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Chômage, dépression, suicide: les effets "dévastateurs" des confinemen

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manuborelli manuborelli
06/11/2020 19:59:48
0

Des chercheurs qui cherchent, on en trouve. Des chercheurs qui trouvent, on en cherche.

a part cette plaisanterie du général j’espère que ça va se débloquer pour vous tous.

c’est vrai c’est navrant.

l’avantage d’un bac +5/8 c’est qu’il peut faire cuisine maçon peintre boucher boulanger etc mais le contraire est impossible.

c’est loin la chine, faut du courage

Message complété le 06/11/2020 20:00:55 par son auteur.

avec bonus ou sans bonus?
c’est une plaisanterie aussi hahahahaha

  
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Luncyan Luncyan
06/11/2020 19:54:57
0

Effectivement c'est pas mal 2200€ net en chine.

Le salaire moyen est de 1000€ non ?

  
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marko73 marko73
06/11/2020 19:39:44
0

Autour de 2100-2200€ (net)

Après si je vais là-bas ce n’est pas forcément pour la paye (même si c’est confortable) il y a plein d’autres raisons :

- La Chine investit énormément dans la recherche

- Le réseau sur place est vraiment puissant

- Je reste dans une thématique qui me plait

Et surtout je commence à bien connaitre les collègues sur place (on parle depuis presque 1 ans de ce job) et on s’entend bien car on aime travailler sur cette thématique.


  
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Luncyan Luncyan
06/11/2020 19:03:17
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Ça paye comment ces emplois en chine ?

  
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j.tavern j.tavern
06/11/2020 18:53:51
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confinement brutal et/ou re confinement +- soft = utopies pays riches vraisemblablement (à démontrer certes à venir: comparaisons entre pays riches pour confiner et re confiner à l'infini et d'autres qui n'en n'ont pas ou plus les les moyens car pragmatiques ou trop pauvres qui doivent s'adapter au mieux aux contraintes évolutions biologiques irréversibles. Hélas rien ne sert de nier ou de crier)

  
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marko73 marko73
06/11/2020 18:50:57
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Boomer ou pas, lire que le confinement n’as pas d’impact sur le chômage est la connerie de la journée (concurrent d’oméga ?). C’est bien de savoir lire, encore mieux de savoir réfléchir. (covid + confinement_trop_soft = économie en péril, (pour le coup on devrait prendre exemple sur l'Asie pour la gestion de l'épidémie)).

Perso je pensais profiter des emplois dans la recherche pour découvrir certains pays. On verra si j’ai cette opportunité mais c’est mal parti.


  
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Luncyan Luncyan
06/11/2020 17:56:07
0

Bac +5 ingénieur Aéronautique. Je dis pas mieux mais bon on m'a refusé le RSA donc ça vaut son pesant d'or :p

Message complété le 06/11/2020 17:57:09 par son auteur.

Bel exemple de fuite de cerveau en tout cas ce marko, la preuve que on en a marre de ce pays :)

Message complété le 06/11/2020 18:21:42 par son auteur.

Je pense que TZ est ce genre de retraité de 67 ans boomer

  
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DVH DVH
06/11/2020 17:48:51
2

@TZ: vu les mesures incohérentes de ce gvt, on peut raisonnablement se demander si ce ne sont pas elles qui sont IMBÉCILES!... on ferme des lits et on réduit le personnel médical, puis on hurle en pleine séance parlementaire pour illustrer les ravages d'une (fausse) épidémie et entretenir la peur! Voyez-vs-mm: https://www.youtube.com/watch?v=nyh7M0lOaFs

  
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marko73 marko73
06/11/2020 15:44:12
1

@ TZ PEUCH je pense qu’il ne faut pas foutre tout le monde dans le même panier…

Personnellement je suis un cas particulier mais la (non)gestion de cette crise va me couter mon futur emploi… perdre un emploi qu’on n’a pas occupé c’est marrant !

J’ai décroché une bourse pour bosser dans un labo en Chine, j’attendais d'obtenir une lettre d’invitation pour faire ma demande de VISA. Manque de bol, la chine vient de suspendre l’arrivée des français en Chine en raison de l’évolution du nombre de cas de COVID (Angleterre et Belgique sont aussi concernés à priori).

=> Si rien n’est fait rapidement (ce qui sera le cas) je risque tout simplement de perdre cette bourse.

=> Je ne peux plus toucher le chômage car mes droits sont épuisés

=> BAC+8 au RSA, qui dit mieux ?

Signé « un feignant »

  
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philiberts philiberts
06/11/2020 15:16:37
0

Y sont forts les Français 35 h en une journée, chapeau !

Message complété le 06/11/2020 15:17:51 par son auteur.

une caricature de Plantu me semble t il

  
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j.tavern j.tavern
06/11/2020 14:45:43
1

Source www.worldometers.info/coronavirus/country/

Dans des pays au printemps 2020, qui n'ont pas ou peu confiné leur population suite au covid 19 (Ex Suède, Pérou, USA, Inde, ....): eh bien on n'observe pas d'accélération des nombres de décès depuis Octobre 2020 comme en Suisse, France, ... Bizarre non?

  
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michel1993 michel1993
06/11/2020 13:41:25
1

Tellement que les français sont des glandeurs que les diplômés se cassent pour chercher du taff a l'étranger, dont moi et Luncyan entre autre sur ce topic. Chercher l'erreur.

OU alors c'est peut être que c'est la France le problème, pas nous ?


Qui sais, qui sais


...

  
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Luncyan Luncyan
06/11/2020 12:55:20
0

Ben c'est surtout que ici c'est remboursé pour un oui pour un bon

Message complété le 06/11/2020 12:55:25 par son auteur.

Non*

Message complété le 06/11/2020 13:28:35 par son auteur.

On a plus de pharmacie et d'opticien en france que de boulangerie

  
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syjo syjo
06/11/2020 12:47:06
0
Luncyan Luncyan
06/11/2020 12:41:19
0

Vous faites quoi dans la vie TZ ?

  
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TZ PEUCH TZ PEUCH
06/11/2020 12:33:56
1

pour les Francais , des qu on prononce le mot TRAVAIL , ca crée des catastrophes tellement on est devenu un peuple de GLANDEURS depuis les 35 heures . Le confinement n a rien a voir avec ces comportements IMBECILES !!!!

  
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TZ PEUCH TZ PEUCH
06/11/2020 12:33:56
0


Des salariés apparaissent aux fenêtres d'un immeuble de bureaux à La Défense (Hauts-de-Seine) le 2 novembre 2020 (AFP/Archives/ALAIN JOCARD)

Perte d'emploi, maladies, suicides...: l'impact des confinements décidés en raison de la crise sanitaire sur le monde de travail risque d'être "dévastateur" en terme de santé globale et de fracture sociale, alertent des acteurs de la santé au travail interrogés par l'AFP.

"Tous les voyants sont au rouge. Les gens sont sortis du premier confinement épuisés, avec une pression réelle de beaucoup d'entreprises et parfois des travailleurs eux-mêmes pour mettre les bouchées doubles. Beaucoup n'ont plus de ressources pour vivre un deuxième confinement", estime Xavier Alas Luquetas, psychothérapeute et cofondateur du cabinet Eléas, spécialisé dans la prévention des risques psychosociaux.

"Quand on pense aux licenciements massifs prévisibles, au nombre de ceux qui vont mettre la clé sous la porte, on peut s'attendre à des conséquences sanitaires et sociales très importantes. Une partie de la population va être totalement déclassée et mise de côté. Les effets induits auront des conséquences très lourdes sur la santé psychique et physique des gens", ajoute-t-il.

L'Insee prévoyait 730.000 destructions d'emplois sur l'année, avant même le deuxième confinement. Le premier (du 17 mars au 11 mai) a entraîné l'appauvrissement d'un quart des ménages.

La France comptait 9,3 millions de pauvres en 2018 et ils pourraient être un million supplémentaire du fait de la crise, ont avancé certaines associations.

Pour Jean-Claude Delgènes, économiste et directeur général du cabinet de prévention des risques professionnels Technologia, "on a anesthésié la douleur sous forme d'aides et de prêts garantis par l'État mais elle demeure".

- Isolement et hyperstress -

"Ca génère une très grande anxiété, un sentiment d'impuissance et de fatalité qui peuvent conduire à une spirale connue: ruine, divorce, dépression, suicide", ajoute M. Delgènes, s'attendant à de "nombreux dépôts de bilan".

Avec son réseau de "sentinelles" (juges, mandataires judiciaires, experts-comptables, avocats...) en lien avec 1.200 psychologues apportant leur soutien aux chefs d'entreprises en détresse, l'association Apesa, créée en 2013 à l'initiative du tribunal de commerce de Saintes (Charente-Maritime), fait état d'une "hausse de 40% des prises en charge (730)" entre janvier et octobre, comparé à la même période de l'année précédente.

"La ruine financière et morale des chefs d'entreprise a toujours existé mais là, on est confronté à une crise majeure", dit son co-fondateur Marc Binnié.


Une personne passe au bas d'un immeuble de bureaux à La Défense (Hauts-de-Seine) le 7 octobre 2020 (AFP/Archives/Christophe ARCHAMBAULT)

Côté salariés, "l'isolement" lié au télétravail et au chômage partiel, est "l'ennemi majeur", estiment MM. Delgènes et Alas Luquetas.

Isolement, insécurité, usure, hyperstress: Marie Pezé, docteur en psychologie responsable du réseau national de consultations de souffrance au travail, constate "une dégradation générale de la santé" de ses patients avec des tableaux cliniques allant "d'une très grande fatigue à des décompensations psychiatriques en mode délirant".

Elle dénonce "la violence policée des plans sociaux" et "celle désinhibée de certaines organisations de travail" contre des salariés "contraints de travailler bien qu'étant en chômage partiel", d'autres "sans aucun moyens de protection", d'autres encore "poussés à la démission ou à +l'abandon de poste+".

Employée d'un groupe hôtelier en région parisienne et reléguée à des "tâches administratives quelques heures par semaine dans un hôtel fantôme" depuis le reconfinement, Maria (prénom modifié), la cinquantaine, dit "faire avec les difficultés financières et la déprime". Mais elle confie à l'AFP se sentir "prisonnière d'un système qui s'enrichit en (lui) volant (sa) santé et (sa) vie". Elle craint "que l'isolement et la perte de tout lien social tuent plus que le virus".

"Alors qu'on était depuis dix ans dans une accélération vertigineuse des rythmes de vie, tout s'est arrêté avec une perte de routine et de repères, en particulier dans le travail où l'appartenance sociale est mise à mal", constate M. Delgènes.

"Certains sont perdus sans le collectif, d'autres travaillent de manière compulsive pour démontrer leur engagement par peur de perdre leur emploi, dans un environnement où toutes les autres facettes de la vie sociale sont gelées", ajoute-t-il.

- Alertes suicidaires -

Ce professionnel rôdé au traitement des crises suicidaires en entreprise dit avoir été confronté à "un grand nombre d'alertes (en entreprises) depuis avril".

"Quand j'ai vu la nature des remontées avec le durcissement du management face aux objectifs de rentabilité, les injonctions là où il faudrait de l'empathie et de la souplesse, je n'ai pas arrêté d'alerter", assure-t-il, déplorant des "+accords de performance collective+ d'entreprises qui ont conduit à une très forte perte de salaire pour les salariés mais pas pour les dirigeants".

Une enquête réalisée du 21 au 28 septembre par l'institut Ifop pour la fondation Jean Jaurès révèle que, comme 27% des dirigeants d'entreprise et 27% des chômeurs, 25% des commerçants et artisans ont eu l'intention réelle de se suicider en 2020, notamment depuis la fin du premier confinement. Parmi ces derniers, 42% confient avoir été hospitalisés après une tentative.

"Je voudrais qu'on soit autant mobilisés face à cela que face à la Covid car si on prend en compte tous les effets induits des confinements, il y aura des effets dévastateurs sur la santé globale", fulmine Michel Debout, professeur de médecine légale et de droit de la santé, membre de l'Observatoire national du suicide, et co-auteur de l'enquête.

© 2020 AFP

  
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