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Oui mais qui gagne et comment.
Le contribuable français perd son emploi + paye des impots pour ça.
La Pologne prend des impôts une toute petite part du rendement induit par l'investissement de ces subventions qui ne lui passe pas directement dans les mains.
Le "grand-capital" au sens marxiste du terme touche tout.
Le polonais, lui va avoir un travail certes .. mal payé, et tant qu'il reste chez lui à bosser pour pas cher et se tait c'est ok :)
Message complété le 19/10/2020 12:53:31 par son auteur.
De mon avis c'est un capitalisme de connivence. Le "grand-capital" n'a pas a toucher d'argent public d'où qu'il vienne
Message complété le 19/10/2020 12:53:52 par son auteur.
Et donc aucun contribuable n'a a financer un transfert public > privé
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Pas que, dans ce cas la Pologne gagne aussi avec des emplois, impôts et taxes ...
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Un exemple : le budget européen qui finance la construction d'usine en pologne pour délocaliser des usines de france. Cas classique d'un financement public-de-l'ouest au benefice du privé-de-...-l'ouest
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Je caricature , mais c'est ma vision "néophyte".
Je ne suis pas expert des échanges intra et extra communautaires...
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Pas vraiment.
Disons que l'argent public (l'europe) revient le plus souvent à concevoir des projets d'infrastructures qui bénéficient à des privés (entreprises étrangères).
Et c'est pour ça qu'ils arrivent pas à s'entendre. Dans tous ces pays car si on regarde l'output, ce qui sort de ces pays des exploitations des privés il est supérieur à l'input public de l'europe
Message complété le 19/10/2020 12:32:27 par son auteur.
Le problème c'est d'où vient l'argent. Le public européen a selon moi pas à financer pour le privé.
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Oui les ex Europe soviétique, ils veulent le communisme (ce qui est a toi, est à moi), et le capitalisme (ce qui est à moi, reste à moi)...
Le beurre (les subventions) et l'argent du beurre (on les défends avec nos armées de louest), et la crémière (ils achètent aux ricains, au cas ou...)
Avec des amis comme ça, pas besoin d'ennemis.
Message complété le 19/10/2020 12:24:06 par son auteur.
avec nos armées de l'Ouest
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Non c'est les pays comme la hongrie et la pologne qui posent problème
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Blocages administratifs elle doit penser à la France
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"Il est crucial" pour le relèvement de la zone euro que le plan de relance européen, doté de 750 milliards d'euros, "soit un succès" et l'objectif de verser l'argent début 2021 "doit absolument être tenu", a déclaré la présidente de la Banque centrale européenne Christine Lagarde, dans une interview parue lundi.
"S'il n'est pas ciblé, s'il se perd dans des dédales administratifs et n'irrigue pas l'économie réelle pour orienter nos pays vers le numérique et le vert, nous aurons raté une occasion historique de changer la donne", a-t-elle mis en garde dans un entretien au Monde paru lundi sur le site internet du quotidien français.
Les négociations sur ce plan exceptionnel, adopté en juillet par les Vingt-Sept pour aider les Etats membres à faire face aux conséquences économiques de la crise sanitaire, achoppent au Parlement européen sur la question de soumettre le versement de l'argent au respect de l'Etat de droit.
Interrogée sur le risque que ces 750 milliards d'euros soient distribués "trop tard", la présidente de la BCE a répondu: "l'objectif de la Commission est de pouvoir les verser début 2021 et il doit absolument être tenu".
"La balle est dans le camp des Etats, qui doivent présenter leurs plans de relance – certains sont déjà prêts –, et de la Commission, qui devra les passer au crible rapidement. Les responsables politiques devront aussi aller vite, notamment les parlements nationaux pour adopter les dispositifs", a-t-elle poursuivi.
"Il est crucial que ce plan exceptionnel, qui a levé d'importants tabous dans certains pays, soit un succès", a-t-elle insisté.
Vendredi, à l'issue du sommet des Vingt-Sept à Bruxelles, le président français Emmanuel Macron a appelé à un "esprit de compromis" au Parlement pour débloquer les négociations sur le budget européen, auquel est adossé le plan de relance.
Les eurodéputés exigent un mécanisme dissuasif pour conditionner les subventions européennes au respect de l'Etat de droit, auquel s'opposent la Pologne et la Hongrie, ce qui bloque tout le processus.
© 2020 AFP
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