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Il n'y a pas que le rendement qui compte. Sinon je t'invite à investir en Ouganda
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C'est normal si vous n'êtes pas un épargnant actionnaire de nos entreprise tel que Renault, EDF, Aire France etc..
qui contribue dans leur capital en action en espérant avoir revenue sous forme dividence avec un taux un peu plus de taux de livret A. Pour ne recevoir 0% et que la valeur d'action perd plus de 40% etc...
Résultat, les petits actionnaires salariés ou non vont retirer leur épargne et donc moins de capital moins d'emplois...
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Je me répète ce Gvt à creuser la tombe des morts du Covid mais a creusé aussi la notre...franchement il faut qu'ils dégagent tous, mais bon faut pas rêver...
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Je vois pas le lien désolé
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Cela sans compté sur les pertes des petits actionnaires, y compris les salariés actionnaires et les entreprises étrangères qui s'en vont etc...
Avec votre politique hostile aux petits épargnants porteurs des actions de nos industries françaises en interdisant la distribution de petits dividences, vous les mettez à genoux peu de temps, qui vont fermer des usines et supprimer les emplois.
Aujourd'hui, ce n'est que le frémis de l'explosion des chômages.
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Le ministre de l'Economie Bruno Le Maire a indiqué lundi que le dispositif de soutien au chômage partiel évoluerait de façon "raisonnable" le 1er juin.
"Il y aura une évolution des règles" de la prise en charge du chômage partiel par l'Etat, a déclaré M. Le Maire sur BFM TV-RMC.
"On sera à moins de 100% mais, ne vous inquiétez pas, on ne va pas passer à 50 ou 70%", a détaillé le ministre de l'Economie, qui fera des "propositions chiffrées" dans "les prochains jours" avec la ministre du Travail, Muriel Pénicaud.
"Ce sera raisonnable, ce sera progressif, ce sera annoncé le 1er juin", a souligné M. Le Maire.
"Les salariés eux ne perdront rien, c'est les employeurs qui vont devoir payer un peu plus", a-t-il précisé.
En revanche, pour les secteurs qui ne reprendront pas leur activité au 1er juin, "l'intégralité du chômage partiel sera maintenu", a également indiqué le ministre.
Le cumul des demandes d'autorisation de chômage partiel depuis le 1er mars a atteint 12,7 millions, tandis que 8,6 millions de salariés auraient effectivement bénéficié en avril du dispositif selon une estimation du ministère du Travail.
Le Medef s'oppose à la décision du gouvernement de réduire progressivement à partir de juin ce dispositif de soutien au chômage partiel qui a permis d'éviter une explosion du chômage en France, dont l'économie a été frappée de plein fouet par le coronavirus.
De son côté, la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) demande d'attendre septembre avant une réduction "sensible" de la prise en charge. Elle s'attend à ce qu'une telle mesure se traduise par des licenciements.
© 2020 AFP
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