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éh bé nous,
dans le frontonnais, on a transformé le pinard en gel hydroalcoolique ! Si vous en trouvé qui on un gout de framboise ,ou fruits des bois ou cassis en vous frottant les mains, vous savez maintenant d'ou ça vient ....
Message complété le 13/06/2020 23:08:37 par son auteur.
trouvez
Message complété le 13/06/2020 23:08:38 par son auteur.
trouvez
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c est bien pour le consommateur ils vont baisser les prix !
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fipuaa
« « et ils finissent à l'évier ou en marinade » »
Ben…..moi, ils finissent sur ma marinière. (En fin de dégustation, et après moultes hésitations, il faut préciser).
Ceci dit il m’est arrivé une fois d’acheter un carton (petit,…. trop petit…le carton) à un producteur local, sur le bord de la route, dans le Minervois.
EX CEL LENT !!!
Le hasard, ou le bol, comme on voudra. Mais……ça arrive.
Et comme cette époque, internet c’était « connaît pas ! », je n’ai pas pu en commander plus, une fois rentré chez moi.
Eternels regrets.
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@luncyan
je fais mieux que toi! J'ai trouvé dans une GS un "merlot du pays d'oc" à 2.35 excellent et il s'y trouve depuis 3 ans !
comme j’aime bien en essayer j'en essaye régulièrement entre 5 et 15 euros et ils finissent à l'évier ou en marinade
Message complété le 13/06/2020 19:27:58 par son auteur.
je fais les caves quand je vais dans le sud mais sans connaître de tuyaux faut se battre pour trouver sa vie!
pour le blanc je vais en Alsace vers chez moi et là c'est le contraire ! Boire du mauvais vin n'est pas si facile que cela hormis pinot blanc
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C'est exact, le merlot est à 13,5
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Les vins actuels titrent trop en degrés d’alcool (13,0 degrés voire + ça devient du Porto pas bon dommage pour nos vignerons)
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J'adore les vins (de table) de Gérard Bertrand
Message complété le 13/06/2020 18:55:29 par son auteur.
Le Merlot, bio mdr
Message complété le 13/06/2020 18:55:37 par son auteur.
Ça vaut rien genre 3,75€
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surtout qu'un vin à 15 euros qui est dégueulasse vendu à 3 euros n'est pas meilleurs !
ces alcoolos qui buvaient du picrate sont moins nombreux
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JAZZIR
« « Il est toujours possible de vendre le vin à petit prix au lieu de le faire distiller par milliers d'hectos pour quelques centimes, » »
Ils ne font pas ce qu’ils veulent. Ce secteur est très réglementé , et contrôlé par les douanes.
Autrement, on peut supposer que pour beaucoup d’entre eux, ils s’installeraient sur le bord des routes pour vendre en direct.
S’ils ne le font pas, c’est parce qu’il y a bien une raison. Raison qui s’appelle FISC !, NORMES, etc...
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Il est toujours possible de vendre le vin à petit prix au lieu de le faire distiller par milliers d'hectos pour quelques centimes, vive le jaja
le cric et le rouquin j'en suis preneur !
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cet article est volontairement incomplet pour traiter l'idée
aucun distinguo entre les seigneurs et les petites appellations donc franchement on ne sait pas de quoi on parle
Château Latour, Château Mouton Rothschild, Château Lafite Rothschild, Château Margaux, Château Haut-Brion, Petrus, Château Ausone, Château Cheval Blanc, ces vins là ont-il du mal à se vendre?
Trouvez un vin hors grands crus en dessous de 15/20 euros qui soit buvable devient compliqué donc faut aussi se poser les bonnes questions!
Les amateurs sont aussi plus éduqués qu'avant et vendre une appellation ne suffit plus surtout que dans le même temps les vignobles de la vallée du Rhône ou du sud ont bien évolués et concurrencent fortement le bordelais même si les terroirs restent différents
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"tout le plaisir est dans l'attente....il n'en sera que meilleur dans quelques décennies"
ah bon alors vive la poursuite du confinement du 17 Mars 2020 heureux comme des fous merci Macron pour les jours heureux passés confinés sous peine de 135E.
Pour moi plaisir = récompense avec modération & le must mourir de plaisir ...
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Ah! Quel plaisir de voir ces tonneaux (en chêne?) de vin en attente d'être tirés et bus good; par contre les cuves inox ça fait un peu poivrot, non?
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Dans le vignoble bordelais, le plus important de France, les stocks s'accumulent: jusqu'à 23 mois contre un an et demi d'habitude. Dans un contexte de crise qui n'en finit plus, exonération de charges, distillation, voire arrachage de vignes, tout est sur la table face à une situation "qui ne s'était pas vue depuis dix ans", selon la profession.
Jérôme Eymas, viticulteur des appellations blaye et côtes-de-bordeaux, a décidé de vendre une partie de ses vins en cuves, "les moins bonnes", pour la distillation, dit-il à l'AFP.
"C'est un moindre mal, c'est mieux que zéro et ça permet de faire de la place pour les vendanges dans deux mois et demi", ajoute le viticulteur.
Et c'est partout pareil car avec une production moyenne de 5 millions d'hectolitres par an, le plus gros vignoble français n'a vendu que 4 millions l'année dernière.
Ainsi dans l'Entre-deux-Mers, "pratiquement tous les viticulteurs vont distiller. Il y en a qui n'ont rien vendu cette année", affirme Bernard Douence des distilleries Douence.
Chez les distillateurs, "c'est un peu l'affolement. On a beaucoup de contrats qui arrivent, avec des volumes assez importants", ajoute-t-il.
La chute de la consommation durant le confinement, avec la fermeture des bars et restaurants pour cause de coronavirus, n'a fait qu'accentuer une situation déjà tendue depuis deux ans.
Les ventes en Chine, premier marché à l'export, s'effondrent, le marché britannique est en berne avec le Brexit, tout comme Hong Kong en crise politique depuis des mois.
A cela s'ajoute la baisse des exportations vers les États-Unis liée aux taxes imposées sur les vins non pétillants, victimes d'un contentieux UE-USA au sujet de l'aéronautique, et un marché français en désamour avec Bordeaux, en particulier la grande distribution qui ne fait plus recette (-9% en un an).
- Contraints de baisser les prix -
L’État a débloqué au niveau national des fonds pour la distillation, mais ils sont prévus pour deux millions d'hectolitres alors que la profession estime les besoins à trois millions.
Quant à l'aide au stockage et l’exonération de charges, également annoncées fin mai par le gouvernement, les modalités n'en sont pas connues.
Même le mot tabou d'arrachage a été prononcé, le président socialiste de la région Nouvelle-Aquitaine Alain Rousset confiant au journal Sud Ouest que l'idée était "sur la table".
Côté Etat, aucun budget ne permet pour l'instant de le financer.
En recherche de trésorerie, les viticulteurs bordelais se voient aussi contraints de baisser les prix pour payer leurs charges et ne trouvent pas toujours preneurs, même à 680 euros le tonneau.
"Le cours moyen du tonneau est à 950 euros. A 680 euros, ce n'est pas rentable, on appauvrit la viticulture", tempète le vice-président des négociants bordelais, Georges Hausalter, qui a "déjà connu ça avec la crise de 2008".
Pour lui, les mesures prises par le gouvernement sont conjoncturelles, sans plan de relance comme cela a été fait pour l'automobile ou l'aéronautique.
"Si on vide des cuves en distillation, c'est stupide de les remplir de nouveau dans trois mois sans plan de relance", dénonce-t-il.
© 2020 AFP
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