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Brexit: réunion d'urgence UE-GB pour clarifier les positions

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MMManson MMManson
10/09/2020 17:07:51
1

La Commission européenne a donné ce jeudi au Royaume-Uni jusqu’à la fin du mois pour retirer un projet de loi remettant en cause certains engagements sur le Brexit, qui a <<gravement porté atteinte à la confiance>> mutuelle, soulignant que l’UE <<n’hésiterait pas>> à utiliser des recours juridiques.

Cette déclaration fait suite à une réunion convoquée en urgence à Londres entre le ministre d’Etat britannique Michael Gove et le vice-président de la Commission européenne Maros Sefcovic, qui a <<appelé le gouvernement britannique à retirer ces mesures du projet de loi dans les plus brefs délais et, en tout état de cause, avant la fin du mois>>, selon le communiqué de l’exécutif européen.

  
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JCROIPLU JCROIPLU
10/09/2020 16:42:33
0

Suffit d'ajouter le Royaume -Uni au sein des accords entre l'UE et l'Australie où cela se passe très bien.

  
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Dubaisan Dubaisan
10/09/2020 16:29:31
0

Salut Fredfr91,

C'est vrai qu'entre Rolls Royce, BAE Systems, et quelques autres, ça peut faire très mal....

  
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jipes jipes
10/09/2020 15:49:16
1

Je constate que tu assumes pleinement tes sempiternelles inepties.

  
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Pedru Pedru
10/09/2020 15:39:31
0

Pourquoi voulez-vous que Bojo le Clown menteur respecte le droit international ?????

Il ne faut pas rêver !!!!!

Les Britanniques ont massivement voté pour lui, maintenant il faut assumer


  
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moicmoi moicmoi
10/09/2020 14:17:11
0

Dubaisan
« « J'espère simplement que nos entreprises françaises ayant des filiales en GB auront prises toutes les mesures pour ne pas se retrouver bloquées en cas de no deal.
Les ailes de nos Airbus, mais pas seulement les ailes, .. // ..des filiales ou des fournisseurs...
» »

Il ne faut pas confondre Entrepreneurs et ministres. (notez la majuscule et l’ absence de majuscule . Echelle de valeur de l’estime chez moi)

Les premiers réfléchissent et réagissent rapidement, alors que les seconds ne savent que faire du bla-bla, sans agir.

Les Entrepreneurs , tant d’un côté du Chanel que de l’autre, ne sont pas des cons. Ils ont envisagé toutes possibilités , et noué des accords selon les cas.

Les Entrepreneurs savent bien qu’on ne peut pas se couper les deux bras sans conséquences.

Des moyens de contourner les exigences de Bruxelles (Sociétés écran dans le brouillard londonien et d’ailleurs) sans leur dire ouvertement MERDE, ça existent.

fredfr91
« « Et que dire des moteurs uniquement RR pour l'A350 incompréhensible » »

Rien ne changera. Ce sera un peu plus cher, et encore….pas sûr.

Au pire, ça obligera safran à faire un peu plus d’efforts.
Idem pour beaucoup de sous-traitants.

  
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fredfr91 fredfr91
10/09/2020 13:12:18
0

Et que dire des moteurs uniquement RR pour l'A350 incompréhensible !

  
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Dubaisan Dubaisan
10/09/2020 12:36:14
0

J'espère simplement que nos entreprises françaises ayant des filiales en GB auront prises toutes les mesures pour ne pas se retrouver bloquées en cas de no deal.

Les ailes de nos Airbus, mais pas seulement les ailes, sont en effet fabriquées en GB qui pourrait en cas de no deal...couper les ailes.....de notre fleuron européen....qui pourra se reconvertir dans une activité plus terre à terre: les ...bus!

Message complété le 10/09/2020 12:53:45 par son auteur.

des filiales ou des fournisseurs...

  
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dgici71drac dgici71drac
10/09/2020 12:10:17
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Honte a cet état voyou.

  
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erikklem erikklem
10/09/2020 08:29:47
0

Johnson veut copier Trump ?!

  
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erikklem erikklem
10/09/2020 08:29:47
0


Le Premier ministre britannique Boris Johnson quitte sa résidence londonienne pour aller à la Chambre des Communes, le 9 septembre 2020 (AFP/Ben STANSALL)

Le vice-président de la Commission européenne Maros Sefcovic rencontre jeudi le ministre britannique Michael Gove pour une explication de gravure, dans le cadre de négociations post-Brexit bloquées par la volonté de Londres de revenir sur certains de ses engagements.

Il s'agit "d'obtenir des clarificatons du Royaume-Uni quant à l'application pleine et entière, et à la date prévue, de l'accord de retrait", a expliqué le porte-parole de l'exécutif européen Eric Mamer sur Twitter.

Tout en défendant sa manoeuvre, le gouvernement britannique pilote une huitième session de négociations avec l'UE qui s'est ouverte mardi, et doit durer jusqu'à jeudi.

Londres a défendu mercredi sa volonté de revenir sur certains engagements pris dans le cadre du Brexit, une violation assumée du droit international qui provoque la colère des Européens à un moment critique des négociations sur la future relation entre le Royaume-Uni et les 27.

Plus de sept mois après la sortie historique du Royaume-Uni de l'Union européenne, les deux parties sont censées s'accorder avant la fin de l'année sur les modalités de leur coopération, commerciale ou sécuritaire.

Dans ce contexte délicat, le gouvernement britannique a publié le projet de loi retouchant pour le "clarifier" le divorce officiellement prononcé en janvier dernier.

Concernant en particulier les dispositions douanières en Irlande du Nord, il est destiné à faciliter les échanges commerciaux au sein du Royaume-Uni après la fin de la période de transition post-Brexit qui s'achèvera fin décembre.

Mais en retoquant un traité international, ce texte "viole le droit international d'une manière très spécifique et limitée", de l'aveu même du ministre chargé de l'Irlande du Nord, Brandon Lewis.

Pour la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, une telle violation "saperait la confiance" entre les deux partenaires. L'Allemande s'est dite dans un tweet "très préoccupée" par les annonces britanniques, soulignant locution latine à l'appui que le respect des conventions représente le "fondement de relations futures prospères".

- "Etat voyou" -

La décision britannique a suscité une pluie de critiques, jusque dans le camp conservateur de Boris Johnson, y compris de la part d'anciens chefs du gouvernement, de Theresa May à John Major. Ce dernier estime que si le Royaume-Uni "perdait sa réputation d'honorer (ses) promesses", il perdrait "quelque chose qui n'a pas de prix et que nous ne retrouverons peut-être jamais".


Un manifestant anti Brexit devant la Chambre des Communes le 28 mars 2018 portant les deux drapeaux: le britannique et l'européen (AFP/Archives/Tolga AKMEN)

Devant les députés, Boris Johnson a défendu un texte qui vise à "garantir la fluidité et la sécurité" du marché intérieur britannique.

Le protocole nord-irlandais vise à garantir l'absence de frontière physique entre l'Irlande du Nord et la République d'Irlande, membre de l'UE, et à éviter la résurgence de tensions dans cette région, ensanglantée par trois décennies de "troubles" jusqu'à la signature de l'accord de paix du Vendredi saint en 1998.

Le retour de contrôles douaniers fait craindre un regain de tensions dans la province britannique.

Il s'agit de "protéger notre pays contre l'interprétation extrême ou irrationnelle du protocole, qui pourrait conduire à une frontière en mer d'Irlande d'une manière qui, à mon avis serait préjudiciable à l'intérêt de l'accord du Vendredi Saint et préjudiciable aux intérêts de la paix dans notre pays", a plaidé M. Johnson.

Le leader des indépendantistes écossais du SNP à la Chambre des communes, Ian Blackford, l'a accusé de créer un "état voyou".

- Crainte d'un "no deal" -

Le gouvernement allemand a dit "attendre" du Royaume-Uni la mise en oeuvre "complète" de l'accord sur le Brexit.

"Des engagements ont été pris, ils doivent être appliqués. Entre amis et alliés, nous devons tenir parole et respecter le droit", a renchéri le secrétaire d'Etat français chargé des affaires européennes Clément Beaune.


Les négociateurs britannique David Frost, à gauche, et européen, Michel Barnier, à Bruxelles le 21 août 2020 (POOL/AFP/YVES HERMAN)

Malgré sa sortie de l'UE, le Royaume-Uni reste régi par la réglementation européenne jusqu'à fin décembre, période de transition pendant laquelle les deux parties tentent de conclure un accord de libre-échange. Les discussions calent et font craindre un "no deal" destructeur pour l'économie.

La France se prépare "à tous les scénarios", selon le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal.

Avant le démarrage, le négociateur britannique David Frost avait appelé l'UE à "faire preuve de plus de réalisme sur le statut de pays indépendant" du Royaume-Uni.

Les négociations butent notamment sur la pêche et les conditions de concurrence équitable.

Le temps presse, Bruxelles voulant un accord d'ici à la fin octobre pour permettre une ratification dans les temps. Boris Johnson a averti de son côté que faute de compromis d'ici au sommet européen du 15 octobre, il se satisferait d'un "no deal".

© 2020 AFP

  
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