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Non j'ai pas de travail lol
Mais avec le même capital tu dures 2x plus longtemps
Message complété le 27/06/2020 12:11:53 par son auteur.
Je reviendrai en septembre :)
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Y a aussi du boulot en France , dans tous les pays y a des contraintes.
En France on a pas trop à se plaindre y a pire ailleurs et y a peut être mieux mais a l heure actuelle il y a plus de migrants vers la France que des français qui migrent vers l étranger.Apres à voir le niveau des arrivants et des expatriés.
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Oui, et alors ?
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Bonjour Luncyan , vous allez croiser des Roumains qui viennent travailler en France!
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J'bouge en Roumanie dès ce weekend perso !
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Cela dit ayant déjà été plus ou moins du coté "patron" de la barrière, je sais qu'il est quasiment impossible de licencié en cas de besoin, que le code du travail fait des milliers de pages, et que quand un employé touche 1000 euro net , le patron en paie 2300-2500 au total.
Je ne parle même pas des normes et réglementations débiles qui coutent inutilement de l'argent à l'entreprise. Les gardes de pharmacies font perdre beaucoup d'argent et l'état trouve cela parfaitement normal qu'on doivent assumer une mission de service public sur nos propres deniers.
A quand les boulangers qui doivent donner du pain gratuitement le dimanche ? Les propriétaires de biens résidentiels qui doivent acceuilir gratuitement des migrants ?
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Non, un vieux qui n'a plus aucune prise avec la jeunesse comme avec le réel d'ailleurs
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Un boomer est un jeune rassis, non ?
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Je viens de trouver un travail mais à l'étranger ( en UE malheureusement ). Littéralement c'est impossible de trouver du taff ici.
On me reverra pas en Europe de sitôt dès que j'aurai pu mettre les voiles.
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Ça parle des jeunes et je ne vois aucun commentaire de boomer ici coinci(condescen)dence ?
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L'emploi est le sujet numéro un de préoccupation des jeunes, un tiers d'entre eux se disant inquiets ou très inquiets pour leur avenir, selon une enquête réalisée auprès de 24.000 jeunes suivis par les missions locales en France et publiée vendredi.
Devant la crise sociale liée au coronavirus, l'exécutif prépare un plan pour l'emploi des jeunes afin d'essayer d'amortir le choc pour cette catégorie.
Parmi les jeunes de 16-25 ans interrogés, un tiers étaient en emploi avant le confinement, et 42,5% d'entre eux ont perdu leur emploi pendant le confinement.
Un tiers se dit confiant, un autre tiers inquiet face à l'avenir, un dernier tiers ni l'un ni l'autre.
Parmi les inquiets, trois quarts craignent de ne pas trouver d'emploi en raison de la crise. La question de l'emploi est en tête des préoccupations (77%), suivie de la "clarification du projet professionnel" (66,8%), et la reprise d'une formation (43,7%)
Pour ceux qui suivaient une formation (20,4%), elle s'est interrompue pour près de la moitié d'entre eux pendant le confinement.
Ce taux d'interruption "fait craindre une vague massive de décrochage de centaines de milliers de jeunes, qui pourraient à terme se retrouver sans diplôme ou qualification, et ainsi éprouver une double-peine au moment d'entrer dans le monde du travail", prévient Jean-Patrick Gille, président de l'Union nationale des missions locales (MNPL), cité dans un communiqué.
Interrogés sur la façon dont ils avaient vécu le confinement, un tiers des jeunes dit l'avoir mal ou très mal vécu, d'abord pour cause d'ennui (48,8%) puis en raison des difficultés à trouver un emploi (40,3%), devant l'isolement (36,6%).
Cette enquête en ligne initiée par les missions locales a été réalisée, avec l'aide de France Stratégie et du Cereq (centre d'études et de recherche sur les qualification), du 15 au 22 juin.
Créées au début des années 1980, les missions locales (436 en France) accueillent des jeunes de 16 à 25 ans pour les aider à trouver un emploi, mais pas seulement. Structures d'insertion, elles les aiguillent aussi sur le logement, la santé, afin de leur donner un coup de pouce. Chaque année, elles accompagnent 1,3 million de jeunes.
© 2020 AFP
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