Betterave et néonicotinoïdes: faute de solution "plus d'industrie sucr - Page 2

les plus grands ennemis de l'abeille et de l'homme sont les lobbies de l'agriculture intensive.

faites vous greffer un cerveau.....

OUI je suis apicuteur,et pour résider dans une région où les néonicotinoides ont été beaucoup utilisés sur colza....je peux affirmer qu'il s'agit de produits extremement dangereux pour les abeilles,mais pas que ....car ces produits font disparaitre tout une faune pollinisatrice constituée d'autres insectes......ces produits sont dangereux pour l'homme et pour la faune......ils doivent etre interdit......c'est indiscutable.......

voilà une ministre écolo qui vire sa cuti.....elle se met dans le camp des utilisateurs de néonicotinoides....des produits extremement dangereux qui tuent TOUS les insectes pollinisareurs (pas que les abeilles)et qui ont la particularité de durer plusieurs années lorsqu'ils sont incorporés au sol avec les graines enrobées( c'est le cas avec les betteraves).....Ces produits devraient tous etre interdits et il faudrait revenir à des produits spécifiques anti pucerons,pour résoudre le problème sur betterave (comme dans les années 90-2000).....sinon autant mettre un représentant de chez BAyer comme ministre de l'agriculture et de l'environnement.....

Êtes-vous apiculteur ? Le principal danger de l'abeille est surtout le varoa, le frelon asiatique et les apiculteurs amateurs qui laissent crever leurs abeilles en ne leur donnant pas assez de quoi vivre pour l'hiver...

Mes confrères en agriculture conventionnelle se sont lancés il y a quelques années dans la production de miel, il y a 0 agriculture biologique aux alentours et je peux vous dire qu'ils font un bon carton !

IL FAUT PAS CONFONDRE : ECOLOGIE ET PSEUDO ECOLO POLITICIEN.

L'abeille est en grand danger avec tous ces produits polluants et mortel, de plus la pollinisation des arbres fruitiers et autres sera en danger si les traitements des cultures persistes.

Tout d'abord, la betterave sucrière permet aussi de produire de l'éthanol et du gel hydroalcoolique en plus du sucre... Si nous agriculteurs, n'avons pas cette dérogation et bien je suggère dans ce cas d'interdire tout vaccins (covid-19 inclus s'il est amené à être produit) ainsi que d'interdire tous les antibiotiques à la vente car ils sont très irrespectueux de l'environnement et nous pourrons ainsi réduire la population mondiale, les gens décèderons prématurément. Pardon de l'analogie et de la brutalité de mes propos mais j'ai l'impression de discuter avec de plus en plus d'extremistes écologiques dénués de bon sens. Au fait, il faudra également faire fermer l'entreprise Airbus et interdire les vols commerciaux car c'est très très nocif pour la planète et craiment non vital (après tous, ce sont les bobos écolos qui l'utilisent le plus pour partir 3 jours en Week-End ?!).

Message complété le 12/08/2020 16:22:13 par son auteur.

J'oubliais de vous préciser : depuis que les semences de betteraves enrobées d'un insecticide sont interdit (depuis 2018), nous sommes obligés d'utiliser jusqu'à 3 voir 4 passage d'insecticides aérien (et de plus peu efficace) au lieu de 0... Cette mesure n'a fait qu'augmenter la quantité de produits phytosanitaires utilisés sur betterave...

Message complété le 12/08/2020 16:33:49 par son auteur.

Et l'usage des insecticides en France est très couteux, nous limitons leurs usages et les pulvérisations sont réalisées tôt le matin ou bien tard le soir pour justement ne pas perturber les abeilles.

Tout d'abord, la betterave sucrière permet aussi de produire de l'éthanol et du gel hydroalcoolique en plus du sucre... Si nous agriculteurs, n'avons pas cette dérogation et bien je suggère dans ce cas d'interdire tout vaccins (covid-19 inclus s'il est amené à être produit) ainsi que d'interdire tous les antibiotiques à la vente car ils sont très irrespectueux de l'environnement et nous pourrons ainsi réduire la population mondiale, les gens décèderons prématurément. Pardon de l'analogie et de la brutalité de mes propos mais j'ai l'impression de discuter avec de plus en plus d'extremistes écologiques dénués de bon sens. Au fait, il faudra également faire fermer l'entreprise Airbus et interdire les vols commerciaux car c'est très très nocif pour la planète et craiment non vital (après tous, ce sont les bobos écolos qui l'utilisent le plus pour partir 3 jours en Week-End ?!).

et quoi qui l'en adit enchtein sur la nabeille? eh! quoi quqil'ena dit?
Plus de nabeil hé c'est fouti !!

Le sucre est un des plus grands fléaux de santé publique. Premier responsable de l explosion de l obésité et du diabète. Plus addictif que l héroïne selon une étude. La drogue qui fait le plus de ravage. On peut voir le docu scientique ARTE " le ventre, notre 2eme cerveau".

les ecolos sont des fachos pire que les communistes

Le chantage gouvernemental et des pseudos écolos-bobo de la rem, plus de traitement et donc plus de betterave sucrière, ces gens la préfères les lobbies que préserver la nature et les abeilles qui sont, elles plus utiles qu'un rendement excessif du sucre, MAINTENANT QUE POMPILI EST AU POUVOIR ELLE RENIE CES CONVICTIONS ECOLOGISTES, en à t'elle vraiment.
La rem est un nid d’opportunistes; La preuve est une nouvelle fois faite.
Honte a eux!

Une feuille de betterave touchée par le virus de la jaunisse, le 4 août 2020 à Oye-Plage, dans le Pas-de-Calais (AFP/Archives/DENIS CHARLET)

Réautoriser un insecticide interdit pour préserver la betterave à sucre, menacée par le virus de la jaunisse, a été "une décision difficile à prendre", mais à défaut de solution d'ici six mois, "il n'y aura plus de filière sucrière en France", a averti mercredi la ministre de la Transition écologique Barbara Pompili.

"La loi n'est pas encore passée, je suis très attentive à toute proposition pour qu'on puisse éviter cela", a assuré la ministre devant la presse à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques), lors d'une visite dédiée au lancement d'une charte nationale pour les plages sans déchets plastiques.

"Malheureusement, aujourd'hui on ne peut pas, si on veut garder une filière sucrière en France, agir de manière durable en si peu de temps", a-t-elle souligné. "Des semis vont être faits dans six mois, si on n'a pas trouvé de solution, ils ne se feront pas et donc il n'y aura pas de betteraves et il n'y aura plus de filière sucrière en France".

Le gouvernement a annoncé jeudi qu'il vise une modification législative à l'automne pour autoriser les agriculteurs à utiliser dès 2021 et jusqu'en 2023 maximum, sous "conditions strictes", des semences de betteraves enrobées d'un insecticide interdit depuis 2018, afin de "pérenniser" la filière sucrière française, malgré l'opposition des apiculteurs et défenseurs de l'environnement.

Les néonicotinoïdes, insecticides "tueurs d'abeilles" (AFP/)

"Les solutions pour qu'on n'ait plus à utiliser de néonicotinoïdes commencent à apparaître, mais ce sont des solutions qui prennent du temps", selon Mme Pompili. Elle a dit "regretter amèrement" qu'"il n'y ait pas eu assez de mesures claires" pour appliquer la loi bioversité de 2016 interdisant les néonicotinoïdes, qui s'attaquent au système nerveux des insectes, dont les abeilles.

"Comme il n'y a pas eu assez de recherches, assez d'alternatives, aujourd'hui on est dans le mur", a-t-elle expliqué. "Moi je veux bien qu'on dise: +on ferme les sucreries de France, pourquoi pas+ ? Le choix qui a été fait, c'est de les garder ces sucreries. Pour qu'on ait des betteraves, il faut qu'on en plante".

La ministre de la Transition écologique Barbara Pompili à l'Assemblée nationale, le 28 juillet 2020 à Paris (AFP/Archives/STEPHANE DE SAKUTIN)

Elle a assuré que la décision de déroger à l'usage de certains insecticides est "très restrictive, on ne parle que des betteraves, si on a un hiver doux, on parle de limitation dans le temps, c'est à dire qu'on parle d'une fois, renouvelable deux fois, mais je peux vous dire que ce sera le plus difficilement possible". "Je ne veux pas que quiconque puisse croire que ce n'est pas dangereux", a-t-elle assuré.

Selon le ministère de l'Agriculture, il y avait urgence à agir sur la jaunisse de la betterave pour sauver le secteur qui en France, premier producteur de sucre européen, concerne 46.000 emplois.

© 2020 AFP