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Comment lAllemagne et la France soutiennent leurs entreprises



simcour simcour
05/05/2020 13:11:20
0

@deckard6 Je n'ai pas compris le rapport entre le SARS-CoV-2 et la plaisanterie sur le salaire (Oh ! J'avais oublié il faut dire indemnité de fonction en langage politiquement correct) du Président de la République Fédéral d'Allemagne.


Es-tu en train d'insinuer que la Chancelière de la RFA aurait choper ce virus et qu'elle pourrait le refiler à Steinmeier qui est son amant selon ta blague politique ?

  
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deckard6 deckard6
27/04/2020 21:04:30
0

Simcour, concernant le salaire de Steini, 2 versions circulent, soit il serait payé au noir, soit il serait payé en nature.. par Angie.

Mais j'attends les résultats de l'essai randomisé en triple aveugle mené par le conseil scientifique avec administration d'un placebo pour me faire une idée.

  
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simcour simcour
27/04/2020 17:43:55
0

@deckard6 Le comparatif que tu as diffusé oublie de mentionner le président de la RFA.

Certes le rôle de "Frank-Walter Steinmeier" est plutôt honorifique même si c'est lui qui est officiellement le chef de l'État Allemand tandis que "Emmanuel Jean-Michel Frédéric Macron" président de la RF a un rôle réel et actif mais "Steinmeier" n'a pas eu sa place dans l'équation de ce comparatif.


La chancelière fédérale "Angela Dorothea Merkel née Kasner" a le rôle politique actif mais de jure elle n'est pas chef de l'État même si dans les faits c'est différent.

  
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deckard6 deckard6
27/04/2020 15:10:01
6

Un petit comparatif qui va bien :



Message complété le 27/04/2020 15:11:46 par son auteur.


https://www.buzzfeed.com/fr/thibautschepman/on-a-fact-checke-ce-tableau-sur-les-ministres-en-france-et

  
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MMManson MMManson
27/04/2020 14:38:50
3

Pour limiter à tout prix la multiplication des faillites d’entreprises que pourrait engendrer la crise du coronavirus, l’Allemagne et la France ont mis en place des aides d’urgence visant à soutenir la trésorerie et à assouplir le recours au chômage partiel. Des dispositifs de nature similaire, mais sans commune mesure quant à leur ampleur.

1 200 milliards d’euros, voilà le budget global que l’Allemagne a décidé de mettre sur la table pour sauver ses entreprises de la crise économique causée par la pandémie du coronavirus (Covid-19). <<C’est à peu près l’équivalent de ce qu’avait coûté la réunification entre la RDA et la RFA en 1989>> compare Fréderic Berner, directeur général de la Chambre de commerce et d’industrie France-Allemagne.

A côté, le plan de sauvetage de son voisin européen, la France, fait pâle figure. Les parlementaires ont, en effet, adopté, vendredi dernier, un nouveau projet de loi de finances rectificatif pour 2020 (PLFR 2020) – le second depuis le début de la crise –, portant de 45 milliards d’euros à 110 milliards d’euros, les capacités budgétaires de l’Etat pour aider les entreprises françaises à surmonter le cap du Covid-19. «Le plan de soutien de 1200 milliards d’euros mis en œuvre par l’Allemagne est certes spectaculaire mais il comprend principalement des garanties de prêts bancaires», souligne Alain Fabre, directeur associé au sein d’In Extenso Finance & Transmission. Dans cette logique, il faut donc ajouter au plan français les 300 milliards d’euros promis pour les prêts garantis d’Etat, ce qui porte le budget pour les mois de mars et d’avril à 410 milliards d’euros. Il n’empêche : même avec ce calcul, la France reste moins généreuse que l’Allemagne pour aider son économie.

Dans les deux pays, des aides à la trésorerie ont en effet été très rapidement mises en place pour soutenir les entreprises. D’abord, les rentrées fiscales ont été reportées. Outre-Rhin, des délais de paiement d’échéances fiscales et de charges sociales ont été autorisés, pouvant aller jusqu’à trois mois. «De plus, les paiements des acomptes de TVA ou d’impôts sur les sociétés (IS) peuvent être repoussés, voire annulés au cas par cas, indique Frédéric Berner. De même, les pénalités de retard de paiement sont supprimées.»

En France, les entreprises peuvent elles aussi demander un délai de paiement jusqu’à trois mois pour leurs cotisations salariales et patronales et leurs charges fiscales (Urssaf et impôts indirects). En revanche, contrairement à l’Allemagne, la possibilité d’une annulation pure et simple du paiement des charges sociales et fiscales au cas par cas n’est pas encore actée à Bercy. Autre différence entre les deux pays donnant un avantage à l’Allemagne : le paiement de la TVA reste dû en France.



  
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