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Le coronavirus stoppe net la flambée des prêts immobiliers

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tradingi tradingi
24/04/2020 04:17:38
0

excellente nouvelle,le delire va peut etre se calmer

  
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b26crest b26crest
23/04/2020 23:14:55
0

en effet, c'est possible - mais rarement là, où il y a du travail bien payé et les prix s'en ressentent

  
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b26crest b26crest
23/04/2020 23:12:53
1

En une année on pourra acheter à moitié prix, qui veut vendre, le fera aussi à moitié de sa valeur d'aujourd'hui. Faut pas croire qu'en deux mois ça repart comme "avant"

  
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Luncyan Luncyan
23/04/2020 21:09:40
0

Effectivement dans ce cas pourquoi pas :)

  
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manuborelli manuborelli
23/04/2020 20:51:03
2

ben ouais j'habite en france.

un couple d'ouvrier de moins de 30 ans peut être largement propriètaire.

dis toi bien qu'il y a des gens qui achètent des ruines genre un toit et quatres murs et qui retapent le bordel a l'huile de coude.


  
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Luncyan Luncyan
23/04/2020 20:31:24
0

Ah ouais, c'est cohérent.

Enfin si on est en 1950 ou si on si on habite en Géorgie

Message complété le 23/04/2020 20:32:38 par son auteur.

J'ai pas l'âge moyen de mariage en France en revanche le taux de chômage de 25% pour les -30 ans je l'ai

Message complété le 23/04/2020 20:34:46 par son auteur.

Donc la probabilité d'avoir 2 personnes qui travaillent dans ces âges pour peu qu'ils en cherchent est autour des 50%

Message complété le 23/04/2020 20:35:41 par son auteur.

Donc il faut être en couple, marié, avoir un travail, et gagner plus de 1500€ net la vache ça devient un marché de niche ton histoire.
Tu vis en France ? Ouvres les yeux sur la réalité

  
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manuborelli manuborelli
23/04/2020 20:02:48
1

avant l'immobilier il y a le mobilier.

ben un mec qui commence a travailler a 22 ans qui se marie très vite avec une femme qui bosse aussi.a eux deux 1500€ x 2 = 3000€ crédit sur 25 ans. a 50 ans la barraque est payée.




Message complété le 23/04/2020 20:03:50 par son auteur.

tous les mecs qui ont fait des études courtes sur le marché de l'emploi a 20 ans

Message complété le 23/04/2020 20:08:22 par son auteur.

180k sur 25 ans a 2.5% 0.32 d'assurance 860 par mois

  
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Luncyan Luncyan
23/04/2020 19:19:21
0

Chouette. Mais qui possède de l'immobilier ?

L'étudiant ?

Message complété le 23/04/2020 19:19:34 par son auteur.

Le technicien de 25 ans ?

Message complété le 23/04/2020 19:22:11 par son auteur.

L'ouvrier de 30 ans ?

  
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manuborelli manuborelli
23/04/2020 19:10:05
1

ben c'est tant mieux, complètement aberrant le 10k du mètre carré pour avoir une chiotte de 30m2.

on va redescendre sur terre.

j'ai dit depuis un moment faudra du cash, va y avoir de bonne affaires.

mais il parait qu'il n'y aura pas d'inflation.


  
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j.tavern j.tavern
23/04/2020 18:51:24
0


"Le coronavirus stoppe net la flambée des prêts immobiliers
et à ce stade, nous anticipons une hausse de taux pour la sortie de crise"

Avec la baisse du pouvoir d'achat via celle des salaires dur dur les remboursements des crédits.

Conclusion: solution augmentations des salaires rattrapage du blocage austérité de 2009 soit +20%
à revendiquer dès que possible pour les salariés?

  
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j.tavern j.tavern
23/04/2020 18:51:24
0


Jusqu'à la crise causée par le coronavirus, rien ne semblait arrêter l'essor du crédit immobilier parmi les Français. Depuis, les prêts ont chuté et les acteurs s'interrogent: le marché reprendra-t-il aussi facilement et surtout, à des taux si avantageux? (AFP/Archives/PHILIPPE HUGUEN)

Jusqu'à la crise causée par le coronavirus, rien ne semblait arrêter l'essor du crédit immobilier parmi les Français. Depuis, les prêts ont chuté et les acteurs s'interrogent: le marché reprendra-t-il aussi facilement et surtout, à des taux si avantageux?

"Le début de l'année 2020 a été très bon jusqu'au 15 mars", a résumé jeudi dans une vidéo Jean-Marc Vilon, directeur général de l'organisme Crédit Logement, qui réunit les principales banques françaises.

"Et puis est arrivé le moment du confinement, et à partir de là évidemment l'activité a baissé de manière extrêmement importante", a-t-il poursuivi, à l'occasion d'un bilan mensuel qui fait référence, établi par Crédit Logement avec l'institut CSA.

Depuis la mi-mars, les Français sont contraints de rester chez eux et de nombreux commerces ont dû fermer, afin de lutter contre la propagation du coronavirus. Cette situation a logiquement plombé le marché immobilier, même s'il est encore trop tôt pour mesurer précisément l'ampleur de la chute des transactions.

Le marché des prêts en donne toutefois une idée. Selon l'observatoire, leur nombre a reculé de presque 14% en mars, par rapport à un an plus tôt. Comme le confinement n'a été instauré qu'au milieu du mois dernier et est prévu jusqu'au 11 mai, la chute va probablement s'accentuer.

Le coronavirus a donc fait ce qui semblait impossible depuis plusieurs années: bloquer un marché du crédit immobilier dont l'essor était tel qu'il commençait à inquiéter les autorités financières.

Celles-ci demandaient depuis plusieurs mois aux banques de durcir un peu leurs conditions, alors que les prêts atteignaient en France un montant total historique. Les ménages profitent de taux qui n'ont jamais été aussi bas à la suite de la politique de crédit facile menée par la Banque centrale européenne (BCE).

Les demandes des autorités ont, certes, eu des effets. Les banques ont prêté sur des durées un peu moins longues en moyenne - 229 mois en mars, soit légèrement plus que 19 ans - et surtout ont eu tendance à accroître la part d'emprunteurs jugés plus sûrs au détriment des ménages les plus jeunes et moins fortunés.

- "Nombreuses inconnues" -

Mais, pris dans son ensemble, le marché avait peu changé: les prêts restaient historiquement nombreux et, en moyenne, les taux ne remontaient pas.

Le coronavirus a-t-il vraiment changé la donne ou n'aura-t-il interrompu qu'un moment l'essor du marché ? C'est, pour le moment, impossible à dire et les acteurs évitent de s'y aventurer.

"On est face à une crise totalement inédite à la fois par son ampleur mais également par le type de crise", a souligné M. Vilon. "Elle a été choisie, finalement, par nos gouvernements. On a décidé d'arrêter l'économie".

"L'impact sur l'immobilier résidentiel, c'est bien sûr moins de transactions en particulier en 2020", a-t-il avancé. "C'est sans doute encore un impact en 2021 mais on peut avoir des effets qui restent limités".

Surtout, que feront les taux? Pour le moment, ils n'ont que très faiblement augmenté en mars - à 1,14% en moyenne -, mais ce chiffre mesure mal la réaction éventuelle des banques à la crise.

Les données d'avril en donneront une meilleure idée, le temps que soient adaptés les barèmes. Or, plusieurs courtiers ont déjà évoqué une tendance à la hausse, même s'ils la jugent limitée.

"A ce stade, nous anticipons une hausse de taux pour la sortie de crise, mais celle-ci dépendra notamment de la longueur du confinement qui déterminera la durée où le marché est resté à l'arrêt", a jugé dans un communiqué le courtier Meilleurtaux.

Mais "il convient d'être extrêmement prudent, car l'évolution dépend d'une équation dont nous ne maîtrisons pas les nombreuses inconnues", conclut-il.

© 2020 AFP

  
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