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Les minots qui naissent actuellement, traiterons de veinards les gars qui à l'époque en 2020 avaient 30 ans, ou 40 ans qui selon eux auront été de veinards d'avoir bénéficié de l'équivalent de 750 milliards d'or pur, découverts en 2020 sous le sol de Bruxelles.
Ils demanderont des comptes pour n'avoir rien fait de cette manne.
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Tu les touche les milliards '
Message complété le 31/07/2020 15:47:22 par son auteur.
? :)
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des trous partout mais partout les milliards pleuvent du ciel alors où est le problème?
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Et le moustachu libidineux qui décide d une grève r’ septembre pour préserver les acquis sociaux et augmenter les salaires!!!!! Il faut l éradiquer !!!!!
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Et le moustachu libidineux qui décide d une grève r’ septembre pour préserver les acquis sociaux et augmenter les salaires!!!!! Il faut l éradiquer !!!!!
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Mon fera sans doute-10% sur l'année
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Et le licenciement du 3/4 de mes amis c'est dans ta tête aussi mdr
Message complété le 31/07/2020 14:26:46 par son auteur.
Vous le verrez pas avant septembre/octobre dans les chiffres
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covid: 680 000 morts population 8 milliards.Grippe espgnole 50 millions de morts population mondiale 1 milliard.
Le choc aurait du etre 400 plus fort que maintenant.
Non la récession c'est dans la tête.
Mais elle finira par etre réelle si chacun se replie sur soi.
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Et et certains croient encore que leurs acquis sociaux et leur retraite vont tenir encore 10 ans dans un tel contexte.
Tic tac tic tac
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Quel récession !!! celle issue de la politique désastreuse de Macron et de LREM !!! ou celle du covid qui a fait 45000 morts en France suite à une très mauvaise gestion de celle-ci avec plus de 80 jours de retard avant de prendre une décision ...pas de masques , les masques ne servent à rien , paroles de Macron , Edouard Philippe et de Véran et maintenant les masques sont obligatoires ... si ce n'est pas du fou-tache de gueules c'est quoi ou alors de l'incompétence doublé d'amateurisme de l'état à tous les niveaux ..La France est géré par des clowns malhonnêtes ça est une vérité .....
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Les statistiques trimestrielles de croissance du PIB sont sans valeur en 2020. Seule comptera la croissance annuelle du PIB 2020 qu'il faudra comparer à celles de 2019...et à celle de 2021 !!!
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La récession a accéléré avec le covid mais elle existait déjà avant.
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La France a connu au printemps le plus fort recul de son activité depuis au moins 1949, avec un plongeon du produit intérieur brut (PIB) de 13,8% au deuxième trimestre, a rapporté vendredi l'Insee.
Depuis qu'il mesure l'activité économique française de façon trimestrielle, jamais l'Institut national des statistiques n'avait enregistré pareil effondrement.
Il a aussi révisé sa mesure de l'activité au premier trimestre, qui a chuté de 5,9%, au lieu de 5,3% rapporté précédemment.
La chute du PIB au deuxième trimestre est toutefois moindre que ce qu'anticipaient la plupart des analystes et l'Insee lui-même, qui l'entrevoyait encore à 17% au mois de juin.
Mais "cette première estimation reste fragile et elle est susceptible d'être révisée, davantage qu'à l'accoutumée, dans les prochaines publications des comptes trimestriels", avertit dans son communiqué l'institut, qui ne publie pas de nouvelle prévision pour l'ensemble de l'année après celle d'une récession de 9% faite début juillet.
Dans le détail, la consommation des ménages, principale composante de la croissance, a reculé de 11%, la production de biens de biens et de services s'est affaissée de 14,2%, avec un plongeon encore de l'industrie manufacturière, de 16,8%.
Les investissements dégringolent de 17,8%, les exportations de 25,5%, tandis que les importations diminuent de 17,3% sur le trimestre.
Seul l'alimentaire résiste avec tout de même un léger recul de 0,5% et les services marchands limitent la casse avec une baisse de 6,2%.
Mais "s'agissant des services, les dépenses de services de transports (−45,8%) et d’hébergement-restauration (–56,9 %) s'effondrent, en lien avec les restrictions administratives mises en œuvre pour lutter contre la pandémie", rapporte encore l'Insee.
D'une manière générale, "l'évolution négative du PIB au premier semestre 2020 est liée à l’arrêt des activités +non essentielles+ dans le contexte du confinement mis en place entre mi-mars et début mai", explique l'institut.
"La levée progressive des restrictions conduit à une reprise graduelle de l'activité économique aux mois de mai puis de juin, après le point bas atteint en avril", poursuit-il.
La plus forte baisse trimestrielle du PIB avant la crise du coronavirus avait été enregistrée au deuxième trimestre 1968, affecté par la grève générale en mai, mais qui avait été suivi par un rebond de +8% à l'été.
- Signaux contrastés -
La remontée devrait cette fois être d'autant plus vigoureuse que la dégringolade fut abyssale: l'Insee a prévu +19% pour le troisième trimestre, Natixis +16% et la Banque de France +14%.
Plusieurs indicateurs publiés la semaine dernière confirment un rebond dynamique de l'économie française, comme le redressement de l'activité en juillet mesuré par le cabinet Markit ou le regain de confiance des chefs d'entreprise.
Mais le moral des ménages, qui avait commencé à se redresser en juin suite au déconfinement, a de nouveau fléchi en juillet, a rapporté mercredi l'Insee.
Et si la consommation a dans l'ensemble bien repris, le début des soldes a été "peu dynamique", selon la fédération Procos du commerce spécialisé.
En conséquence, la part des Français qui estime qu'il est opportun d'épargner augmente pour le troisième mois consécutif, alors que la mobilisation des 100 milliards d'euros d'épargne supplémentaires prévus cette année jouera un rôle décisif dans la reprise.
© 2020 AFP
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