Coronavirus: le nouveau budget de crise voté à l'Assemblée, avant le S

Si Monsieur WOERTH a besoin d'argent, qu'il se serve chez les BETTANCOURT.

a qui profitera le crime de l'endettement forcé ?

Lorsque vous ne pourrez rembourser, qui s'appropriera vos biens, vos entreprises nationalisées ou pas(Aéroport de Toulouse, ADP, etc). Qui les rachetera à bon compte ou encore pour quels intérêts privés travaillerez-vous ? La FED, la BCE, Fonds peut-être... et d'autres
Esclaves, vous enrichirez des intérêts étrangers et anonymes.

Accepter de l'endettement sera double peine. Il vous faudra rembourser votre dette individuelle cumulée mais aussi collective car cet argent, ce n'est pas le gouvernement qui vous l'offre. Par contre, c'est le gouvernement qui contracte ces dettes en vos noms tandis qu'il vous empèche de travailler prétendant vous sauver !
Curieux remède schizo Dr MACRON !
De plus, vous ignorez la fin de l'échéance du virus qui pourraient être reconduits avec nos soumissions forcées ! Autant dire qu'un pari plus qu'incertain sur l'avenir est pris par nos "élites". Ou est la sagesse de ceux qui représentent le peuple que vous trahissez..sans remords !
à vos consciences

Message complété le 18/04/2020 20:24:22 par son auteur.

Changez de remède avant que la France ne soit pillée

@moicmoi je ne sais pas à quel endroit tu vois qu'en France on subventionne les jeunots. Peux-etre fait tu receference a quelque-chose que tu as reçu de la part de l'état à ton époque parce que quand je fais la réflexion autour de moi je ne vois rien ?

Pour le reste de ton discours je suis entièrement d'accord mais ça ne se fera pas car le monde n'est qu'une lutte entre élites et peuple et ce que tu demandes c'est au peuple d'aller le chercher. Sinon ce sera niet

@Moicmoi

Oui il peut le faire mais il n’a pas assez de c ouilles pour le faire, le jour où il y aura un chef d’état qui le fera et bien il aura tout compris, mais voilà............

Mais il ne faut pas désespérer, un jour peut-être............

Bonne journée amigo 🍻

Super !
J’espère que, dans ce nouveau budget, on va voir apparaître l’abandon par Bercy de 50 % de toute imposition, au titre de l’exercice 2020.

Ce qui ne serait que justice, puisque le Gvt , répondant aux ordres de la BCE (Bruxelles pour faire simple) propose (exige ? Moyennant un odieux chantage aux aides) de supprimer les revenus des actionnaires particuliers, (il est bien précisé « particuliers »), à la populace de faire des dons, (masques, etc.), aux régions de fermer leur gueule suite au hold-up de leurs propres masques achetés ailleurs....

Nos z’élites se réjouissent de l’abandon de certains patrons du CAC d’une bonne partie de leur salaire, mais sans annoncer que EUX aussi (Nos z’élites ) suivront l’exemple. Ce qu'ils se garderont bien de faire.

Les exigences de Bruxelles et du Gvt faites aux sociétés est une belle opportunité pour elles de moins distribuer.

Sur le même principe, macron a là une belle opportunité de tenir l’une de ses promesses de campagne : Diminuer fortement le nombre de z’élites. Il peut même pousser jusqu’à supprimer 75 % de parlementaires, 30 % de fonctionarus comunibilis, et mettre un coup de torchon , ou plutôt d’éponge Kigratte, dans la fonctionarus majoranis.

Avec, bien évidemment, la mise à niveau de leurs régimes spéciaux alignés sur le régime général en vigueur dans le privé.

Allez manu. En ce moment, tu PEUX le faire. Tu as tous les pouvoirs.

Message complété le 18/04/2020 13:49:15 par son auteur.

A rajouter :
la suppression de toute aide ultérieure aux jeunots à qui on a donné les outils pour s’en sortir.( santé, scolarité, diplôme, apprentissage d’un métier, etc.…)
ça ferait un sacré paquet d’économies.Que de milliards, que de milliards économisés.....

C'est à ça que ça ressemble quand parle un mec qui a rien compris ?

Le coût gigantesque, du Dr Macron, relatif au confinement/déconfinement (110 Mds d'Euros pour commencer en Avril 2020) devra être remboursé* à la BCE probablement via la TCSG

TCSG = Taxe sur le Confinement Social Généralisé


La TCSG (d'abord pour commencer de quelques %) s'appliquera sur tous les revenus: salaires, pensions, APL,dividendes, allocations, ...


Conclusion. Mr Macron n'oubliez aussi pas d'augmenter tous les salaires d'au moins 20% (rattrapage blocage austérité depuis 2009) en Mai 2020?

Merci pour tous les confinés enfermés 23h/24 les "riens comme vous les considérez" et les travailleurs essentiels obligés de bosser pour nous tous avec les salaires les plus faibles. Les gilets jaunes sans étiquettes n'oublieront pas je crois.




* La BCE prête quoi qu'il en coûte même en milliers de Mds d'Euros (c gratuit à 0,00% d'ntérêt) mais hélas ne donne pas ou n'efface pas encore les dettes de pays cigales ZES (Zone Euro du Sud) car les pays fourmis ZEN (Zone Euro Nord) ne veulent pas que la BCE fasse de donations c'est dommage.

L'hémicycle de l'Assemblée nationale, le 17 avril 2020 pour le vote du budget (POOL/AFP/THOMAS COEX)

Face au coronavirus et à "l'urgence économique", l'Assemblée nationale a voté dans la nuit de vendredi à samedi un nouveau budget aux dépenses considérablement alourdies, entre soutien aux entreprises, aide aux plus modestes et prime aux soignants.

Ce second projet de loi de finances rectificative, après celui adopté en mars, est attendu au Sénat mardi. Il tient compte du plan de 110 milliards d'euros annoncé par le gouvernement pour tenir bon.

Dans l'opposition, malgré des réserves, LR et le PS ont voté le texte, contrairement aux communistes et aux insoumis.

Qui paiera ces nouvelles dépenses ? La gauche et l'extrême droite ont d'ores et déjà lancé le débat en réclamant le rétablissement de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF) pour faire contribuer les plus riches, alors que le gouvernement refuse toute hausse d'impôts à ce stade.

- Les 20 milliards -

Autre pomme de discorde, les 20 milliards d'euros prévus pour recapitaliser des entreprises stratégiques en difficulté, notamment dans l'aéronautique et l'automobile. Les oppositions ont demandé des éclaircissements et des ONG environnementales dénoncent "un chèque aux grands pollueurs", sans conditions.

Le président de l'Assemblée nationale Richard Ferrand, lors des débats sur le vote du budget, le 17 avril 2020 à l'Assemblée nationale (POOL/AFP/THOMAS COEX)

"Ce ne sera pas un chèque en blanc", a rétorqué le ministre de l'Economie Bruno Le Maire dans l'hémicycle, conditionnant les montées au capital ou éventuelles nationalisations temporaires à "un effort de redressement et de compétitivité" ainsi qu'à "une politique environnementale ambitieuse".

Un amendement LREM a ainsi été voté dans la nuit pour que ces entreprises soient "exemplaires" en termes de responsabilité sociale et environnementale, "en particulier en matière de lutte contre le changement climatique".

Du "pipeau" selon la non inscrite et ancienne ministre de l'Ecologie Delphine Batho. Et du simple "greenwashing", considère le député ex-LREM et proche de Nicolas Hulot Matthieu Orphelin, auteur d'un amendement rejeté.

Face à une crise d'une ampleur inédite, ce nouveau budget repose sur de sombres prévisions macro-économiques avec un recul de 8% du PIB en 2020, un déficit public d'environ 9,1% du PIB et une dette à 115%.

La baisse de 8% du PIB est "un chiffre sévère" mais "pas définitif", a d'ailleurs prévenu Bruno Le Maire, pendant que son collègue des Comptes publics Gérald Darmanin relevait que "nous avons pris 20 points de dette en trois mois".

Le gouvernement a rajouté 2 milliards de dépenses vendredi soir en élargissant le dispositif de chômage partiel à certaines catégories, en finançant des masques non sanitaires, ou en soutenant les parcs animaliers en difficulté, ce qui fait passer le déficit prévu de 9 à 9,1% du PIB.

Ce nouveau budget porte notamment à quelque 24 milliards d'euros les crédits destinés au chômage partiel, dont un tiers pris en charge par l'Unedic. "Près de 9 millions de salariés aujourd'hui sont au chômage partiel", ce qui doit éviter des "licenciements de masse", a estimé M. Le Maire.

- "Sentiment d'injustice" -

Le texte hisse aussi à 7 milliards d'euros le fonds de solidarité en faveur des très petites entreprises et des indépendants.

Ce projet de loi comprend en outre une "avance remboursable" pour les PME qui n'obtiennent pas de prêt, ainsi qu'un fonds de soutien aux entreprises de taille intermédiaire d'un milliard d'euros.

Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire pendant les débats à l'Assemblée nationale pour le vote du budget, le 17 avril 2020 (POOL/AFP/THOMAS COEX)

A droite, Eric Woerth (LR) a réclamé des annulations de charges pour hôtels, restaurants ou commerces. M. Darmanin a indiqué étudier "une exonération de charges (patronales) à la reprise".

Enfin, ce texte de loi finance la prime exceptionnelle de 500 à 1.500 euros destinée aux soignants. Et intègre l'aide aux ménages les plus modestes (allocataires des minimas sociaux) de 150 euros, plus 100 euros par enfant, annoncée par l'exécutif mercredi.

Evaluée à 880 millions d'euros au total, cette aide est jugée insuffisante par la gauche. "Elle touche les familles en grande précarité mais il reste toute une catégorie de travailleurs pauvres" avec "un sentiment d'injustice, peut-être même de colère", selon Jean-Louis Bricout (PS).

En fin d'après-midi, les députés avaient par ailleurs adopté une baisse de la TVA, de 20 à 5,5%, sur les masques et le gel hydroalcoolique pour les rendre plus accessibles pendant cette crise.

© 2020 AFP