

Les revenus se sont tassés de 3% à moins de 29,1 milliards, avec notamment une baisse de 5% des revenus hors intérêts, tandis que les provisions pour pertes de crédit ont bondi à près de 8,3 milliards de dollars, contre 1,5 milliard un an auparavant.

'Le groupe est entré dans la crise en position de force, et nous restons bien capitalisés et hautement liquides - avec un ratio CET1 de 11,5% et des ressources de liquidités totales de plus de 1.000 milliards de dollars', indique son PDG Jamie Dimon.
La hausse du titre JP-Morgan atteste d'une approche de type 'moins pire que prévu'.
Wells Fargo déçoit également et les investisseurs savent que c'est la banque américaine la plus exposé sur le secteur du crédit hypothécaire, loin devant JP-Morgan.

Côté 'stats', le Département du Travail annonce que les prix à l'importation aux États-Unis ont chuté de 2,3% en mars par rapport au mois précédent, là où les économistes attendaient en moyenne un recul de 3%, mais ont stagné en excluant les produits pétroliers.

De leur côté, les prix à l'exportation américains ont reculé de 1,6% le mois dernier en données brutes, à comparer à une baisse de 2% attendue en consensus de marché, et ont diminué de 1,5% hors produits agricoles.

Dans l'actualité des valeurs, Air Liquide se distingue avec près de +5% vers 123,9E, devant des leaders du luxe comme l'Oréal et Hermès avec +4,5%.
Renault (-0,8%) annonce sa nouvelle stratégie pour le marché chinois, fondée sur un recentrage de ses activités locales sur deux principaux piliers, à savoir les véhicules électriques (VE) et les véhicules utilitaires (VU). Le VU, porté par Renault Brilliance Jinbei Automotive, s'appuiera sur le patrimoine de Jinbei et le savoir-faire de Renault, tandis que le VE sera développé à travers les deux coentreprises eGT New Energy Automotive et Jiangxi Jiangling Group Electric Vehicle.

Dans un nouveau point de situation sur les conséquences de la crise sanitaire Covid-19, EDF annonce retirer l'ensemble de ses objectifs financiers pour 2020, y compris le seuil bas de la fourchette d'EBITDA de 17,5 milliards d'euros, ainsi que pour 2021.

Son concurrent Peugeot rechute en revanche de -4% ce mardi, aussi lourdement que Safran... alors qu'Airbus annonce ne pas avoir l'intention de recourir à une aide d'état.
C'est tout l'inverse pour Air France/KLM (-5,1%): des besoins de lignes de crédit à hauteur de 6MdsE avaient été évoqués, le groupe parle désormais d'un montant de 10MdsE d'aide d'urgence, aucun retour à une activité normale n'étant anticipée avant l'automne, voir 2021.
La solution d'un prêt bancaire garanti serait la piste privilégiée. La nationalisation serait la dernière solution évoquée

Le groupe LDLC annonce ce mardi avoir finalisé, le 10 avril, l'acquisition du fonds de commerce de Top Achat, après avoir obtenu l'accord de l'autorité de concurrence et avoir levé diverses conditions suspensives.


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