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oui ,bien sur OMC on parle tellement de l'OMS en ce moment .......
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l'OMC tu veux dire ?
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luncyan , je parlais des européens dans leur globalité .....s'il y a brexit sans accord ce sont les régles de l'OMS qui vont s'appliquer et la france restera le premier client de l'angleterre de toute façon .....je ne vois cela spécialement en rose ....les taxes entre les 2 pays seront plus importantes ........ j'aime bien BRETON car souvent il y voit trés clair .....
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EN 1939 C'est à Londres que mon père a été formé à la chasse aux sous marins allemands, pas ailleurs....
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".....Qu'Hong-Kong ne tombe entre les mains chinoises avant 2047."
Hong-Kong a toujours été et est toujours chinoise y compris malgré les anglais.....Le Commonwealth ici est totalement impuissant. Par contre, contre l'Europe, ce sera un atout et une force de la GB qui signe des traités de libre échange avec de nombreux pays du continent asiatique.
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Les anglais vont moins y perdre que les Français. Content pour vous si votre positivisme vous fait voir tout rose.
PS : la France exporte en Angleterre plus que l'inverse, on perd un beau client :)
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économiquement tout le monde va y perdre , mais les anglais beaucoup plus que les européens.........faire du commerce avec ses proches , c'est beaucouyp plus rentable qu'avec le bout du monde ........ les coûts de transport sont plus restreints .......
Message complété le 21/12/2020 14:42:17 par son auteur.
"beaucoup"
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cette sortie préserve d'abord les intérêts de la reine à mon avis....le " royaume " s'accorde mal avec la domination de Bruxelles,
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avant 1939 la GB dominait le monde puis il y a eu lors des accords de Yalta une passation de pouvoir douloureuse pour eux au profit des US et la GB depuis n'a plus la main libre mais elle conserve un sens du commerce que les triple ânes banquiers de Bruxelles ne détiennent pas
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Le Brexit est une "tragédie" qui prive la Grande-Bretagne, également confrontée à la circulation d'une nouvelle souche très contagieuse du virus, de l'aide que l'Union européenne aurait pu lui fournir, a regretté lundi le commissaire au Marché intérieur Thierry Breton.
"Je vais le dire avec mon coeur, c'est une tragédie ce qui se passe en Grande-Bretagne, et ce Brexit est une tragédie, on le voit tous les jours davantage, on regrette profondément cette décision" même si "on la respecte, car le peuple britannique est souverain, bien entendu", a déclaré le responsable sur la radio BFM Business.
"Si la Grande-Bretagne avait décidé de rester dans l'Union européenne, aujourd'hui elle aurait, comme tous les pays européens, entre 30, 40 et 50 milliards d’euros et on pourrait aujourd'hui l'aider comme ça va être le cas pour nous tous avec le fonds Next generation EU" de la Commission.
"La Grande-Bretagne s'en prive", a-t-il déploré.
Financé par un emprunt commun et doté de 750 milliards d'euros, dont plus de 300 milliards de subventions aux Etats membres, ce plan de relance européen doit être mis en oeuvre courant 2021, les premiers versements devant intervenir d'ici la fin du premier trimestre.
La France doit recevoir environ 40 milliards d'euros.
"Et il y a ce Brexit qui n'en finit pas, quoi qu'il en sorte la Grande-Bretagne sera perdante, bien sûr je souhaite qu'on aboutisse à un accord" et "je pense qu'à la fin on aura un accord mais que de temps perdu, que de tergiversations, et tout ça pour quoi ?", s'est interrogé Thierry Breton.
Les négociations post-Brexit entre l'Union européenne et le Royaume-Uni devraient se poursuivre lundi après un weekend centré sur la question de la pêche, qui bloque toute perspective d'accord à onze jours seulement de la rupture définitive.
Elles se téléscopent avec la découverte d'une nouvelle variante "hors de contrôle" du coronavirus au Royaume-Uni, qui a poussé le gouvernement à reconfiner Londres et plusieurs pays européens, dont l'Allemagne, la France, l'Italie et l'Irlande, à suspendre leurs liaisons avec ce pays.
© 2020 AFP
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