OK
Accueil > Communauté > Forum Général

La france covidée en liquidation...



Luncyan Luncyan
01/06/2020 18:27:37
0

Bonjour Gars d'Ain,


Et ben comme annoncé sur un autre fil moi j'ai perdu mon travail qui fournissait le secteur aéronautique.

Industrie plasturgie plus précisément.

Ma copine qui travaillait elle toujours en Roumanie a aussi perdu son emploi dans le secteur automobile

L'ensemble de mes amis en : période d'essai, fin de CDD, intérim, on perdu leur emploi

Même mon cousin (et je n'ai qu'un seul cousin) à vu son stage interrompu/annulé

J'ai même mon meilleur ami qui a sa licence de pilote A320 (100k€ la licence le coût total) qui fait actuellement de la manutention pour boucler les fins de mois car n'ayant pas de travail

Message complété le 01/06/2020 18:29:54 par son auteur.

J'ai donc hâte de voir les chiffres du chômage de mai et de juin où beaucoup se joue.
Et je pense que ce n'est que le début, on a commencé par les jeunes pour le moment mais peut être que ça va remonter chez les moins jeunes ensuite d'ici à octobre

Message complété le 01/06/2020 18:47:21 par son auteur.

D'ailleurs ma copine est aussi ingénieur, voila précision faite :p

  
Répondre
gars d'ain gars d'ain
15/05/2020 19:36:57
0


On achève bien les malades économiques :


On reste sans nouvelle de cette entreprise de mécanique générale de précision fondée en 1957... Une activité économique parfaitement utile au paysage industrielle français...


N°22 : L'entreprise Tobler, basé à Louvres (95 Val d'Oise).


Val-d’Oise : vers une liquidation de l’entreprise Tobler, 54 salariés menacés

Aucun repreneur ne s’est pour l’heure manifesté pour sauver cette société de Louvres.


Publié Le 15 mars 2020 à 17h41,

http://www.leparisien.fr/val-d-oise-95/louvres-vers-une-liquidation-de-l-entreprise-tobler-15-03-2020-8280438.php


Notons que :

Un répit de courte durée. L'entreprise Tobler, située à Louvres, placée en redressement judiciaire depuis octobre dernier ne sera tout à fait fixée sur son sort que le 19 mars.


La société spécialisée dans la mécanique générale de précision avait jusqu'au 4 mars dernier pour trouver un repreneur mais une prolongation de quinze jours supplémentaires lui a été accordée. Cependant faute d'offre sérieuse et financée, le tribunal administratif devrait vraisemblablement à cette date prononcer la liquidation judiciaire. L'entreprise, installée dans la commune depuis 1960, fermerait alors ses portes. Et ce, bien que le carnet de commandes ne soit pas vide.


Remarquons que :

"À noter que la petite société paye aussi la déroute du groupe Altifort, dont Tobler est la propriété depuis 2017 et qui a été liquidé en décembre dernier.

Car les craintes sont importantes pour les salariés, dont la moyenne d'âge est d'environ 50 ans. « Beaucoup ont fait toute leur carrière chez Tobler et on vit tous dans un rayon de 15 km », expliquait au Parisien Alain, employé dans l'entreprise depuis 1989.

  
Répondre
gars d'ain gars d'ain
15/05/2020 19:20:58
0

On achève bien les malades économiques :


N°22 : l'entreprise Nutrifish (valorisation des restes de poisson) à Cherbourg (50 Manche)


À Cherbourg, c’est la liquidation judiciaire pour Nutrifish


Lundi 11 mai 2020, le tribunal de commerce de Cherbourg a prononcé la liquidation judiciaire de l’entreprise Nutrifish. La crise du coronavirus a précipité la fin de l’entreprise qui valorise les restes de poisson. Cinq potentiels repreneurs s’étaient pourtant fait connaître.


https://www.ouest-france.fr/normandie/cherbourg-en-cotentin-50100/cherbourg-c-est-la-liquidation-judiciaire-pour-nutrifish-6834401


Notons que que : "Début mars, à Cherbourg (Manche), l’entreprise Nutrifish où travaillaient 33 personnes avait été placée en redressement judiciaire. L’entreprise spécialisée dans la transformation des restes de poisson en produits à forte valeur ajoutée (cosmétiques, compléments alimentaires) avait six mois pour trouver un repreneur.

Elle n’a finalement pas eu la trésorerie suffisante pour tenir ce délai et trouver une porte de sortie. Lundi 11 mai 2020, le tribunal de commerce de Cherbourg a prononcé sa liquidation judiciaire et par conséquent le licenciement de l’ensemble des 33 salariés de l’usine.


Et que :

"L’impact de la Covid-19

Les difficultés économiques sont apparues l’an dernier. " Les matières premières indispensables pour assurer la croissance et la pérennité de l’entreprise, se sont faites plus rares et sont devenues plus chères »," explique le patron. La crise du coronavirus a précipité la chute. " Nous avons eu une quinzaine de prises de contacts et cinq entreprises, françaises et internationales, de divers secteurs d’activité, avaient des beaux projets. Toutes ont reconnu la performance industrielle du site et notre savoir-faire. Malheureusement, la crise sanitaire a empêché toute visite du site, préalable à un achat, et perturbé les circuits décisionnaires des sociétés, empêchant que la vente aboutisse. On aurait eu six ou sept mois de plus, la donne aurait pu être différente " , regrette Georges Marco.


Une vente aux enchères devrait être organisée durant la deuxième quinzaine de juin. Reste à savoir ce que deviendra ce site industriel implanté au cœur d’un environnement littoral prisé, que la Ville souhaitait justement réaménager et mettre en valeur.



  
Répondre
gars d'ain gars d'ain
15/05/2020 19:11:11
0

On achève bien les malades économiques :


N°21 : le groupe Ymagis (appareils et technologie de cinéma)


YMAGIS annonce le refus de sa demande de PGE


Publié le 15/05/2020

https://www.capital.fr/entreprises-marches/ymagis-annonce-le-refus-de-sa-demande-de-pge-1370219

Notons que :


Le groupe Ymagis a annoncé que les établissements bancaires partenaires du groupe viennent de refuser de lui accorder des Prêts Garantis par l'État (PGE), dans les conditions définies par le gouvernement français pour financer les entreprises victimes de l'épidémie de SARS-Cov2. Ce refus intervient après plusieurs semaines de discussions sous l'égide du ministère de l'Économie.

spécialiste des technologies numériques pour l'industrie du cinéma note que la grande frilosité des établissements bancaires français contraste avec l'accueil positif rencontré par le groupe dans d'autres pays européens, où des banques locales n'ont pas hésité à venir appuyer les efforts de redressement des filiales concernées en leur attribuant des prêts soutenus par leurs États.

De fait, les fondamentaux du groupe restent inchangés : la salle de cinéma conserve le même attrait auprès du public et, plus largement, le besoin de films de qualité est plus fort que jamais. Lorsque le secteur aura redémarré, le rôle des entreprises du groupe Ymagis auprès de l'ensemble de la filière cinéma sera plus affirmé que jamais, grâce à ses technologies, ses savoir-faire, ses parts de marché, et grâce à la restructuration de sa dette réussie juste avant l'éclatement de la crise sanitaire. Mais ce rôle ne pourra se concrétiser si l'entreprise n'obtient pas rapidement les financements lui permettant de faire face aux conséquences de la crise sanitaire.

Ymagis ajoute qu'il a bien pris note des annonces faites par le Ministre de l'Économie et des Finances devant la Représentation Nationale le 17 avril dernier sur la volonté de l'État de se substituer aux banques qui refuseraient l'attribution de PGE, ainsi que de la volonté du gouvernement d'aider les industries culturelles, dont Ymagis fait partie. Le groupe, dont l'activité est directement liée à celle des salles de cinéma, est en effet touché de plein fouet par la fermeture de ces dernières qui a été décidée par l'État.


Ymagis précise qu'il en appelle de façon urgente au Gouvernement afin d'obtenir le financement qui lui est indispensable pour traverser la crise actuelle. Dans l'hypothèse où cet appel ne serait pas entendu, Ymagis n'aura d'autre alternative que de solliciter l'ouverture d'une procédure collective qui pourrait mettre fin à la pérennité du groupe, ce qui aurait de lourdes conséquences pour les 750 salariés du groupe.

  
Répondre
gars d'ain gars d'ain
12/05/2020 15:38:35
0

Un tableau de l'Etat du désordre économique actuel...

.

  
Répondre
gars d'ain gars d'ain
12/05/2020 15:22:29
0

Dans le sillage de la mise en liquidation de prestalis, on devrait potentiellement trouver un nombre de victimes collatérales importantes :

• Les fournisseurs : de nombreuses sociétés d'édition de presse magazine et journaux se sont vus confisqué par Pressatalis l'argent qui leur revenait de la diffusion, soit le prix de la presse facturé au N° à Presstalis. Ces éditeurs se retrouvent d'ailleurs sans solution pour acheminer leur production jusqu'à leur lectorat en kiosque et maison de la presse avec de plus la crise actuelle

• les Clients kiosquiers et maison de la presse dont la raison d'être et de pouvoir vendre de la presse : encore faudrait-il quelle arrive dans les rayons...


Depuis la mise en liquidation, une partie conséquente des rayon de ma librairie presse, n'est plus approvisionné alors que le droit à l'information reste inaliénable en principe même en tant de crise... diffuser moins de presse, c'est s'exposer à moins de critiques de la part de la presse écrite, chacun jugera...


Presstalis: l'avenir des quotidiens dans les kiosques en suspens


https://www.abcbourse.com/marches/presstalis-l-avenir-des-quotidiens-dans-les-kiosques-en-suspens_503495

L'avenir de la presse papier se jouera en partie vendredi devant le tribunal de commerce de Paris, qui dira s'il accepte l'offre des quotidiens nationaux pour sauver de la liquidation le principal distributeur de presse français, Presstalis, de nouveau étranglé par les dettes.


Le tribunal de commerce de Paris a indiqué mardi matin que son jugement était mis en délibéré à vendredi 15H, a indiqué Presstalis à l'AFP. Le distributeur s'était déclaré en cessation de paiement le 20 avril, plombé par des pertes colossales.


Ses actionnaires, les quotidiens et les magazines, se sont affrontés pendant plusieurs semaines autour de l'avenir du distributeur, sans trouver de compromis. La survie de Presstalis est essentielle pour certains éditeurs, le distributeur détenant les résultats de leurs ventes en kiosques sur plusieurs mois, tandis que d'autres préfèrent le voir sombrer pour passer à un autre système.

Emmenés par Louis Dreyfus, président de la Coopérative de distribution des quotidiens et du directoire du Monde, les quotidiens français proposent de reprendre 265 des 910 salariés que compte Presstalis, soit 120 des 209 postes du siège, et 150 des 193 postes de la plate-forme de Bobigny, qui gère la distribution des quotidiens, selon Le Monde. Mais pas les équipes de la filiale SAD, qui distribuent les journaux hors de Paris.

Les salariés de SAD ont lancé un coup de semonce mardi matin en bloquant des imprimeries, de Gallargues (Gard) à Nancy (Meurthe-et-Moselle), empêchant la distribution des journaux sur une large partie du territoire. "La lutte ne fait que commencer, on ne lâchera rien", a lancé le Syndicat du Livre-CGT sur Twitter.


Les quotidiens ont proposé leur plan lundi soir in extremis. Au cours d'un dernier week-end de négociations, deux des principaux groupes de magazines n'avaient pas validé une dernière proposition commune: Prisma (éditeur de Femme actuelle, Geo, Capital, Voici, Gala...) et Reworld (Closer, Auto Plus, Pleine Vie, Grazia...).

Ce projet soumis par le président de la coopérative des magazines Frédérick Cassegrain prévoyait la mise en place, à terme, d'une messagerie unique avec le concurrent de Presstalis, les MLP.


La direction de Presstalis soutient la proposition des quotidiens, qu'elle qualifie de "réaliste". Le Ciri (Comité interministériel de restructuration industrielle), qui encadrait les discussions, doit encore préciser dans quelle mesure il soutiendra le distributeur, qui traverse sa troisième crise majeure en moins de dix ans.

Les discussions doivent se poursuivre dans la semaine : la coopérative redimensionnée proposée par les quotidiens ne pourrait pas atteindre l'équilibre sans distribuer quelques magazines, le volume de quotidiens ayant fortement baissé en kiosques ces dernières années.


Le Figaro et Le Monde se vendaient à moins de 40.000 exemplaires papier chacun par jour en moyenne en 2019, sur plus de 600.000 exemplaires au total, numérique compris. Libération écoulait 13.000 exemplaires, L'Humanité moins de 5.000. Seuls le quotidien sportif L'Equipe et Le Parisien-Aujourd'hui en France se vendent encore beaucoup chez les marchands de journaux, outre la presse régionale.

Au cours des dernières années, les magazines ont, de leur côté, migré en masse vers les MLP (Messageries lyonnaises de presse). Plusieurs petits groupes, dont SoPress (Society) ou FGH (Le Un) ont également été autorisés par le régulateur du secteur, l'Arcep, à rejoindre leur concurrent dès ce mardi.


Pour le président des MLP, José Ferreira, "les éditeurs n'ont plus confiance en Presstalis". Les MLP, qui avaient été approchées pour reprendre Presstalis, n'ont finalement pas déposé d'offre.

Presstalis a appelé lundi soir tous les éditeurs "à participer activement aux discussions" des prochains jours pour "finaliser une offre enrichie et structurante pour la filière".

"Une partie" de la presse magazine pourrait accompagner l'offre des quotidiens, a assuré Frédérick Cassegrain, par ailleurs directeur des opérations de CMI France (Elle, Marianne...).


---------------------------------------------


Concernant les antécédents de Presstalis, lire ici dans la file les oeuvres économiques d'Anne-Marie-Couderc...

https://www.abcbourse.com/forums/msg632607_air-france-nouveau-defi-pour-anne-marie-couderc-apres-presstalis

  
Répondre
gars d'ain gars d'ain
06/05/2020 00:43:52
0

Un très bon tableau de synthèse qui annonce clairement la couleur au niveau des risques import // export pour le tissu économique français...


Les défaillances d'entreprises pourraient grimper de 25 % au niveau mondial

PUBLIÉ LE 7 avr. 2020

https://fr.fashionnetwork.com/news/Les-defaillances-d-entreprises-pourraient-grimper-de-25-au-niveau-mondial,1205297.html


Comparaison entre l'estimation des défaillances du début d'année, et de mars 2020, selon les pays. (Source : Coface )

.

  
Répondre
gars d'ain gars d'ain
06/05/2020 00:30:34
0

On achève bien les malades économiques :


N°20 : Europcar Mobility Group (coté en bourse)


Europcar au bord de la faillite

Publié le 8 avril 2020 par Alexandre Vuillet

L’Etat français orchestre un plan de sauvetage du loueur Europcar Mobility Group, déjà fragilisé avant la crise du coronavirus. Des négociations sont en cours avec plusieurs banques et Eurazeo, actionnaire de référence.


https://www.automobile-entreprise.com/Europcar-au-bord-de-la-faillite,9102


Notons que :

"Derrière un chiffre d’affaires en légère progression, les résultats financiers 2019 d’Europcar Mobility Group n’étaient pas immaculés, comme en témoignaient certains indicateurs : dette de 880 millions d’euros, résultat net dégradé de 35 % entre 2019 et 2018, taux d’utilisation de la flotte de 76 %. Caroline Parot, présidente directrice générale d’Europcar, avait d’ailleurs revu les prévisions 2020 à la baisse. La crise du coronavirus, qui rime à un arrêt total de l’activité pour les loueurs, aura fait le reste. Fin mars, Moody’s avait déjà dégradé la note d’Europcar et le 7 avril 2020, des mouvements d’échanges anormaux avaient été identifiés autour du titre. Dans la foulée, Le Monde révélait que qu’Europcar Mobility Group négociait, avec le soutien de l’Etat, un plan de sauvetage, afin d’éviter la liquidation.


....

12 000 emplois en jeu

« L’idée, c’est de traverser cette crise violente au mieux en se mettant en mesure de préserver l’intégrité de nos périmètres et l’emploi », a déclaré un porte-parole d’Europcar en attendant une communication officielle. Europcar opère dans plus de 140 pays avec une flotte de plus de 330 000 véhicules et compte plus de 12 000 employés.

Le 23 mars 2020, le groupe avait lancé un warning, voyant son activité stoppée sur tous les grands marchés mondiaux, et annoncé la mise en œuvre d’un « plan extraordinaire de réduction des coûts et de préservation des liquidités ». Cela n’aura pas suffi, car la structure financière du groupe était trop affaiblie, notamment ses périmètres de crédits.






  
Répondre
gars d'ain gars d'ain
06/05/2020 00:17:01
0

On achève bien les malades économiques :


Clap de fin pour la holding Bourbon Corporation cotée en bourse dont les actifs avait été repris en Janvier dernier par le consortium de banques qui détenaient l'importante dette du groupe. Le groupe était en proie depuis plusieurs années à une baisse de ses activités off shore liée à un contexte baisser et une baisse de rentabilité du pétrole brut...


N°20 : Holding Bourbon Corporation à Marseille (13 Bouches du Rhône)


La liquidation judiciaire de la holding Bourbon Corporation est prononcée

https://www.econostrum.info/La-liquidation-judiciaire-de-la-holding-Bourbon-Corporation-est-prononcee_a26730.html


Le Tribunal de commerce de Marseille a décidé, mercredi 29 avril 2020, de convertir le redressement judiciaire de la holding Bourbon Corporation en liquidation judiciaire. L'information est parvenue, jeudi 30 avril 2020 au soir par un communiqué publié sur le site de l'entreprise.


Ce jugement était attendu depuis le 20 janvier 2020 et le renvoi de l'examen du dossier. Le 10 janvier 2020, l'ensemble des actifs de Bourbon Corporation a été cédé à la Société phocéenne de participation (SPP), un pool réunissant les banques créancières. La SPP est le nouvel actionnaire de Bourbon Maritime et propriétaire des marques Bourbon.


L'action de l'entreprise a été suspendue de la cote depuis le 9 octobre 2019.


La liquidation judiciaire du groupe marseillais devrait s'étendre de six mois à deux ans.


  
Répondre
gars d'ain gars d'ain
06/05/2020 00:00:29
0

On achève bien les malades économiques :


Le complexe de thalassothérapie d'Hendaye qui était chapeauté par la la société holding SBLC de Serge Bianco, l'ancien arrière du XV de France dont cette dernière a du faire face à un passif de 11 330 171, 32 euros et a été placé en liquidation judiciaire, prononcée le 13 janvier 2020.

Et le complexe de thalassothérapie d'Hendaye doit éponger quant à lui ses pertes d'exploitation 2019 de l'ordre de 600 000 à 800 000 euros.

Placée en redressement judiciaire, la thalasso peut poursuivre son activité pendant une durée de 6 mois. Une période d'observation qui peut être prolongée deux fois. Les dettes sont alors figées et la période doit permettre à la thalasso de redresser la barre.


Encore une entreprise en très grand difficulté qui va probablement disparaitre prochainement : vu la situation actuelle, on voit mal commet les comptes pourrait virer au vert. Ce serait plutôt rouge vif ...

N°19 : Le complexe de thalassothérapie d'Hendaye (ex société holding SBLC de Serge Bianco).


http://www.leparisien.fr/sports/serge-blanco-liquidation-judiciaire-pour-la-holding-de-l-ex-international-de-rugby-23-01-2020-8242542.php

Notons encore que :

L'hôtel attenant au centre de thalassothérapie, Ibaia Iru, a également été placé en redressement judiciaire avec la même période d'observation de six mois. Le site de Sokoburru fait travailler 150 employés. Déjà en 2019, l'hôtel de luxe de Brindos à Anglet avait dû fermer ses portes après une procédure de liquidation de ce même tribunal. La vente de l'établissement pourrait, en partie, venir combler les dettes commerciales de Serge Blanco, engagé sur la liste d'opposition conduite par Florian Grill en vue des élections fédérales d'octobre 2020, dans la reconquête de la Fédération française de rugby.

  
Répondre
gars d'ain gars d'ain
05/05/2020 23:47:33
0

On achève bien les malades économiques :


N°18 : reprise de Dunlopillo par Finaform en sursis (78 Yvelines)


Yvelines : timing difficile pour la reprise de Dunlopillo par Finaform

Le tribunal de commerce de Paris a annoncé le 23 mars dernier confier l'avenir de la célèbre marque de matelas au groupe français Finaform. Une décision qui tombe en plein confinement.


Publié le 14 avr. 2020

https://www.lesechos.fr/pme-regions/ile-de-france/yvelines-timing-difficile-pour-la-reprise-de-dunlopillo-par-finaform-1194573

  
Répondre
gars d'ain gars d'ain
05/05/2020 23:39:55
0

On achève bien les malades économiques :


Cette belle entreprise Lyonnaise a été durement mise en difficulté suite à une attaque par un ransomware. Elle a été obligée de placer en redressement judiciaire "par protection" le 27 février dernier juste avant la crise sanitaire : ces... qui na pas du arranger les affaires ...


De ce fait, elle ne devait pas être éligible aux aides de l'Etat notamment concernant le chômage technique... QUEL TRISTE ENGRENAGE !...


N°17 : Lise Charmel (Lingerie) , basée à Lyon (69 Rhône)


Lingerie : comment Lise Charmel survit à sa violente cyberattaque

L'entreprise lyonnaise de lingerie a souhaité se mettre à l'abri d'établissements financiers opportunistes alors qu'elle se relance doucement après deux mois de paralysie. Le 8 novembre, l'entreprise a subi un cryptage de l'ensemble de ses données contre une demande de rançon. Elle a préféré se tourner vers la police et des spécialistes de la reconstruction de données.

https://www.lesechos.fr/pme-regions/auvergne-rhone-alpes/lingerie-comment-lise-charmel-survit-a-sa-violente-cyberattaque-1185775


A noter : extrait d'un autre article de presse ...

"On veut rester discrets mais notre parti pris a été de ne pas payer la rançon et de reconstruire", indique le dirigeant. "C'est pourquoi nous avons sollicité le tribunal de commerce". La mise en redressement judiciaire de toutes les entités françaises du groupe, le 27 février, est avant tout technique : "c'est pour nous mettre à l'abri, nous protéger de toute pression financière alors que nous voulons rattraper notre retard de production et de livraison, aller de l'avant et travailler dans la sérénité". "Tous nos partenaires, producteurs et clients, qui ont formé une super chaîne de solidarité, sont au courant et nous soutiennent", se félicite-t-il.

Car ces mois d'arrêt forcé, le temps de redéployer tous les systèmes, ont été difficiles avec "un manque à gagner encore à préciser mais qui se monte sans doute à plusieurs millions d'euros". Le groupe ne décèle par ailleurs "aucun impact" sur son activité du coronavirus. "On en est à ce stade sur le rattrapage de notre retard", relève M. Piquet.

Présent dans une quarantaine de pays en Europe et en Amérique du Nord, le groupe Lise Charmel a réalisé en 2018 un chiffre d'affaires cumulé de près de 60 millions d'euros. Son activité dépend à 50% de l'export avec cinq marques (Lise Charmel, Epure, Eprise, Antigel, Antinéa) et plusieurs dizaines de magasins à l'étranger.

  
Répondre
gars d'ain gars d'ain
05/05/2020 23:27:39
0

On achève bien les malades économiques :

Même dans les imprimantes 3D, la vie n'est pas rose...


N°16 : Dagoma, basée à Roubaix (59 NORD Pas de calais)


Dagoma en redressement judiciaire

Après une fin d’année 2019 placée sous une procédure de sauvegarde, le premier trimestre 2020 n’est pas beaucoup plus heureux pour Dagoma. L’entreprise du Nord de la France vient d’officialiser son redressement judiciaire, une action ayant pour objectif la transformation du capital de Dagoma.

12 mars 2020

https://www.lesimprimantes3d.fr/dagoma-redressement-judiciaire-20200312/


  
Répondre
gars d'ain gars d'ain
05/05/2020 23:06:22
0


On achève bien les malades économiques :


Le géant suédois des ponts roulants portuaires et des grues s'en va...


N°15 : L'usine Konecranes France , basée à Saint Vallier (71 Saône & Loire )


Saint-Vallier – Les salariés de Konecranes reçoivent un coup de massue

Ils s’attendaient à la perte d’une quarantaine d’emplois à Konecranes Saint-Vallier. La réalité est plus cruelle, ce sont 115 postes sur 142 qui doivent être supprimés.


19 février 2020

https://linformateurdebourgogne.com/saint-vallier-les-salaries-de-konecranes-recoivent-un-coup-de-massue/


Notons :

La nouvelle est une catastrophe pour l’emploi sur le Bassin minier. Il est donc prévu de supprimer 115 postes sur 142, d’en conserver 26 sur le site aux services après-vente et pièces de rechange.

Il y a une semaine, un sauvetage de Konecranes Saint-Vallier, un temps envisagé, a tourné au vinaigre. « Il était question de récupérer la fabrication de certains produits, notamment des chariots élévateurs mais il paraît que nous n’avons pas les compétences ni les structures adaptées et que le projet, deux ans pour le mettre en place, paraissait beaucoup trop long pour être rentable » précise Julien Knepper.

Déjà, fin 2019, Konecranes Saint-Vallier avait perdu la sous-traitance des grues mobiles Terex, seul le stacker est donc encore produit dans les ateliers à la Saule. Sauf que la prévision de 88 stackers en 2020 est bien trop faible pour garantir un salaire à l’ensemble du personnel. « Pour bien faire, il en faudrait entre 140 à 150 ».

Pour les syndicats, Konecranes ne veut qu’une seule plateforme pour les stackers, en Suède, le pays où se trouve le siège. « Là-bas, la production de ces engins est de l’ordre de 500 machines. En 2018, 605 stackers sont sortis de Suède », précise Oswaldo Pedicone.

Sauver les emplois, le mot d’ordre des syndicats

Ce matin a donc été annoncé la procédure de négociation avec mise en place d’une structure d’écoute, aide à la formation, départs volontaires. Tout doit être réglé dans les trois mois.

« Au quatrième trimestre 2020 est programmé l’arrêt de la production sur Saint-Vallier et le démentèlement du site au premier trimestre 2021 » annonce Alexandre Semet.

Autrement dit, les 26 emplois « sauvegardés » dans les 36 000 m2 couverts ont de quoi se faire se faire des cheveux blancs.


.

Message complété le 05/05/2020 23:07:22 par son auteur.

ERREUR DE MA PART : la boite est FINLANDAISE !...

  
Répondre
gars d'ain gars d'ain
05/05/2020 22:53:31
0


On achève bien les malades économiques :


N°14 : La manufacture Gerbe, basé à Saint Vallier (71 Saône & Loire )


La manufacture Gerbe placée en redressement judiciaire

Par Paul Vaskou - 13 avr. 2020

Et de trois en quelques mois. Après que l’avenir se soit assombri à Éolane, puis à Konecranes, c’est maintenant la manufacture Gerbe qui est à la peine. En effet, le tribunal de commerce de Chalon a prononcé le 2 avril le redressement judiciaire de la société spécialisée dans la confection de bas et collants. L’actionnaire majoritaire chinois, Chongqing Tianci Hot Spring, a choisi de se retirer du projet.


https://www.lejsl.com/edition-montceau-les-mines/2020/04/13/la-manufacture-gerbe-placee-en-redressement-judiciaire


Il faut un repreneur avant le 14 mai 2020

Actuellement, la cinquantaine de salariés du site est au chômage partiel du fait du confinement. Sauf que si aucun repreneur ne fait signe avant le 14 mai, date à laquelle le tribunal de commerce se réunira pour statuer du futur de l’entreprise, ils pourraient tous se retrouver sans emploi. Selon Jean-Claude Lagrange, maire de Sanvignes et proche du dossier, ce redressement judiciaire n’est pas lié au coronavirus. « Ça allait déjà mal avant. Mais je pense que ce serait une grosse perte si l’entreprise venait à disparaître. » Toutefois, l’édile tient à rester positif : « Ça reste une niche de luxe. Il y a un véritable savoir-faire du haut de gamme et de la force de travail. On espère que cela attirera un repreneur. »

  
Répondre
gars d'ain gars d'ain
05/05/2020 22:46:54
0

L'heure est grave :

Je note "Selon l'audit mené par le SDI le 20 avril dernier auprès de ses 25.000 adhérents directs, à défaut d'une action rapide et simple de l'exécutif, 400.000 TPE représentant 1,2 million de salariés seront en liquidation judiciaire au 30 mai."


Le gouvernement n'a visiblement que bien peu pris conscience l'ampleur du désastre économique qu'il a engendré volontairement par des décisions irresponsables...


LES ECHOS ...

Opinion | La France hypothèque son avenir si elle sacrifie ses TPE

Pour Marc Sanchez, secrétaire général du Syndicat des indépendants, l'aide du gouvernement aux très petites entreprises pour faire face à la crise est sous-dimensionnée. Il réclame l'abandon des charges patronales et fiscales. « Une question de compétitivité et de bon sens, de survie pour un nécessaire rebond », écrit-il.


Publié le 3 mai 2020

https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/opinion-la-france-hypotheque-son-avenir-si-elle-sacrifie-ses-tpe-1200021

  
Répondre
gars d'ain gars d'ain
05/05/2020 22:12:55
0

On achève bien les malades économiques :


Pas de chance pour ce sous-traitant de l'aviation notamment pour Airbus touché de plein fouet par la crise


N°14 : Aequs Aerospace Aubigny , basé à AUBIGNY-SUR-NÈRE (18 Cher)


Aequs Aerospace Aubigny placé en redressement judiciaire

Le tribunal de commerce de Bourges a placé, lundi, l’entreprise Aequs Aerospace Aubigny en redressement judiciaire.


Publié le 08/04/2020

https://www.leberry.fr/aubigny-sur-nere-18700/actualites/aequs-aerospace-aubigny-place-en-redressement-judiciaire_13774818/


Notons que :


L’entreprise, qui fabrique des pièces pour l’aéronautique (notamment pour Airbus) et a déposé le bilan auprès de la juridiction berruyère, dispose d’une période d’observation de six mois pour proposer un plan de continuation ou vendre. En cette période de crise sanitaire, le tribunal de commerce de Bourges devrait accorder au moins trois mois supplémentaires à la société pour présenter ce plan.


Ce redressement judiciaire serait notamment la conséquence de plusieurs événements ayant entraîné des retards dans les carnets de commande.

En 2016, l’entreprise Risoud Précision, qui appartenait au groupe SIRA, a été rachetée par l’Indien Aequs Aerospace. « Au moment de ce rachat, les conditions de reprise évoquées paraissaient intéressantes et viables aux niveaux social et financier », affirme Christophe Chambolle, délégué syndical CFDT, dans un communiqué, avant d’ajouter que « le groupe n’a pas tenu ses engagements » et d’évoquer « une mauvaise stratégie commerciale et financière. »


A la recherche d’un repreneur

En trois ans, Aequs Aerospace Aubigny a dû faire face à de nombreuses démissions, avant de recourir à un plan social à partir de 2019, selon le syndicaliste. Neuf salariés ont ainsi été licenciés. Neuf autres devaient suivre. À un administrateur judiciaire, maintenant, de décider de l’avenir de l’entreprise. En un an, le site est passé de 95 à 65 salariés, selon Christophe Chamboule.

Désormais, les salariés espèrent qu’un repreneur sera trouvé. Des visites ont déjà eu lieu, mais Christophe Chambolle ne se fait guère d’espoir : « Si on a un repreneur, ce serait un miracle qu’il reprenne tout le monde. »



  
Répondre
gars d'ain gars d'ain
05/05/2020 16:26:44
0

On achève bien les malades économiques :


N°13 : Jézéquel Tourisme, basé à Louargat (22 Côtes-d’Armor)


Louargat : Pour le patron de Jézéquel Tourisme « le plus dur reste à venir »

Jézéquel Tourisme, basé à Louargat (Côtes-d’Armor), a été placé en redressement judiciaire le 15 avril 2020. Cette procédure devrait permettre à l’entreprise d’amorcer l’après Covid-19. Sans toutefois éviter « la casse sociale ».

"J'ai 160 salariés au chômage partiel, 130 cars sur le carreau. En somme, j'ai 100% de mes activité à l'arrêt" résume Franck Jézéquel ...

https://www.ouest-france.fr/bretagne/louargat-22540/louargat-pour-le-patron-de-jezequel-tourisme-le-plus-dur-reste-venir-6821292

  
Répondre
gars d'ain gars d'ain
05/05/2020 14:55:45
0

On achève bien les malades économiques :



N°12 : VMP (Menuiserie PVC) à Moncoutant-sur-Sèvre (72)


Moncoutant-sur-Sèvre : la menuiserie VMP placée en redressement judiciaire

La société spécialisée dans les menuiseries PVC, alu et bois paie deux mauvaises années de trésorerie et une crise du Covid-19 qui a plombé son rachat.



Publié le 16/04/2020

https://www.lanouvellerepublique.fr/deux-sevres/moncoutant-sur-sevre-la-menuiserie-vmp-placee-en-redressement-judiciaire


Notons que : "

La hantise de Gérard Verger, PDG de la menuiserie VMP à Moncoutant-sur-Sèvre, vient de le rattraper à seulement trois mois de son départ en retraite, prévu le 5 juillet prochain.

Sa société qui emploie 80 salariés et une dizaine d’intérimaires, d’ordinaire, vient de déposer le bilan auprès du tribunal de commerce de Niort. « C’est le pire pour moi, je le vis comme un échec terrible », confie le patron de l’entreprise spécialisée dans les menuiseries PVC, alu et bois, créée en 1994, avec seulement cinq salariés au départ.

Le rachat était prévu le 31 mars…

Dès le deuxième semestre 2019, Gérard Verger avait décidé de transmettre sa société. Batistyl Habitat, basé à Maulévrier (Maine-et-Loire), s’était alors positionné et les premières négociations avaient démarré en décembre 2019. « Les dirigeants étaient présents dans la société et un accord de vente avait été trouvé. Celui-ci devait prendre effet au 31 mars et j’avais prévu de l’annoncer officiellement à tous mes collaborateurs, le 18 mars… »


Oui mais voilà, Gérard Verger était très loin d’imaginer l’ampleur de la crise sanitaire qui allait s’abattre sur tout le pays, amenant avec elle un confinement généralisé qui paralyse une grande partie de l’économie française. « La reprise a été mise en stand-by, j’ai donc demandé à ce que ma société soit placée en redressement judiciaire », lâche-t-il.

Visibilité quasi-nulle

« Nous payons également deux derniers exercices de trésorerie très mauvais. Nous avons de faibles prévisions de facturation puisque 75 % de notre activité se fait dans la rénovation de logements. Tout est à l’arrêt actuellement. Des impayés nous ont également été préjudiciables récemment. Nous ne sommes malheureusement pas les seuls à souffrir, certains de nos clients aussi », constate Gérard Verger.

Un plan de continuation a été décidé et les salariés sont revenus à leurs postes de travail, la semaine dernière. « La production a repris, les commandes sont là », affirme le PDG.

En raison de la pandémie de Covid-19, l’organisation du travail a été revue. « Nous ne travaillons plus que le matin, de 7 h à 13 h afin d’éviter que les salariés n’utilisent la salle de pause et le réfectoire. Ils se changent directement chez eux et prennent leurs pauses sur leur poste de travail », explique Gérard Verger.


Désormais, le sort de l’entreprise est entre les mains d’un administrateur judiciaire, chargé d’organiser un appel d’offres. Appel auquel pourra répondre la société Batistyl Habitat, si elle est toujours intéressée, ainsi que d’autres candidats éventuels à la reprise de VMP.

  
Répondre
gars d'ain gars d'ain
05/05/2020 00:06:40
1

On achève bien les malades économiques :


N°11 : Le groupe Novares (ex-Mecaplast)


Après André et Orchestra, la faillite retentissante de l'équipementier automobile Novares

Par Pierre-Henri de Menthon le 30.04.2020


EXCLUSIF- L'équipementier automobile Novares (ex-Mecaplast) a été placé en redressement judiciaire. L'Etat est actionnaire à hauteur de 20% de ce groupe qui emploie 10.000 salariés pour 1,3 milliard de chiffre d'affaires.


https://www.challenges.fr/entreprise/l-equipementier-novares-10-000-salaries-est-en-redressement-judicaire_707566


Le magazine économique Challenges a annoncé le placement en redressement judiciaire de l’entreprise Novares, le 30 avril. Cette société spécialisée dans la fabrication de pièces automobiles compte plus de 1 300 salariés en France, dont une centaine sur le site de production de Vire. Le patron du groupe Novares, Pierre Boulet, expliquait en mars être passé « en mode crise ».


C'est fort regrettable de voir d'aussi belles entreprises sans que l'état actionnaire se bouge le cul.


Novarès avait prévu de l'introduire en bourse en février 2028, mais avait du renoncer à cause de la dégradation importante de l'environnement boursier en février 2018.


Il est où le (M=S)'inistre de l'économie : sous son bureau ???

Message complété le 05/05/2020 00:14:53 par son auteur.

CORRECTION : lire " Novarès avait prévu de S'introduire en bourse en février 2018,..."

  
Répondre

Forum de discussion Général

202006011827 773022
logiciel chart 365 Suivez les marchés avec des outils de pros !

Chart365 par ABC Bourse, est une application pour suivre les marchés et vos valeurs favorites dans un environnement pensé pour vous.
Ma liste